La collapsologie est un courant de pensée transdisciplinaire apparu dans les années 2010 qui envisage les risques d’un effondrement de la civilisation industrielle et ses conséquences.
En France, l’étude d’un possible effondrement de la civilisation « thermo-industrielle » est initiée par l’Institut Momentum co-fondé par Yves Cochet et Agnès Sinaï. Ces derniers définissent l’effondrement comme « le processus irréversible à l’issue duquel les besoins de base (eau, alimentation, logement, habillement, énergie, etc.) ne sont plus fournis (à un coût raisonnable) à une majorité de la population par des services encadrés par la loi».
In the run-up to the November election, conventional analysis suggested that a Trump victory would mean an additional four billion tons of CO2 emissions to the atmosphere by 2030, a total surrender on the climate pledges the country had made under the Paris Agreement and the functional end of the global goals that agreement established among nearly all the world’s nations.
Malgré une prise de conscience de plus en plus forte de la nécessité de lutter contre le réchauffement climatique, l’humanité a trop tardé à agir. Elle devra donc vivre dans un monde « dégradé et désorienté », prévient le journaliste du New York Times David Wallace-Wells. Les progrès en matière de transition énergétique permettent cependant d’espérer que nous éviterons l’apocalypse qu’on prédisait il y a de cela à peine quelques années.
Dans La Terre inhabitable, paru début novembre, David Wallace-Wells brosse le tableau des effets terrifiants du changement climatique. Pénuries alimentaires, sécheresses, inondations… Un monde avec 4°C de plus est beaucoup plus effroyable que ce qu’on ne croit. 20 Minutes a rencontré David Wallace-Wells qui met en garde. Le niveau de souffrance augmente à mesure que la température monte.