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COPERNICUS – Mises à jour

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chaleur record

août 2024

Alors que c’est l’hiver en Australie, il y fait exceptionnellement chaud, avec des températures avoisinant les 40 °C (soit environ 16 °C de plus que la moyenne !).
Méditerrassée. Depuis le début de l’été, les eaux méditerranéennes explosent tous les records de chaleur. Quels sont les effets, à moyen et plus long terme, de cette surchauffe sur l’équilibre des écosystèmes marins ? Et comment tout cela bouleverse-t-il le climat de la région ? Explications.
L’Australie a enregistré ce lundi 26 août des températures hivernales record, le mercure atteignant 41,6°C dans une partie de la côte nord-ouest du pays, a annoncé le centre météorologique australien.
Extreme heat affecting nearly 23m people across US south-west and pushing Texas’s electrical grid to the limit.
Pour la deuxième année consécutive, les températures de la Méditerranée battent des records, notamment jeudi, menaçant la vie marine, favorisant les espèces invasives et augmentant l'intensité potentielle des précipitations dans une région particulièrement touchée par les effets du réchauffement climatique.
L’Agence américaine d’observation océanique et atmosphérique souligne dans son dernier rapport que le mois de juillet 2024 a été le plus chaud jamais enregistré. Un constat qui n’est pas partagé par son équivalent européen.
Déjà presque deux fois plus rapide en Belgique que la moyenne mondiale, le réchauffement climatique se poursuivra aussi à l’échelle du pays. Mais dans quelles proportions? Voici ce que nous apprennent les relevés de températures de l’IRM.
Dans une étude publiée dans « Nature », des chercheurs s’alarment pour l’un des écosystèmes les plus riches de la planète, menacé par le réchauffement des eaux.
Depuis janvier, la température mondiale est de 0,27 °C plus élevée que pendant la même période en 2023, qui était déjà une année inédite.
Chaud devant ! Sur le triste podium des records de température, juillet 2024 arrive en seconde position, juste derrière juillet 2023. D’après les résultats dévoilés le 8 août par le service européen Copernicus, ce mois écoulé « a été à la fois le deuxième mois de juillet le plus chaud et le deuxième mois le plus chaud au niveau mondial dans l’enregistrement des données ».
Alors, ce mois de juillet ? Il a fait chaud ? Ce qui intéresse les experts du climat, ce n’est pas la météo à un moment précis, mais la tendance des moyennes à long terme. Et elle est claire : Copernicus, le Service du Changement climatique, dépendant de la Commission européenne, vient de livrer ses données pour juillet 2024.
L'Antarctique a enregistré sur le mois de juillet des températures en moyenne de 10 °C au-dessus de la normale.
Le continent blanc, qui se réchauffe le plus vite dans le monde, a enregistré des températures anormalement élevées en juillet et début août.
La Grèce a connu son mois de juillet le plus chaud jamais enregistré selon des données météo préliminaires, a annoncé lundi l’observatoire national, après un record déjà confirmé en juin.
Des températures record ont été enregistrées samedi dans la province du Zhejiang, dans l'est de la Chine en proie à de fortes chaleurs, selon les autorités météorologiques.
Le Japon a connu cette année son mois de juillet le plus chaud depuis la mise en place de statistiques comparables il y a 126 ans, a annoncé l'agence météorologique nippone.

