L’Afrique est un continent qui couvre 6 % de la surface de la Terre et 20 % de la surface des terres émergées. Sa superficie est de 30 415 873 km2 avec les îles, ce qui en fait la troisième mondiale si l’on compte l’Amérique comme un seul continent. Sa population de 1,3 milliard d’habitants classe l’Afrique deuxième continent du monde après l’Asie et représente en 2020 17,2 % de la population mondiale. Source : wikipedia
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The Conversation
Alors que les soldes d’été, qui se déroulent du 25 juin au 22 juillet, viennent de débuter, la question du recyclage des déchets textiles reste lancinante. Ces derniers finissent le plus souvent incinérés, alors qu’ils pourraient être revalorisés de diverses façons : isolants thermiques et acoustiques, mousse pour l’automobile, rembourrage de matelas, pour faire de nouveaux vêtements…
Alors qu’une large part de la France est placée en vigilance canicule ce mercredi 25 juin, se pose la question de l’influence du changement climatique sur le cycle de l’eau, entre modification du régime des pluies et augmentation de la fréquence des événements extrêmes (sécheresses et inondations). Qu’en est-il des eaux souterraines ? Ces dernières, logées dans les profondeurs du sous-sol, ne sont pas à l’abri de ces changements qui touchent en premier lieu l’atmosphère et la surface de la Terre.
Lorsque l’on parle d’atténuation du changement climatique, on pense souvent au fait de replanter des arbres, qui consomment du CO2, ou à des solutions techniques consistant à recapturer le gaz carbonique depuis l’atmosphère. Mais ces approches, si elles peuvent être intéressantes, sont irréalistes pour stocker le réchauffement, si on souhaite continuer à brûler des ressources fossiles jusqu’à épuisement.
L’administration Trump a lancé une opération à grande échelle contre les migrants en situation irrégulière, en Californie et ailleurs, de préférence dans les États et comtés démocrates. Face au tollé, notamment, des employeurs de ces sans-papiers qui travaillent et paient des impôts, le pouvoir a légèrement reculé, mais sans changer son fusil d’épaule. Ses rodomontades, couplées à des décisions symboliques maladroites, comme la parade militaire organisée à grands frais, le 14 juin dernier, provoquent des contestations de plus en plus véhémentes.
Dans un contexte de tensions sur l’approvisionnement en ressources minières stratégiques, le marché international des terres rares est en pleine recomposition. D’anciens leaders, comme les États-Unis, reviennent en force, tandis que des nouveaux venus tentent de gagner leur place. Leur ambition ? Concurrencer la Chine, qui en détient le monopole actuel.
Éric Guilyardi est océanographe et climatologue, spécialiste de modélisation climatique. Il s’intéresse tout particulièrement au phénomène climatique El Niño. Il a été auteur principal du 5e rapport du GIEC et a contribué au 6e. Il anime également une réflexion sur l’éthique de l’engagement public des scientifiques. Ce grand entretien, mené par Benoît Tonson, est l’occasion de mieux comprendre les liens entre l’océan et le climat et de réfléchir à la place du scientifique dans les médias et plus généralement dans la société, au moment où se tient la troisième Conférence des Nations unies sur l’océan (Unoc 3) à Nice.
L’accord sur les pandémies signé en mai 2025 par les États membres de l’Organisation mondiale de la santé (OMS) est présenté comme un succès historique du multilatéralisme. Pourtant, il pourrait se révéler délétère pour les autres priorités de santé globale, du fait de la gouvernance technocratique qu’il propose et des coûts financiers élevés qui seraient alloués à des risques pandémiques hypothétiques.
Quand on parle de réchauffement climatique, on pense souvent à l’air qui se réchauffe. Mais c’est l’océan qui, grâce aux courants marins et aux propriétés exceptionnelles de l’eau, a jusqu’à présent absorbé frontalement une grande partie du réchauffement. Avec l’accélération du changement climatique, la perte de biodiversité et la pollution omniprésente, les observations océaniques sont indispensables pour évaluer et préserver la santé des océans.
