Recherche : Articles Audio – podcast Fiches Livres Sites Vidéos retour Veille
Uniquement les Articles
Pour voir les références d’un(e) auteur(e), cliquez sur son nom. Pour revenir à la page, utilisez le bouton refresh ci-dessous.
Cela fonctionne également avec les mot-clés de chaque référence.
Résultats pour:
lexique
Atteindre la neutralité carbone, améliorer l'adaptation au changement climatique… Que signifient ces expressions utilisées à foison par les institutions et les médias ? France 24 décrypte plusieurs d'entre elles, primordiales pour comprendre les enjeux de la COP26 sur le réchauffement de la planète.
Certes une définition consensuelle de la décroissance semble enfin émerger, définition qui ne se contente pas d’appeler à stopper la croissance mais qui envisage bien un reflux démocratique de (la domination de) l’économie sur la vie sociale. Ainsi, Timothée Parrique a raison de mettre en avant les 3 aspects de la décroissance : la décrue (économique), la décolonisation (idéologique) et l’utopie (politique).
Tout a commencé par une exclamation soudaine, le 26 février 2000, du chimiste Paul Josef Crutzen (1913–2021) à Cuernavaca au Mexique. Crutzen, météorologue et chimiste, Néerlandais avait reçu le prix Nobel en 1995 pour ses découvertes au sujet de la disparition de la couche d’ozone. Il avait démontré que si les industriels continuaient à émettre des gaz chlorofluorocarbones, c’est toute la vie sur Terre qui serait menacée, d’où la signature du Protocole de Montréal en 1987 pour mettre fin à cette pollution de la haute atmosphère.
il n’existe pas de définition officielle du mot bioplastique. Mais ce terme est en général utilisé pour désigner deux matières très différentes. 1) Les plastiques “biosourcés”, fabriqués à partir de matières premières agricoles, comme le sucre de canne, le maïs, le manioc, la pomme de terre, le chardon… 2) Les plastiques “compostables”, ...
Thanatocène, Occidentalocène, Capitalocène, Industrialocène, Entreprisocène, etc : Ou les suites de la recherche sur l’Anthropocène .
Chez Pro Velo, on croise dans les couloirs et sur le terrain des expert·e·s, passionné.e.s de la petite reine, cyclistes quotidien·ne·s ou encore voyageurs·euses à vélo. Mais bien sûr il arrive qu’une nouvelle recrue, forcément motivée par les enjeux du secteur mais pas nécessairement encore experte en mobilité, rejoigne l’équipe et se trouve un tant soit peu démunie face au jargon en vigueur dans le domaine. C’est l’une de nos collègues récemment arrivée qui nous a fait remarquer qu’à toujours avoir la tête dans le guidon, on en oublie les novices en la matière. Ni une, ni deux nous lui avons proposé la rédaction de cet article pour remettre les pendules à l’heure.
Dans les années 2000, Glenn Albrecht ressent un choc émotionnel face au spectacle désolant qu’offre la Hunter Valley, une région au nord de Sydney soumise à l’exploitation minière, à la dynamite et aux pelleteuses. Le philosophe australien forge en 2003 le terme de « solastalgie », à partir du mot anglais solace (réconfort) et du suffixe grec algia (douleur). La solastalgie est décrite comme le « sentiment de désolation causé par la dévastation de son habitat et de son territoire. » Mais aussi comme « le mal du pays que vous éprouvez alors que vous êtes toujours chez vous. »