juillet 2024

Vingt-et-une personnes sont décédées en 24 heures à Beni Mellal, une ville du centre du Maroc, à cause d'une nouvelle vague de chaleur ayant frappé le pays, en proie à sa sixième année consécutive de sécheresse, a annoncé jeudi le ministère de la Santé.
Dimanche 21 juillet a été la journée la plus chaude enregistrée dans le monde depuis le début des relevés, en 1940, avec une température moyenne mondiale à la surface de la Terre de 17,09 degrés, a annoncé mardi le réseau européen Copernicus.
Le lundi 22 juillet a été la journée la plus chaude jamais enregistrée dans le monde depuis le début des relevés en 1940, a indiqué mercredi le réseau européen Copernicus, battant un record établi la veille.
Le mois de juin 2024 a été le plus chaud dans le monde. Depuis un an, des records de températures sont battus chaque mois. Pourtant, en Occitanie, on constatait jusqu'ici une fraîcheur anormale pour la période estivale. Comment cela est-ce possible ? La météo ne fait pas le climat.
Sous l'effet des rejets de gaz à effet de serre de l'humanité, les records de températures mondiales continuent de tomber depuis plus d'un an: juin 2024 est devenu le mois de juin le plus chaud jamais mesuré, effaçant le record déjà battu en 2023.
Si le thermomètre était proche ou inférieur aux normales de saison en Europe de l’Ouest, notamment en France, une grande partie du monde a subi des températures supérieures aux normes, voire exceptionnelles.
La température moyenne au niveau mondial a battu des records chaque mois depuis juin 2023.
Monthly global surface air temperature anomalies (°C) relative to 1850–1900 from January 1940 to June 2024, plotted as time series for all 12-month periods spanning July to June of the following year. The 12 months from July 2023 to June 2024 are shown with a thick red line, while all other 12-month periods are shown with thin lines shaded according to the decade, from blue (1940s) to brick red (2020s).
Voilà un record dont on se passerait bien. Juin 2024 a été le mois de juin le plus chaud jamais enregistré, selon les données les plus récentes de Copernicus, le programme européen d’observation de la Terre. La température de l’air sur le globe a été, en moyenne, de 16,66 °C en juin 2024, soit 0,67 °C de plus que la température moyenne à la même période de l’année entre 1991 et 2020, et 1,5 °C de plus qu’entre 1850 et 1900. Cela fait donc douze mois consécutifs que la planète connaît, chaque mois, un (...)

juin 2024

Selon le CEO de Viessmann, l’électricité est trop chère pour rentabiliser un investissement dans une pompe à chaleur.
L’institut Copernicus annonce, ce mercredi 5 juin, que le mois de mai 2024 a été le mois le plus chaud jamais enregistré sur Terre. Il s’agit du douzième mois consécutif pour lequel les records de températures mondiales sont battus.
Le mois de mai a connu des températures records à la surface des océans. C’est le quatorzième mois consécutif à être le plus chaud de l’histoire pour ce paramètre, selon les données Copernicus publiées ce jeudi. L’océan arrive-t-il à ses limites dans l’absorption de l’excès de chaleur émises par les activités humaines ? Les scientifiques se posent la question. Les dommages sur Terre et dans la mer sont en tout cas déjà multiples.
Le mois de mai 2024 a été le mois le plus chaud jamais enregistré au niveau mondial, avec une température moyenne de l'air en surface de 0,65°C au-dessus de la moyenne 1991-2020, a rapporté mercredi le Service Copernicus sur le changement climatique (C3S) dans un communiqué. Il s'agit, en l'occurrence, du 12e mois consécutif pour lequel la température moyenne mondiale a atteint une valeur record.
La France a connu son quatrième printemps le plus pluvieux, avec un déficit d’ensoleillement de 20% et des températures plus élevées que les normales pour la troisième année d’affilée, a annoncé Météo France ce lundi 3 juin.

