Alimentation

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« Ce que nous mangeons et les méthodes de production alimentaire ont une incidence sur notre santé ainsi que sur l’environnement. Les aliments doivent être cultivés et transformés, transportés, distribués, préparés, consommés puis, parfois, éliminés. Chacune de ces étapes génère des gaz à effet de serre qui retiennent la chaleur du soleil et contribuent au changement climatique. Plus d’un tiers des émissions de gaz à effet de serre imputables aux activités humaines sont liées à l’alimentation. »
Source : Nations Unies

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alimentation

2025

Les géants de l’agroalimentaire vendent des aliments ultratransformés, tout en investissant dans des entreprises pharmaceutiques ou spécialisées dans la perte de poids. Un marché très lucratif.
Steve Genco Traduction ObsAnt – article original sur Medium Projections climatiques et projections démographiques Au cœur de la science du climat, il existe une déconnexion déconcertante entr…
Toujours plus eau. Selon France stratégie, la consommation d’eau dans l’agriculture va s’envoler sous l’effet du changement climatique. Dans un important rapport, le service présente trois scénarios pour le futur, du plus gourmand au plus sobre.
A partir du 20 janvier, le perturbateur endocrinien ne doit plus entrer en contact avec des aliments en Europe. L’UE a mis dix ans pour s’aligner sur la position de la France, qui avait banni la molécule en 2015.

2024

Quelle est la situation sur le petit archipel français de l’océan indien violemment frappé par le cyclone Chido voilà six jours ? Pourquoi le recensement des morts est-il si difficile à établir ? L’aide parvient-elle à être acheminée ? Quid de la reconstruction ? France 24 fait le point après la visite du président Emmanuel Macron à Mayotte.
Un jeune homme atteint de diabète de type 2 et de stéatose hépatique accuse onze multinationales agroalimentaires d’avoir sciemment promu et commercialisé des aliments ultratransformés nocifs.
Quel est le rapport ? Biodiversité, climat, alimentation, eau, santé : dans une nouvelle évaluation parue mardi 17 décembre, la Plateforme intergouvernementale sur la biodiversité (IPBES) met en évidence l’interconnexion entre cinq grandes crises écologiques et appelle à ne plus les traiter séparément. Auteur principal du rapport, Patrick Giraudoux le décortique pour Vert.
L'IPBES, le Giec de la biodiversité, vient de publier deux rapports majeurs ces mardi 17 et mercredi 18 décembre. Le premier montre la nécessité de traiter les différents sujets ensemble - changement climatique, biodiversité, santé, eau et alimentation, pour une action efficace. Le second s'intéresse aux obstacles à l'action et appelle à un "changement transformateur" de nos points de vue, nos structures et nos pratiques.
Éleveuse de lamas en Ariège, Laurence Marandola est également porte-parole de la Confédération paysanne. Pour la syndicaliste, qui appelle à renouer le dialogue entre agriculteurs, seule une « rupture systémique » avec le capitalisme néolibéral permettra l’émergence d’une écologie vraiment populaire.
Un rapport de l’ONG Générations futures publié ce mardi 17 décembre fait état de la contamination massive des fruits et légumes non-bio français. Quelque 137 substances actives différentes ont été retrouvées.
L’IPBES, le « GIEC de la biodiversité », publie une évaluation qui démontre que traiter chaque problème de manière isolée aggrave la situation globale.
Depleted soil leads to reduced yields, forcing farmers to rely on fertilizers that raise food production costs, consumer prices.
Vers des systèmes alimentaires low-tech
Dans un premier temps, Arthur Keller propose une caractérisation systémique des principaux enjeux auxquels l'humanité doit faire face et des défis majeurs inédits qu'il nous faut relever. Il explicite la différence fondamentale qui existe entre approches multidimensionnelles et approche systémique, cette dernière permettant d'appréhender différemment les enjeux ainsi que l'espace des réponses pertinentes possibles. Il souligne les erreurs méthodologiques majeures qui sont commises dans la manière d’aborder ces enjeux. Dans un second temps, il s'attache à réfuter certaines options qui sont fréquemment présentées comme des « solutions » et à pointer les limites des outils existants pour reconcevoir les marges de manœuvre qu'il nous reste pour réagir. Dans un troisième temps enfin, il explique ce qu'il est (encore) possible d'entreprendre pour assurer la résilience des territoires, avec un zoom sur les enjeux de sécurité alimentaire, et proposera une approche globale, en fournissant aux participantes et
La Wallonie soutient-elle suffisamment l’agriculture bio ? En regard du plan visant 30% de surfaces agricoles en bio d’ici 2030, la question se pose. Actuellement, ce sont 7,6% des terres belges qui sont exploitées en bio. Mais malgré les primes, les agriculteurs bio rencontrent des obstacles financiers. De plus, le développement des circuits courts et des filières locales détourne parfois l’attention du bio.
... Ayant contracté une salmonellose après avoir mangé un œuf, le médecin raconte avoir perdu pas moins de 5 kilos en seulement quelques heures. Une mésaventure qu’il utilise pour sensibiliser le public sur les risques sanitaires liés à nos assiettes.
L'étiquetage des aliments est censé aider les consommateurs à prendre des décisions éclairées lors de leurs achats....
L’application vient d’ajouter une nouvelle fonctionnalité permettant à ses 22 millions d’utilisateurs français d’interpeller directement les marques utilisant ces substances potentiellement dangereuses pour la santé dans leurs produits.
Du 11 au 22 novembre se tient la Cop 29 sur le climat. Peut-on encore agir sur le réchauffement climatique ? Le traité de libre-échange entre l’UE et le Mercosur pourrait bientôt être ratifié, traité auquel s'oppose la France. Mais a-t-elle encore les moyens de sa souveraineté alimentaire ?
Le flexitarisme n’exclut pas la consommation occasionnelle de produits d’origine animale. Mais pour chiffrer son empreinte carbone, encore faut-il que le flexitarisme soit bien défini…