Collapsologie

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La collapsologie est un courant de pensée transdisciplinaire apparu dans les années 2010 qui envisage les risques d’un effondrement de la civilisation industrielle et ses conséquences.

En France, l’étude d’un possible effondrement de la civilisation « thermo-industrielle » est initiée par l’Institut Momentum co-fondé par Yves Cochet et Agnès Sinaï. Ces derniers définissent l’effondrement comme « le processus irréversible à l’issue duquel les besoins de base (eau, alimentation, logement, habillement, énergie, etc.) ne sont plus fournis (à un coût raisonnable) à une majorité de la population par des services encadrés par la loi».

La collapsologie a été portée vers le grand public par Pablo Servigne et Raphaël Stevens dans leur essai, Comment tout peut s’effondrer. Petit manuel de collapsologie à l’usage des générations présentes publié en 2015.

Voici une sélection d’articles sur cette thématique:

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AFP -

2025

Le gouvernement de Donald Trump s'apprête à renverser la décision qui sert de fondation à la lutte contre les émissions de gaz à effet de serre aux États-Unis, deuxième plus gros émetteur mondial. […] En 1970, le Congrès américain a donné, via le Clean Air Act, le pouvoir à l'Agence de protection de l'environnement (EPA) de réguler "la pollution de l'air qui peut raisonnablement mettre en danger la santé publique".
Depuis l’arrivée au pouvoir du milliardaire en janvier, l’agence spatiale américaine est passée de 18 000 à 14 000 employés.
Des combats d’une rare intensité ont éclaté, jeudi, à la frontière entre les deux pays, faisant au moins quatorze morts. Une réunion d’urgence du Conseil de sécurité de l’ONU est programmée vendredi.
Le président ukrainien Volodymyr Zelensky a assuré dans des déclarations diffusées vendredi avoir entendu les manifestants s'opposant à la loi révoquant l'indépendance d'instances de lutte contre la corruption, et y avoir répondu avec une nouvelle loi.
Une possible rencontre avec le président russe Vladimir Poutine a fait l'objet de discussions lors des négociations cette semaine à Istanbul entre Moscou et Kiev, a affirmé le président ukrainien Volodymyr Zelensky dans des déclarations diffusées vendredi.
Contraindre les grands Etats à réduire leur pollution carbone qui réchauffe la planète est peut-être hors de portée de la plus haute cour mondiale, mais l'avis historique qu'elle a rendu mercredi fournit une arme redoutable aux pays et aux militants à l'avant-garde de la lutte contre le changement climatique. Même s'il est consultatif et non contraignant, l'avis de la Cour internationale de justice (CIJ), plus haute juridiction de l'ONU, n'est pas sans pouvoir, bien au contraire.
Le département d’Etat a confirmé jeudi une partie des informations dévoilées par « The Guardian ». Selon la presse, il s’agit d’implants et stérilets d’une valeur de 9,7 millions de dollars, entreposés en Belgique et qui doivent être incinérés en France.
Les oppositions ont voté contre ce décret-loi qui proposait un panel de mesures censées éviter que la panne du 28 avril ne se reproduise. La péninsule Ibérique avait été privée de courant pendant des dizaines d’heures.
Ce premier recensement devra être complété par l'estimation de la mortalité spécifiquement "attribuable à la chaleur", dans un bilan estival réalisé après le 15 septembre, a précisé Santé publique France
Les Etats-Unis ont annoncé mercredi avoir approuvé une vente d'armements à l'Ukraine visant notamment à renforcer sa défense antiaérienne pour un montant de 322 millions de dollars, selon un communiqué.
La Maison Blanche dit avoir identifié quelque 90 mesures. Elles sont rassemblées autour de trois axes.
La plus haute juridiction de l'ONU va rendre mercredi un avis consultatif sans précédent sur les obligations légales des Etats pour freiner le changement climatique, avec une question clé : la responsabilité historique des grands pollueurs sera-t-elle engagée ?
Le départ d’Edith Chapin s’inscrit dans le contexte d’approbation par le Congrès, la semaine dernière, la suppression de 1,1 milliard de dollars en financements déjà alloués pour les deux prochaines années aux médias publics américains.
Le gouvernement britannique a annoncé mardi sa "décision finale d'investissement" dans la future centrale nucléaire britannique de Sizewell C, dans l'est de l'Angleterre, qui coûtera environ 38 milliards de livres (presque 45 milliards d'euros) aux côtés d'investisseurs privés dont l'énergéticien public français EDF. Cette future centrale est un projet clé pour la sécurité énergétique britannique et le gouvernement britannique "fait les investissements nécessaires pour ouvrir un nouvel âge d'or au nucléaire", a assuré le ministre de l'Energie Ed Miliband dans un communiqué.
"La résidence du personnel de l'OMS à Deir el-Balah, dans la bande de Gaza, a été attaquée trois fois aujourd'hui".
Le bras de fer s’est déplacé lundi au tribunal fédéral du Massachusetts. L’université dénonce une offensive politique sans précédent de Donald Trump, l’accusant de vouloir contrôler l’autonomie des universités américaines.
La construction d'un méga-barrage controversé sur un fleuve traversant le Tibet et l'Inde a commencé, ont annoncé samedi les médias d'Etat chinois, le Premier ministre Li Qiang assistant à la cérémonie d'inauguration. En décembre, la Chine a annoncé le projet sur le fleuve - connu sous le nom de Yarlung Tsangpo au Tibet et de Brahmapoutre en Inde - en le liant aux objectifs de neutralité carbone de Pékin et aux objectifs économiques dans la région du Tibet.
Les défenseurs de l’environnement redoutent un recul historique de la lutte contre la pollution aux Etats-Unis.
Des panneaux solaire ultra-fins et flexibles pour être facilement intégrés à des bâtiments et installés sur des terrains accidentés: c'est le pari du Japon pour atteindre ses objectifs d'énergies renouvelables tout en luttant contre la mainmise de la Chine sur le secteur. Ces panneaux à base de pérovskite (type de minéral) constituent "notre meilleur atout pour atteindre à la fois la décarbonation et la compétitivité industrielle", a insisté en novembre le ministre nippon de l'Industrie, Yoji Muto. Le Japon vise la neutralité carbone d'ici 2050. Et au total, le pays souhaite installer d'ici 2040 suffisamment de panneaux solaires à pérovskite pour produire 20 gigawatts d'électricité... puissance équivalant à 20 réacteurs nucléaires supplémentaires.
Le Clarity Act, qui doit maintenant être examiné par le Sénat, dote le pays d’un cadre réglementaire plus clair, conformément aux souhaits de Donald Trump, très favorable à cette industrie.