8 mars

OA - Liste


A l’occasion de la « Journée internationale des femmes » (définition ONU) ou de la journée célébrant les combats pour les droits des femmes, voici une liste (non-exhaustive) de signatures féminines référencées par l’Observatoire dans le cadre des thématiques traitées dans notre veille documentaire:

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Piotr Smolar

2025

Donald Trump a donné jusqu’au 27 novembre à Kiev pour consentir à l’accord proposé, largement favorable à la Russie. Les Européens, mis devant le fait accompli, s’efforcent de soutenir Volodymyr Zelensky et de faire des contre-propositions.
L’affaire Epstein, les milliardaires de la tech, le Venezuela, Israël… le mouvement qui a ramené le milliardaire à la Maison Blanche se déchire aujourd’hui sur de nombreux sujets. Autour de Nick Fuentes, un courant ouvertement antisémite, raciste et misogyne y gagne du terrain.
Elu il y a un an aux côtés de Donald Trump, le vice-président américain s’est imposé dans une fonction pourtant souvent ingrate, pourfendant l’immigration, plaçant la foi au cœur de son discours et prenant sa part dans la diplomatie. Il cherche à rendre incontournable sa candidature pour 2028 sans froisser le président.
Coercition, pressions douanières et militaires, chantage… Pour Washington, les priorités sont le tarissement des flux migratoires et la guerre contre les cartels de la drogue, classés organisations terroristes. En consolidant leur domination tout en restant fidèle au slogan « America First », les Etats-Unis cherchent aussi à réduire l’influence de la Chine.
Entre purges au sein du renseignement, dérive autoritaire et politisation des institutions, le président américain bouleverse en profondeur la sécurité nationale américaine. Et consacre un nouvel adversaire fantasmé : l’ennemi intérieur.
Recevant son homologue ukrainien, Volodymyr Zelensky, à la Maison Blanche, vendredi, le président américain n’a pas voulu s’engager à fournir des missiles de croisière Tomahawk à Kiev.
Le polémiste, assassiné le 10 septembre sur un campus dans l’Utah, a reçu, mardi, la médaille présidentielle de la liberté. Le même jour, le site « Politico » publiait une enquête révélant des échanges prônant racisme, nazisme et violence entre Jeunes Républicains sur la messagerie Telegram.
Le président américain a savouré son triomphe après un échange d’otages et de détenus entre Israël et le Hamas. Sans lever toutes les zones d’ombre autour d’un plan de paix imposé au forceps.
Le président américain a réuni, mercredi 8 octobre, une table ronde sur la mouvance antifa, qu’il a désignée comme terroriste le 22 septembre. La ministre de la justice, Pam Bondi, a promis de « détruire l’organisation entière du sommet à la base ».
Le président américain a affirmé que l’Etat hébreu allait retirer ses troupes le long d’une ligne négociée. La libération des 20 otages détenus dans l’enclave estimés encore vivants devrait intervenir d’ici à lundi 13 octobre.
Dans un communiqué publié vendredi, le mouvement islamiste palestinien s’est dit prêt à négocier en vue de la libération des otages et de la fin de la guerre, mais n’a pas mentionné son désarmement et réclame le retrait complet d’Israël. Le président américain a jugé que le Hamas « était prêt pour une paix durable », ajoutant que l’Etat hébreu « doit arrêter immédiatement le bombardement de Gaza ».
Le président américain a ignoré les suggestions des pays musulmans qui regrettent notamment que le retrait israélien de la bande de Gaza ne soit pas encadré par un calendrier précis.
Devant près de 800 généraux et amiraux convoqués pour l’occasion, le président américain et son secrétaire à la défense ont exposé leur vision d’une armée débarrassée de ses supposées composantes « woke ». Sa principale mission serait désormais de combattre les ennemis de l’intérieur, à commencer par les villes démocrates.
Ce plan en 20 points, présenté par le président américain, a été approuvé par le premier ministre israélien Benyamin Nétanyahou. Si le Hamas donne son accord, le conflit prendra fin immédiatement et les otages devront être libérés avant le 2 octobre. Le retrait militaire israélien de l’enclave ne serait pas encadré par un calendrier précis.
Le vice-président américain, J. D. Vance, a pris la tête, lundi, d’une chasse aux sorcières visant « les gens de gauche », accusés sans fondement de promouvoir la violence politique.