Le secteur des assurances fait face à des défis croissants liés aux risques climatiques. Les données assurantielles des dernières décennies témoignent d’une aggravation des événements climatiques, tels que les tempêtes, les inondations et les sécheresses. Cette situation soulève plusieurs questions majeures pour le secteur. La soutenabilité financière : L’augmentation des coûts des sinistres liés aux risques climatiques met en question la viabilité à long terme du régime d’indemnisation des catastrophes naturelles. L’assurabilité des risques : Certains assureurs sont tentés de se désengager des zones les plus à risques. Enfin L’adaptation des modèles d’évaluation : Les assureurs doivent revoir leurs stratégies et leurs modèles d’évaluation des risques pour mieux intégrer et gérer les risques climatiques.
Assurances et risques climatiques
Devant les besoins électriques exponentiels de leurs logiciels, Microsoft, Amazon et Oracle veulent relier des centres de données à des réacteurs.
Si les gains de l’intelligence artificielle pour réduire les émissions restent hypothétiques, les coûts énergétiques, déjà importants, vont devenir, eux, colossaux.
Pour nourrir les immenses besoins de ChatGPT et autres outils d’intelligence artificielle, le secteur de la tech multiplie les centres de données. Ces usines du numérique sont de plus en plus nombreuses, de plus en plus puissantes et de plus en plus voraces en énergie. Un boom mondial dans lequel la France compte prendre sa part.
L’ONG GreenIT juge moins prioritaire de limiter la consommation de bande passante que la vitesse de renouvellement des appareils, dont l’impact environnemental est surtout lié à leur fabrication.