« Ce que nous mangeons et les méthodes de production alimentaire ont une incidence sur notre santé ainsi que sur l’environnement. Les aliments doivent être cultivés et transformés, transportés, distribués, préparés, consommés puis, parfois, éliminés. Chacune de ces étapes génère des gaz à effet de serre qui retiennent la chaleur du soleil et contribuent au changement climatique. Plus d’un tiers des émissions de gaz à effet de serre imputables aux activités humaines sont liées à l’alimentation. »
Source : Nations Unies
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2025
From floods to droughts, erratic weather patterns are affecting food security, with crop yields projected to fall if changes are not made
Souvent trop sucrés, trop salés et trop caloriques, les aliments ultratransformés contiennent en outre de nombreux additifs, arômes et autres substances résultant de leurs modes de fabrication industriels. Or, les preuves des liens entre leur consommation et divers troubles de santé s’accumulent. Le point sur l’état des connaissances
La ministre de l’agriculture a lancé lundi 8 décembre, du marché de gros de Rungis, les « conférences de la souveraineté alimentaire » destinées à définir une stratégie agricole nationale sur dix ans.
Les poêles antiadhésives, de la marque Tefal ou non, sont régulièrement pointées du doigt face aux alertes sur la pollution aux PFAS, ces molécules qualifiées de «polluants éternels». Quels sont vraiment les risques ? Que vaut-il mieux acheter ? On vous aide à cuisiner sans griller la planète (et votre santé).
Une étude inédite publiée jeudi 4 décembre par le réseau PAN Europe révèle que ces aliments constituent une importante source d’exposition au plus petit des PFAS.
Mercredi 3 décembre, les pays de l’Union européenne se sont accordés pour assouplir les règles relatives aux “nouvelles techniques génomiques” (NGT). Désormais, les aliments en contenant ne seront plus soumis à un étiquetage obligatoire dans les supermarchés. Une perte de traçabilité qui inquiète les consommateurs.
« Ces entreprises ont créé une crise de santé publique avec la conception et la commercialisation des aliments ultratransformés », qui « représentent plus de 70 % des produits des supermarchés » aux Etats-Unis, argumente le procureur de la ville.
En Colombie comme ailleurs en Amérique latine, une partie du cacao cultivé présente des taux importants de cadmium, un métal toxique. Contrainte dans ses exportations, la filière cherche des solutions pour endiguer un phénomène complexe. Vert s’est rendu sur place pour comprendre.
Derrière cette ambiance de fin d’année, une décision inédite a été prise par l’Union européenne. Depuis novembre 2025, une réglementation visant à freiner la déforestation est entrée en vigueur, imposant des contrôles drastiques sur l’origine de certaines importations alimentaires. L’objectif affiché : couper court à la destruction massive des forêts tropicales, responsables d’émissions de gaz à effet de serre et de la disparition de nombreuses espèces animales.
Le poison caché dans nos assiettes : pourquoi le cadmium fait peur Difficile de soupçonner qu’un simple produit de base puisse contenir une substance potentiellement dangereuse. Pourtant, le cadmium, ce métal lourd peu connu du grand public, est partout pointé du doigt. Invisible, sans goût ni odeur, il s’infiltre dans certains aliments courants et s’accumule insidieusement dans notre organisme.
Pendant que vous faites vos courses hebdomadaires, une transformation silencieuse s’opère dans les rayons des supermarchés du monde entier. Les plats mijotés, les légumes frais et les recettes traditionnelles cèdent progressivement leur place à des produits ultra-transformés emballés aux couleurs vives, promettant gain de temps et praticité. Mais derrière cette révolution alimentaire se cache une réalité inquiétante que 43 experts internationaux viennent de documenter dans une série d’articles explosifs publiés par The Lancet. Leur verdict est sans appel : nous assistons à une crise sanitaire mondiale orchestrée par une industrie qui place ses profits avant notre santé.
Dans l’offre de la grande distribution, on trouve environ 80 % d’aliments ultratransformés. AVC, diabète, dépression... 43 scientifiques internationaux alertent sur les risques sur notre santé de cet adieu aux produits frais.
Obésité, diabète, dépression… Des chercheurs établissent, dans la revue « The Lancet », l’état de la connaissance sur ces produits, et appellent les pouvoirs publics à prendre des mesures pour la santé publique.
L’agence de l’ONU, qui déplore « plusieurs famines simultanées » dans le monde, estime ne pouvoir apporter une aide alimentaire qu’à 110 millions de personnes sur les 318 millions concernées.
Chaque jour, nous consommons des légumes que nous considérons comme sains et naturels. Pourtant, de nouvelles recherches mettent en évidence un problème inquiétant : même les produits frais peuvent être infiltrés par des particules de plastique si petites qu’elles échappent à l’œil nu. Une étude récente menée par l’Université de Plymouth révèle en effet que des nanoplastiques présents dans le sol peuvent pénétrer dans les parties comestibles des légumes, ce qui ouvre la voie à une exposition alimentaire insoupçonnée à cette pollution omniprésente.
Les désastres naturels, accentués par le réchauffement climatique, ont causé la perte de milliards de tonnes de récolte entre 1991 et 2023, menaçant la sécurité alimentaire, révèle ce vendredi 14 novembre les Nations unies.
Charal, Danone, Bel… Les géants de l’agro-industrie rémunèrent athlètes et chercheurs pour vanter les pseudo-mérites de produits enrichis en protéines.
Dans "Le paradoxe de l’abondance", Hugo Clément, aux côtés du scénariste Vincent Ravalec et du dessinateur Dominique Mermoux, propose un roman graphique engagé sur les dérives de l’agriculture industrielle et les menaces qui pèsent sur les sols. Le journaliste et militant écologiste, connu pour son émission "Sur le Front", y expose une contradiction centrale : jamais l’humanité n’a produit autant de nourriture, mais cette productivité record détruit les conditions mêmes de sa survie. Il était l’invité de Matin Première.
Ces produits représentent en moyenne plus de 30 % de l’alimentation d’un adulte en France. De nombreuses études attestent d’un lien entre sa consommation et le risque de développer certaines maladies.
Un paquet de biscuits, un soda bien frais, une portion de chips devant une série… Ces instants de plaisir simples s’invitent souvent dans notre quotidien, surtout lorsque les jours raccourcissent et que la fraîcheur de novembre appelle à se réconforter. Mais si, à chaque bouchée d’un aliment transformé, votre cerveau subissait des transformations bien plus profondes qu’un simple pic de gourmandise ? Loin de n’être qu’une question de prise de poids, cet enjeu touche l’intime de nos pensées, de nos émotions, et de nos décisions. Plonger dans le cerveau des amateurs de snacks industriels, c’est révéler des mécanismes presque invisibles, mais à l’impact tout à fait terrifiant.
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