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Thierry
Le maraîcher bio Thierry Gozzerino alerte sur le danger des pesticides, alors que du glyphosate est encore utilisé dans les canaux d’irrigation de la plaine de la Crau. Il est depuis la cible d’intimidations.
En inventant les réseaux de neurones artificiels dans les années 1980, John Hopfield et Geoffrey Hinton ont posé les bases de l’intelligence artificielle.
Une partie des habitants de Guadeloupe ont été privés d’accès à l’eau du robinet début septembre. Comme un symbole d’une crise qui s’aggrave et de l’incapacité des autorités à agir.
Disparu à l'état sauvage à la fin des années1960, le cheval Przewalski a été introduit en Lozère dans les années 1990. Là où ces chevaux paissent, on constate une plus grande diversité végétale.
Tous les pays de la planète se sont fixés des objectifs carbone à la baisse avec un objectif global pour la planète révisé à chaque COP (conférences pour le climat). L'objectif principal reste la neutralité carbone à l'horizon 2050. Il s'agit de viser...
L'été 2023 a été le plus chaud de l’Histoire humaine. Chaque jour les médias en énumèrent les conséquences dramatiques. Paroles radicales de Jean-Marc Gancille, militant écologiste et auteur de "Ne plus se mentir": fini l’espoir, soyons courageux.
Ils sont à nos portes et menacent nos cultures… "Ils", ce sont les insectes nuisibles qui ont fait leur apparition en Europe de l’Ouest et qui font des incursions occasionnelles sur notre territoire. Exemple : la Bactrocera dorsalis.
A l’occasion de la journée mondiale de l'océan le 8 juin , le WWF France a alerté sur la régression inquiétante de l’herbier de posidonie en Méditerranée. Ancrages de bateaux, aménagements côtiers, pollution, pêche de fond : la posidonie, plante à fleur sous-marine aux milles vertus, subit des pressions toujours plus importantes.
Des scientifiques ont demandé de mettre en pause le développement de l’intelligence artificielle face à ses dangers potentiels. Thierry Ménissier, professeur de philosophie politique, directeur de la chaire Éthique et IA du Multidisciplinary institute in artificial intelligence (MIAI) de l’université Grenoble Alpes, estime qu’il faut lancer des États généraux de l’IA, afin que les citoyens se saisissent réellement de cette technologie et n’en soit pas que de simples consommateurs.
Début 2022, le GIEC a rendu son dernier rapport, dont les conclusions se révèlent toujours plus alarmantes sur les risques climatiques pour l’humanité. Certaines de leurs prévisions peuvent nous conduire à l’effondrement de la civilisation industrielle, voire de l’humanité ou au moins de certaines sociétés. Mais qu’est ce que l’effondrement d’une société ? Quelles sont les facteurs d’effondrement. Jared Diamond définit 5 facteurs principaux d’effondrement. Diamond est critiqué pour son approche par certains auteurs, tandis que d’autres chercheurs ajoutent d’autres causes. Comprendre le passé s’avère donc nécessaire pour continuer à avoir un avenir.
Face au terrifiant constat du réchauffement climatique et de l’effondrement du vivant, Cyril Dion et Thierry Robert proposent une série documentaire sur Arte pour mieux saisir les causes de notre immobilisme collectif et y remédier. Décliné en trois volets : « Résister », « s'adapter », « régénérer », Un monde nouveau nous emmène aux quatre coins du monde à la recherche de solutions déployables à grande échelle.
Des choix agricoles participent à l’assèchement de certaines régions. La culture du maïs représente 41 % des cultures irriguées. Elle a besoin d’irrigation en juillet et août, au moment où les rivières et les nappes sont au plus bas. Ce maïs nourrit ensuite les animaux des élevages industriels.
Après des problèmes de béton, d’acier ou de soudures, le réacteur en cours de construction connaît un nouveau dysfonctionnement. Une partie des systèmes de pilotage de l’installation est en panne. La défaillance structurelle, connue depuis 2019, est désormais reconnue par EDF.
L’autorité de régulation énergétique australienne a pris le contrôle des prix de l’électricité afin d’éviter un « black-out ». Thierry Kalfon, directeur des activités « renouvelables » d’Engie en Australie et en Asie du Sud-Est, explique, dans une tribune au « Monde », pourquoi cet événement doit nourrir la réflexion sur la planification énergétique en France.
