mars 2025
Google Search introduit de nouveaux aperçus générés par IA et teste « l'AI mode », une fonctionnalité de recherche exclusivement basée sur l’IA. Avec ce mode, les liens bleus habituels dans les résultats de recherche ne sont plus visibles…
Un économiste met en garde : les attentes excessives autour de l’IA pourraient nuire à l’économie mondiale, en contradiction avec la plupart des prévisions économiques. - Dans son état actuel, l’IA est capable de prendre en charge de nombreuses tâches auparavant effectuées par les humains. Les avancées à venir, notamment les agents IA et l’IA générale (IAG), pourraient rendre le travail humain économiquement obsolète dans la plupart des domaines.
février 2025
IA de l’orage dans l’air. Lors du forum international sur l’amélioration des précipitations à Abou Dabi (Émirats arabes unis) en janvier, les expert·es ont mis l’intelligence artificielle à l’honneur. Grâce à cette technologie, elles et ils espèrent améliorer l’ensemencement des nuages pour faire tomber la pluie. Une pratique dont l’efficacité n’est pas prouvée.
Depuis le 1er janvier, les agents de Bercy sont autorisés à analyser les données publiques issues des réseaux sociaux tels que Facebook, Instagram, TikTok ou encore LinkedIn. La révolution numérique fiscale est en marche. Reste à savoir quelle sera la prochaine étape pour la Belgique.
Depuis le lancement en 2022 de ChatGPT, le sujet de l’intelligence artificielle a envahi magazines et émissions télé, souvent avec une analyse superficielle de ses dangers. Ce développement technologique n’est pourtant pas si récent et est déjà utilisé par les États et les entreprises pour contrôler les populations.
Grok 3 surpasse les autres en termes de raisonnement, de résolution de problèmes et d'efficacité dans le traitement des données.
Des chercheurs ont développé Torque Clustering, un algorithme d’IA doté d’une capacité inégalée à apprendre à partir de vastes ensembles de données, sans intervention humaine.
À cran géant. De nouveaux chiffres de l’Ademe mettent en lumière l’impact environnemental croissant du secteur numérique, en constante progression. Le poids des équipements, toujours majoritaires dans l'empreinte carbone du secteur, est peu à peu concurrencé par celui des usages, qui connaissent un essor grandissant. La vague de l’intelligence artificielle générative devrait contribuer à les faire encore grimper.
Le président américain Donald Trump a signé un décret vendredi créant un "Conseil national pour la domination énergétique" chargé de développer la production d'électricité afin de distancer la Chine en matière d'intelligence artificielle (IA)."Nous serons les plus gros producteurs d'énergie au monde, sans parler de toute l'électricité que nous allons produire pour tous les sites [dédiés à l'] IA", a déclaré le chef de l’État à des journalistes au moment de signer le décret.
Dans Hypérion, roman de science-fiction écrit par Dan Simmons en 1989, les personnages sont connectés à un réseau...
Sommes-nous témoins du premier coup d’État basé sur l’IA de l’Histoire? C’est ce que suggère le chercheur Eryk Salvaggio dans un texte clair et percutant qui décrit comment le DOGE dirigé par Elon Musk compte transformer profondément l’État américain via des algorithmes contrôlés par les élites de la Silicon Valley. Dans mon vocabulaire, nous assistons peut-être à la naissance du « Léviathan algorithmique ». Voici une traduction française de cet article du 9 février 2025 de Tech Policy Press que je recommande chaudement. Le texte est relativement long (2730 mots). Le lien vers l’article original : https://www.techpolicy.press/anatomy-of-an-ai-coup/ - Jonathan Durand Folco
Les actions du constructeur automobile chinois BYD, spécialisé dans l'électrique, ont bondi mardi après l'annonce par l'entreprise du déploiement d'un système avancé de conduite autonome sur la quasi-totalité de ses voitures, y compris celles d'entrée de gamme.Le constructeur a également indiqué qu'il intégrerait les modèles d'intelligence artificielle (IA) de la start-up chinoise DeepSeek dans ses véhicules, comme l'ont déjà fait ses rivaux nationaux comme Geely, Great Wall Motors et Leapmotor.
Le dernier rapport international sur la sécurité des systèmes d’IA développe les « utilisations malveillantes », les « dysfonctionnements » et les « risques systémiques » liés au développement de la technologie, et expose désaccords et tensions entre experts mondiaux.
L’intelligence artificielle générative de ChatGPT et autres Copilot ou Midjourney n’a pas tenu ses promesses de gains de productivité. Cela pourrait changer grâce aux agents d’IA, vantés comme les “applis de l’ère de l’IA”. Pour la “Frankfurter Allgemeine Zeitung”, l’automatisation des savoir-faire permettra des économies mais aura des conséquences sur les emplois de bureau.