Loin de l’image du carnassier des Dents de la mer, les requins sont des proies pour les humains bien plus que des prédateurs. Pêchés, notamment pour leurs ailerons, ces poissons sont une ressource essentielle pour de nombreuses communautés côtières, mais aussi des victimes de la pêche illégale, et même du trafic de drogue.
Alors qu’aujourd’hui, seuls 10 % des plastiques sont recyclés, les industriels présentent souvent le recyclage comme la solution idéale. Ce raisonnement élude pourtant un aspect important : la croissance de la production de plastiques se poursuit. Elle se nourrit de toujours plus de plastique vierge, quel que soit le taux de recyclage.
À la veille de la 3e Conférence des Nations unies sur les océans (Unoc 3), où en est la gouvernance marine ? Se pencher sur l’histoire de la diplomatie des océans permet de mieux comprendre la nature des enjeux actuels : Nice doit être l’occasion de consolider un nouveau droit international des océans.
Un grand entretien pour faire le point sur les défis scientifiques et technologiques de la fusion. Aurons-nous accès à cette énergie propre d'ici la fin du siècle ?
Anti-environmentalism is gaining ground. Attacks on the net zero goal and hostility to conservation measures and anti-pollution targets are becoming more common. And, as recent election results have shown, these tactics are reshaping politics in Britain and across the west.
Pour que les pratiques agricoles évoluent, il faut que les agriculteurs aient intérêt à le faire et soient accompagnés dans ces changements. Certains pays ont ainsi réussi à réduire durablement l’utilisation de pesticides et engrais chimiques. Voici comment.
Societies increasingly rely on scientists to guide decisions in times of uncertainty, from pandemic outbreaks to the rise of artificial intelligence. Addressing climate change is no different. For governments wanting to introduce ambitious climate policies, public trust in climate scientists is pivotal, because it can determine whether voters support or resist those efforts.
Depuis le retour à la Maison Blanche de Donald Trump, les bibliothèques, partout aux États-Unis, sont directement prises pour cibles et bon nombre d’entre elles voient leurs budgets mis en péril par la suppression des subventions fédérales. Une attaque en règle conduite à la fois dans le cadre des coupes budgétaires massives, mises en œuvre par le DOGE d’Elon Musk, et au nom de la lutte contre les idées progressistes dont les bibliothèques et leurs responsables sont soupçonnés d’être les porteurs.
Dans un contexte de tensions internationales sur l’approvisionnement en ressources minérales stratégiques, la France a lancé la mise à jour de son inventaire national. Celui qui a été réalisé entre 1975 et 1995 se focalisait sur les métaux d’alliages essentiellement et donc ne couvre pas forcément et systématiquement les substances critiques du moment, telles que le lithium, le gallium ou le germanium.
Face aux tensions qui pèsent sur l’approvisionnement en métaux critiques, la France et l’Union européenne songent à relancer l’industrie minière. Mais reste à savoir si ce renouveau minier est compatible avec la protection de la nature. Un projet de recherche entend fournir au législateur les outils pour répondre à cette question.
Le rejet par l’administration Trump de toute politique visant à freiner le changement climatique n’est dû ni au climatoscepticisme ni à l’irrationalité. Pour la Maison Blanche, et pour les idéologues qui l’entourent et l’influencent, la cause est entendue : le changement climatique est inéluctable, et il convient de tout faire pour que les États-Unis demeurent la première puissance mondiale sur une planète en proie au dérèglement climatique.
De plus en plus critiqué, le recyclage, en particulier celui des déchets plastiques, souffre d’une image parfois injuste. S’il ne doit pas se substituer à la sobriété pour préserver les ressources, il n’est pas réaliste d’envisager la transition écologique sans lui. Plutôt que d’opposer le recyclage au réemploi ou à la réparation, utilisons-le comme un marchepied pour faire évoluer l’industrie et les consommateurs vers des méthodes de production et des habitudes au moindre impact environnemental. De quoi renforcer par la même occasion notre souveraineté économique.