Dans deux livres parus presque simultanément, le chercheur en psychologie cognitive Thierry Ripoll et le neurobiologiste Sébastien Bohler avancent une même thèse : l’insatiable soif de croissance de l’humanité et la crise globale qui en découle seraient la conséquence de notre « câblage » cérébral. Entretien croisé.
Depuis l’annonce de problèmes de corrosion sur certains réacteurs, EDF affirme avoir été prise au dépourvu par ce phénomène présenté comme « inédit ». Il a en réalité déjà touché à plusieurs reprises l’entreprise française depuis 40 ans.
La planification a le vent en poupe, singulièrement en matière écologique : un consensus inattendu semble s’être dessiné durant la campagne présidentielle entre les Insoumis et la majorité présidentielle. Mais il cache en réalité des divergences sensibles d’interprétation.
En 1962, paraissent deux livres fondamentaux de la pensée écologiste, à la fois dénonciation méthodique et conscientisation populaire de la pollution systémique et de l’empoisonnement quotidien de notre environnement. Il y a 60 ans, Rachel Carson publie Le printemps silencieux & Murray Bookchin Notre environnement synthétique.
Dans la logique macroniste, les catastrophes sont inévitables et, en dépit de la mort qu’elles sèment, il ne s’agit pas de les empêcher mais de « vivre avec ». Cette résilience mise en valeur par le pouvoir vise avant tout à ce que ses sujets continuent à être fonctionnels sans être paralysés par la panique ou l’anxiété...
Les progrès techniques et économiques considérables des systèmes et des matériels solaires thermiques dans la dernière décennie renforcent leur intégration rapide et large dans différents systèmes énergétiques, grâce en particulier aux stockages thermiques dans les réseaux de chaleur/froid de 4 e et 5 e générations à l’échelle de la journée jusqu’à l’intersaison, permettant déjà d’accroître la capacité de ces installations à éliminer les énergies d’appoint fossiles, diminuer les émissions de GES, la consommation d’électricité, mais aussi le recours à la biomasse et aux pompes à chaleur.
Annoncé l'année dernière par Thomas Dermine, secrétaire d'Etat à la Politique scientifique, la nouvelle institution fédérale remplira ses premières missions l'été prochain, depuis le site ucclois qui abrite déjà l'Observatoire royal, l'IRM et l'Institut d'Aéronomie spatiale.
On les appelle "engrais azotés". Les agriculteurs s’en servent au printemps pour stimuler la croissance des plantes. Mais depuis peu, leurs prix montent en flèche. Ce problème ne concerne que l’agriculture pour l’instant, mais pourrait aussi toucher le consommateur à moyen terme.
D’un rapport à l’autre, le GIEC, en faisant la synthèse des connaissances scientifiques, montre l’urgence de l’action. Ce qui n’est pas fait maintenant coûtera beaucoup plus cher demain. Pourtant, malgré les évidences et l’urgence, certains tentent de retarder les décisions nécessaires.
Au cours de ces vingt-cinq dernières années, les 10% les plus riches de l'humanité ont été à l'origine de plus de la moitié (52%) des émissions cumulées de gaz à effet de serre.
Tout a commencé par une exclamation soudaine, le 26 février 2000, du chimiste Paul Josef Crutzen (1913–2021) à Cuernavaca au Mexique. Crutzen, météorologue et chimiste, Néerlandais avait reçu le prix Nobel en 1995 pour ses découvertes au sujet de la disparition de la couche d’ozone. Il avait démontré que si les industriels continuaient à émettre des gaz chlorofluorocarbones, c’est toute la vie sur Terre qui serait menacée, d’où la signature du Protocole de Montréal en 1987 pour mettre fin à cette pollution de la haute atmosphère.
Alors que la catastrophe nucléaire de Fukushima se poursuit, dans l’indifférence quasi générale, depuis plus de dix ans maintenant, le gouvernement japonais a mis en œuvre, dès le lendemain de l’accident, une « politique de résilience » enjoignant la population à vivre, quoi qu’il en coûte, avec la contamination radioactive, au péril de nombreuses vies humaines.