Un contre-sommet dénonçant les dérives de l'intelligence artificielle s'est tenu à Paris le 10 février. L'occasion pour les participants de partager leurs craintes, mais aussi leurs solutions.
D’après la présidente de la Commission européenne, l’UE s’engagerait à hauteur de 50 milliards d’euros, qui s’ajoutent aux engagements de 150 milliards venant de grands groupes.
Des systèmes d’intelligence artificielle sont capables d’écrire des lignes de code et de contrôler un ordinateur. Qu’est-ce qui les empêche de créer d’autres IA ? Leur absence de volonté propre et leur incapacité à s’adapter dynamiquement. Explications.
L'Agence internationale de l'énergie (AIE) va lancer en avril un observatoire pour mesurer l'impact de l'intelligence artificielle (IA) sur la consommation d'énergie dans le monde, a annoncé mardi son directeur exécutif Fatih Birol lors du Sommet de Paris sur l'IA." Nous allons examiner tous les centres de données et la quantité d'électricité dont ils auront besoin", a indiqué Fatih Birol. "Le monde entier pourra tirer des leçons des meilleures pratiques, et cela sera en source ouverte pour tout le monde", a précisé M. Birol.
Une soixantaine de pays dont la France et la Chine ont signé mardi un partenariat global pour une IA "ouverte" et "éthique", auquel n'ont pas souscrit les États-Unis et le Royaume-Uni. Le vice-président américain J.D Vance s'est démarqué par son discours très offensif sur la bataille de l'IA et sur la position hégémonique que son pays entend conserver.
« Nous avons besoin de continuer à faire avancer une gouvernance internationale de l’intelligence artificielle », a déclaré Emmanuel Macron en clôture de l’événement.
Les Etats-Unis et le Royaume-Uni ne figurent pas parmi les 61 premiers pays signataires d’une déclaration pour une intelligence artificielle «durable pour les populations et la planète» publiée mardi à l’issue du Sommet sur l'IA.
En parallèle du Sommet mondial sur l’IA organisé à Paris, un contre-sommet était organisé, lundi, au théâtre de la Concorde. Non loin du Grand Palais, des professionnels de l’image et de la voix ont, entre autres, témoigné de leurs inquiétudes au quotidien avec l’intelligence artificielle. De la BD au cinéma en passant par les doubleurs de voix, reportage avec ceux qui dénoncent un “pillage” de leur travail.
Le secteur de l'électricité en opération séduction: à l'occasion du sommet de l'intelligence artificielle (IA) à Paris, le groupe électricien français EDF et le gestionnaire du réseau haute tension RTE ont dévoilé leurs offres pour attirer sur le territoire national des centres de données, très gourmands en énergie.Le gouvernement a dévoilé la carte des régions avec les 35 sites "prêts à l'emploi" qui pourront accueillir les centres de données dédiés à l'IA, ces gigantesques bâtiments qui stockent les données et fournissent les énormes capacités de calcul requises par l'IA.
Vice-président américain, vice-Premier ministre chinois, chancelier allemand... Des dirigeants politiques du monde entier et des patrons de la tech se retrouvent lundi et mardi à Paris lors d'un Sommet international sur l'intelligence artificielle (IA), une technologie qui a rapidement bouleversé de nombreux pans de la société et dont chaque pays tente de tirer avantage.
Des deepfakes visant à influencer des élections aux chatbots relayant des fausses informations, la pollution du monde de l’information apparaît comme l’un des grands dangers du recours croissant à l’intelligence artificielle (IA). Le déploiement rapide de cette technologie, au cœur d’un sommet mondial en cours à Paris, a déjà nourri ces dernières années l’essor de la désinformation, en lui offrant de nouveaux outils redoutables.
En marge du sommet de Paris sur l’intelligence artificielle, RSF a appelé ce lundi 10 février à une plus grande implication des rédactions pour un «usage responsable» de cette technologie.
Les intelligences artificielles génératives, type ChatGPT, suscitent des investissements faramineux, dopés par des promesses délirantes. Elles renforcent le projet libertarien et technoféodal des milliardaires de la tech.
À l’occasion du Sommet pour l’action sur l’IA, lundi, différents acteurs politiques et de la tech se sont réunis pour débattre au Grand Palais de l’intelligence artificielle et de ce qu'elle apporte, ou non, aux démocraties. Menace ou solution ? France 24 a assisté à une table ronde sur le sujet, en l'absence des protagonistes du secteur de l'IA.
A l’heure des ingérences étrangères, des deepfakes et des faux comptes, une table ronde, à l’occasion du sommet ce lundi 10 février, a rappelé les risques que fait peser la technologie sur les démocraties et esquissé des solutions.
Patrons, syndicats et organisations internationales se sont réunis ce lundi 10 février lors d’une table ronde pour échanger sur l’avenir du travail et la menace de l’automatisation qui pèse sur les emplois.