Clément Sénéchal est un auteur, chroniqueur et militant écologiste français. Diplômé de sociologie politique et en Communication politique et sociale, il a été chargé de campagne et porte-parole climat pour Greenpeace France de 2015 à 2023. Son expérience au sein de cette ONG environnementale majeure lui a permis d’acquérir une connaissance approfondie des enjeux climatiques et des dynamiques internes des organisations militantes.
II est auteur et chroniqueur écologie pour le magazine web Frustration. Son ouvrage le plus récent, « Pourquoi l’écologie perd toujours », publié en 2024, offre une analyse critique du mouvement écologiste et de ses échecs.
La coentreprise Northern Lights, financée par Shell, TotalEnergies et Equinor, a inauguré, en septembre 2024, ses douze réservoirs, à Oygarden, sur la côte sud-ouest du pays. Mais, pour l’heure, les industriels censés procéder au captage du CO₂ ne se pressent pas.
La Chine et l’Inde, les deux pays les plus peuplés au monde, se trouvent être les plus producteurs et les plus consommateurs de charbon, tout en installant des panneaux photovoltaïques et des mâts d’éolienne.
La start-up Jimmy Energy étudie un petit modèle destiné à alimenter en chaleur une usine du groupe sucrier Cristal Union, dans la Marne.
Pour nourrir les immenses besoins de ChatGPT et autres outils d’intelligence artificielle, le secteur de la tech multiplie les centres de données. Ces usines du numérique sont de plus en plus nombreuses, de plus en plus puissantes et de plus en plus voraces en énergie. Un boom mondial dans lequel la France compte prendre sa part.
Le groupe dirigé par Patrick Pouyanné passe outre les critiques des associations de défense de l’environnement. Il participera à la construction d’un site géant de GNL, un projet dont le coût total est évalué à 13,2 milliards d’euros.
L’Union européenne risque d’avoir dès 2030 de grandes difficultés à importer le lithium, les terres rares ou le cuivre dont elle a besoin.
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Des fissures sur des tuyauteries, en particulier sur le système d’injection de sécurité, ont été détectées sur plusieurs réacteurs. Les investigations se poursuivent alors que, mercredi 20 avril, en fin de journée, à peine 30 réacteurs sur 56 étaient en fonctionnement.
La perte potentielle de revenu serait comprise entre 0,2 et 0,3 % en moyenne, à l’échelle du continent, d’après le CAE. L’impact pour la France se circonscrirait à « une baisse d’environ 0,15 à 0,3 % » du revenu national brut.
Envisager l’après-pétrole implique un bouleversement technologique, économique et sociétal. La clef de cette transition énergétique est d’abord entre les mains des gouvernements, qui devront arbitrer entre réponse à l’urgence climatique et maintien du pouvoir d’achat.
Si, dans un délai d’un an, l’initiative citoyenne européenne lancée par Greenpeace atteint le million de signatures dans au moins sept pays membres, elle pourra être présentée en audition publique au Parlement.