Début juin 2021, le GIEC a publié de nouveaux résultats sur le climat, plus alarmants encore que les précédents. Or les partisans de la croissance verte caressent toujours l’espoir, malheureusement illusoire, que la croissance économique et le respect de l’environnement s’avéreraient compatibles.
Les thèmes de la défense de l’environnement progressent dans l’opinion depuis plusieurs années. Au-delà de l’évolution d’ensemble, tous les milieux sociaux ne partagent pas, au même degré, la préoccupation écologique. On observe trop rarement les clivages qui partagent la population sur ce sujet.
Justice sociale, climat, biodiversité Préface de Jean-Pascal van Ypersele La relance de la croissance dans un contexte de crise sanitaire et de guerre économique mondialisée nous entraîne à l’opposé des mesures à prendre pour le climat et la biodiversité. Et pourtant, la relocalisation d’une partie de nos échanges économiques permettrait de réduire fortement les transports de marchandises. La massification de l’isolation des bâtiments peut réduire nos importations d’énergie fossile d’au moins 70 %. Les énergies renouvelables peuvent fournir les 30 % restants nécessaires pour atteindre la neutralité en carbone à l’échelle d’un territoire. Ce livre démontre qu’il est possible, techniquement et financièrement, de réduire les inégalités sociales, d’assurer à chaque citoyen un accès à l’énergie, à une alimentation saine, à des services collectifs de qualité. En vingt ans, nous pouvons enclencher cette transformation radicale en impliquant tous les citoyens. Fort d’une longue expérience de terrain dans les domaines
Et si le malheur n'enseignait rien et si rebondir après l'épreuve n'était pas une valeur ? Et si les politiques de résilience étaient une imposture en même temps qu'une réponse à la mode, très largement médiatisée et surévaluée ? C'est ce que questionne un essai de Thierry Ribault publié à L'échappé sous le titre de "Contre la résilience. A Fukushima et ailleurs".
Cinq mille nouvelles piscines en 2021. Le secteur se réjouit de ce nouvel engouement des Belges. Le confinement, avec le désir d’améliorer son chez-soi, est passé par là. Mais cette tendance - "symbole d’une discrimination écologique et sociale" - est dénoncée ailleurs.
Les jeunes les plus sensibilisés aux effets et aux dangers du changement climatique seraient moins enclins à faire des enfants. Un nouveau paramètre à l'heure du choix de procréer ou pas.
En toute logique, la réduction de l’empreinte carbone du transport aérien demandera des transformations profondes de cette industrie. Une question socialement sensible. Même si la question est parfois abordée d’un point de vue éthique, la restriction des voyages en avion n’a jamais vraiment été abordée de front en terme environnemental. Il s’agit en effet d’une question sensible qui tourne autour de la notion délicate de voyage non essentiel,
Pour Thierry Ribault, la résilience n’est pas une bonne chose en soi, une force humaine qui aurait été malencontreusement récupérée et instrumentalisée par le néolibéralisme, toujours enclin à compter sur les individus pour surmonter les catastrophes engendrées par un système qu’il n’est pas question de remettre en cause. Il s’agit foncièrement d’une idéologie de l’adaptation et de la soumission, et d’une technologie du consentement, qui transforme les victimes en « acteurs » cogestionnaires de la dévastation.
La prolongation des mesures sanitaires au premier mars 2021 par un simple arrêté ministériel interpelle. Les restrictions de nos droits et libertés doivent être ciblées, proportionnées et temporaires. Ce que ne suit pas la stratégie actuelle qui crée un climat d’arbitraire et de méfiance.
L’analyse sur la période 2010-2020 des incidents graves sur les réacteurs du parc nucléaire d’EDF met en évidence une augmentation des risques du fait du vieillissement des installations, des défaillances d’équipement, des défauts de maintenance et des erreurs d’exploitation. Elle met en évidence en particulier l’importance du risque sismique, notamment pour le fonctionnement des diesels de secours.
Depuis, plusieurs méthodes ont été testées pour restaurer les écosystèmes dans la zone. L’une d’entre elles est fondée sur l’introduction de fourmis moissonneuses dans les sols contaminés.