mai 2024

Les températures extrêmes qui sévissent en Inde ont des conséquences graves sur la santé publique surtout dans les mégapoles du pays, ont averti jeudi des experts.Les vagues de chaleur constituent "la plus grande menace pour le bien-être de l'Inde aujourd'hui", explique à l'AFP Aarti Khosla, directrice de l'Institut de recherche Climate Trends.Les récents pics dans la région de la capitale sont, selon elle, "la preuve que la question qui se pose aujourd'hui est celle de la survie".
L’Inde est écrasée par une vague de canicule. Dans la capitale, les autorités ont mis en garde contre une « très forte probabilité de développer des maladies liées à la chaleur et des coups de chaud à tous les âges ».
Une température record de 52,3 °C a été enregistrée mercredi à New Delhi, la capitale de l’Inde. Les services météorologiques indiens, qui font état de "fortes vagues de chaleur", ont rapporté cette température record dans deux stations de la banlieue de New Delhi, Narela et Mungeshpur.
Le mercure a explosé dans la capitale indienne ce mercredi 29 mai. Pour se rafraîchir, les habitants ont massivement utilisé les systèmes de climatisation, faisant accroître la demande d’énergie. Au Pakistan, le thermomètre a grimpé à 53°C.
Le pays, qui fait face à une « vague de chaleur sévère », a ordonné la fermeture anticipée des écoles de New Delhi pour les vacances d’été.
Les cartes météo se colorent de rouge en Inde : 47°C à New Delhi lundi, canicule à Bombay... La chaleur persistante complique les élections générales qui durent jusqu'en juin. Le risque thermique s'accompagne d'inégalités sociales avec les ménages pauvres, travailleurs en extérieur plus vulnérables.
Selon une étude publiée ce mardi et qui a reconstitué les températures du passé pour les mois de juin à août, l'été 2023 a été le plus chaud en 2000 ans.
Global temperature (12-month mean) is still rising at 1.56°C relative to 1880-1920 in the GISS analysis through April (Fig. 1). [Robert Rohde reports that it is 1.65°C relative to 1850-1900 in the BerkeleyEarth analysis.[3]] Global temperature is likely to continue to rise a bit for at least a month, peak this summer, and then decline as the El Nino fades toward La Nina. Acceleration of global warming is now hard to deny. The GISS 12-month temperature is now 0.36°C above the 0.18°C/decade trend line, which is 3.6 times the standard deviation (0.1°C). Confidence in global warming acceleration thus exceeds 99%, but we need to see how far temperature falls with the next La Nina before evaluating the post-2010 global warming rate.
The Guardian a mené un sondage pour connaître le ressenti de centaines de chercheurs en lien avec le GIEC sur le réchauffement climatique.
L'été 2023 a battu tous les records en devenant l'été le plus chaud depuis deux millénaires dans les zones tempérées de l'hémisphère nord.
Climat L’été 2023 dans l’hémisphère nord a pulvérisé les records.
L'année 2023, la plus chaude jamais enregistrée dans le monde, a encore battu un nouveau record: les scientifiques ont pu établir que l'été dans l'hémisphère nord a été le plus chaud en 2.000 ans, selon une étude publiée mardi.
En observant les cernes des arbres, une équipe de chercheurs a pu définir que l’été 2023 était plus chaud, d’au moins un demi-degré, que l’été le plus chaud avant l’ère industrielle dans les zones tempérées de l’hémisphère Nord.
Le mois d’avril 2024 a été le onzième mois consécutif le plus chaud jamais enregistré, révèle le programme européen Copernicus. Il bat le précédent record établi en avril 2016.
Plusieurs régions du Mexique, dont la capitale Mexico et ses neuf millions d'habitants, ont subi des coupures d'électricité par intermittence en raison de l'envolée de la consommation en raison de la canicule, a indiqué le gouvernement jeudi. Jusqu'à 48°C... Des coupures ont été signalées à Mexico, dans l'État de Mexico voisin et ceux du Michoacán (ouest), du Tamaulipas (nord-ouest) et Campeche (sud-est). La Commission nationale de l'eau a fait état de températures "maximales de 48 degrés et plus dans les régions de San Luis Potosi (nord-est) et Tamaulipas".
Copernicus, le programme d'observation de la Terre de l'Union européenne, a publié son rapport sur la température de l'air en avril 2024 et la planète a battu plusieurs records historiques de chaleur.
Oubliez l’optimisme des leaders politiques qui répètent que le réchauffement planétaire peut encore être limité à un seuil viable. L’inaction climatique et l’influence du lobby des énergies fossiles nous ont placés irrémédiablement sur la trajectoire d’un dérèglement catastrophique pour l’avenir de l’humanité. Ce constat pour le moins inquiétant se dégage d’une enquête inédite du réputé quotidien britannique The Guardian, qui a sondé 380 auteurs et collaborateurs du Groupe intergouvernemental d’experts sur l’évolution du climat (GIEC) qui ont contribué aux rapports produits depuis 2018. Ces rapports constituent l’assise scientifique des négociations climatiques mondiales. Les résultats obtenus auprès des spécialistes du climat indiquent que 77 % d’entre eux estiment que le réchauffement au cours du présent siècle dépassera les 2,5 °C par rapport à l’ère préindustrielle. Ce réchauffement est nettement plus élevé que l’objectif convenu dans le cadre de l’Accord de Paris. En vertu de cette entente adoptée par l’
Sur les douze derniers mois, la température du globe a été en moyenne 1,61 degré plus élevée qu’à l’ère préindustrielle, dépassant la limite de 1,5 degré fixée par l’accord de Paris en 2015.
La température des océans a également battu un record.

