La collapsologie est un courant de pensée transdisciplinaire apparu dans les années 2010 qui envisage les risques d’un effondrement de la civilisation industrielle et ses conséquences.
En France, l’étude d’un possible effondrement de la civilisation « thermo-industrielle » est initiée par l’Institut Momentum co-fondé par Yves Cochet et Agnès Sinaï. Ces derniers définissent l’effondrement comme « le processus irréversible à l’issue duquel les besoins de base (eau, alimentation, logement, habillement, énergie, etc.) ne sont plus fournis (à un coût raisonnable) à une majorité de la population par des services encadrés par la loi».
La limite planétaire de la perte de biodiversité était initialement mesurée grâce aux taux d'extinction des espèces, mais cette mesure, ainsi que d'autres, se sont avérées insuffisantes pour déterminer un seuil mondial de perte de biodiversité. À l'heure actuelle, nous ne pouvons pas déterminer de seuil mondial de perte de biodiversité, ou d'intégrité de la biosphère, comme on l'appelle aujourd'hui.
On estime que près de la moitié des terres du Kenya est utilisée à des fins agricoles, et qu’environ 12 % des terres sont désignées comme zones protégées. La plupart des autres pays africains tendent également à favoriser les terres agricoles et les populations plutôt que les réserves et les parcs nationaux, ce qui semble mettre le continent africain dans une position difficile pour assurer la protection...
Une nouvelle étude a mis en évidence la présence de microplastiques dans des placentas humains. Les résultats suggèrent que ces microparticules pourraient nuire à la santé et au développement du fœtus. Selon les chercheurs, ces microplastiques ont probablement été ingérés ou inhalés par les femmes enceintes avant de s'infiltrer dans leur placenta.