avril 2024

La Birmanie a battu un record de chaleur pour une journée du mois d'avril, avec 48.2°C constatés à Chauk, dans le centre du pays, dimanche, depuis le début des relevés il y a 56 ans, a annoncé lundi l'institut national de météo.
Chaleur écrasante et humidité étouffante, l’Asie du Sud-est connaît des conditions météorologiques exceptionnelles. Plusieurs français en vacances ou vivant à Thaïlande ont raconté à « Libé » leur vie à plus de 50°C ressentis.
Tandis que la Chine subit des inondations historiques, l’Asie du Sud-Est étouffe sous des températures extrêmes. Une situation inquiétante.
L'Asie en première ligne des effets du réchauffement climatique. Le Continent a été "la région du monde la plus touchée par les catastrophes" liées à la météo en 2023, a indiqué l'ONU, mardi 23 avril, précisant que les inondations et tempêtes y ont fait le plus de victimes et de pertes économiques.
Les scientifiques ont constaté “un véritable saut en termes d’anomalies de température mondiale entre 2022 et 2023”. Au-delà des concentrations de gaz à effet de serre records dans l’atmosphère et divers facteurs liés à la variabilité du climat, une petite partie de cet excès de chaleur n’est toujours pas expliquée. À quoi s’attendre alors pour 2024 ?
Le Vieux Continent a subi de nombreux phénomènes météorologiques extrêmes en 2023. Conséquence directe, le nombre de jours de "stress thermique extrême", où la température ressentie a dépassé l'équivalent de 46° C, a augmenté, selon un rapport de Copernicus et de l'ONU publié lundi.
Chaleur tourne. Les impacts du changement climatique se sont particulièrement fait ressentir en Europe lors de l’année la plus chaude jamais mesurée sur Terre, dévoilent l’Organisation météorologique mondiale (OMM) et Copernicus, le service européen de surveillance de la planète.
Un rapport publié par l’institut Copernicus et l’Organisation météorologique mondiale dévoile qu’au plus fort de la canicule, le 23 juillet 2023, 13 % du continent a connu une situation délétère pour les organismes.
Selon une étude du réseau World Weather Attribution publiée jeudi, le réchauffement climatique "d'origine humaine" est responsable de la vague de chaleur exceptionnelle qui a touché le Sahel du 1er au 5 avril et provoqué de nombreux décès au Mali et au Burkina Faso. Les scientifiques précisent qu'un tel épisode climatique ne survient en principe qu'"une fois tous les 200 ans".
Selon le réseau World Weather Attribution, début avril, les températures maximales au Mali et au Burkina Faso ont gagné 1,5 °C du fait du réchauffement mondial pendant la journée et 2 °C durant la nuit, créant des conditions difficiles pour les plus fragiles.
Pour la deuxième fois en dix ans, tous les coraux de la planète connaissent un épisode massif de blanchissement du fait de températures océaniques extrêmes, alerte lundi l’Agence américaine d’observation océanique et atmosphérique (NOAA).
Une revue publiée dans PLOS One cumpulse les risques du climat pour les infrastructures. Selon l’étude, les dommages annuels moyens s’élèvent actuellement à environ 700 milliards de dollars par an. Ce chiffre devrait être multiplié par plusieurs au cours du 21e siècle en raison du changement climatique et aussi de l’expansion des actifs d’infrastructure. Le climat aura notamment des conséquences sur le transport routier et ferroviaire : les hautes températures amènent des distorsions des rails, des changements importants de températures provoquent le dégel du permafrost et des déformations du terrain. Les précipitations intenses causent des inondations, des glissements de terrain, des perturbations de l’équipement électronique, des mouvements des rails, et des dépôts sur les voies. Les vents forts déracinent les arbres et transportent d’autres objets, par exemple des tôles ondulées, qui interrompent les lignes électriques et endommagent les rails.
Le thermomètre à Sapporo a dépassé lundi les 25°C, battant ainsi un record de chaleur pour cette période de l'année dans la capitale de l'île de Hokkaido, tout au nord du Japon, a annoncé l'agence météorologique nippone (JMA). Située dans la région la plus froide du Japon, Sapporo a accueilli les Jeux olympiques d'hiver de 1972 et organise chaque février un festival de la neige très populaire, avec des sculptures de glace géantes.
Pour la première fois depuis l’aire préindustrielle (1850-1900), le fameux seuil de +1.5°C a été atteint ou presque (+1.48°C signalé par Copernicus (*) à l’échelle globale pulvérisant le précédent record (2017) de +0.17°C. Depuis juillet 2023, c’est en fait tous les jours ou presque que la température bat les précédents records journaliers avec des anomalies à l’échelle globale atteignant parfois les +2°C ces derniers mois. Enfin, la hausse du niveau des mers a fait un « bon » en 2023 en augmentant de presque un facteur deux par rapport aux précédentes années. Si une telle accélération de la hausse du niveau marin a été observée, ce n’est pas à cause d’une fonte subite des calottes polaires mais, à cause de l’expansion thermique des océans qui se sont « subitement » réchauffés en 2023. En Atlantique Nord par exemple, la température de surface a augmenté de +0.4°C par rapport à 2022 alors qu’elle n’avait quasiment plus évolué sur la période 2020-2022. Mais pourquoi un tel emballement des températures des océan
Ce samedi 13 avril, le température moyenne en France s’est établie à 17,9 °C selon Météo France. Des records de chaleur ont aussi été relevés.
La Suède a connu son 'début d’été le plus précoce jamais enregistré, avec des températures de plus de 10 °C...
Des records de chaleur ont été enregistrés en Antarctique : -9,4°C au lieu des -40°C habituels. Un constat inquiétant quand on sait que le continent a assez de glace pour augmenter le niveau des océans de 58 mètres. De quoi faire disparaître 8000 hectares de côtes en France.
Un mois de plus, un nouveau record de chaleur à l’échelle mondiale qui laisse les climatologues perplexes, espérant qu’il s’agit d’un phénomène lié à El Niño et non d’un symptôme d’une santé planétaire plus mauvaise que prévu. Les températures à la surface du globe en mars étaient supérieures de 0,1 °C au précédent record pour ce mois, établi en 2016, et de 1,68 °C à la moyenne préindustrielle, selon les données publiées mardi par le Copernicus Climate Change Service.
Les températures du week-end dernier, dignes d’un mois d’été, illustrent l’un des effets du changement climatique : un retour de la chaleur toujours plus précoce au printemps. Cette tendance s’observe notamment à Bordeaux et Strasbourg.
Avec un nouveau record de température en mars, les douze derniers mois ont été les plus chauds jamais enregistrés dans le monde, 1,58°C de plus que dans le climat de la planète au XIXe siècle, avant que se fasse sentir l'effet de la combustion des énergies fossiles, de la déforestation ou de l'agriculture intensive.
Le mois de mars 2024 a été le dixième mois d’affilée à enregistrer une température moyenne plus élevée qu’un mois de mars normal, selon le service changement climatique (C3S) de l’observatoire européen Copernicus.
Avec une température moyenne 1,68 °C plus élevée qu'un mois de mars normal dans le climat de l'ère préindustrielle, mars 2024 a été le dixième mois consécutif à battre un record de chaleur, selon l’observatoire européen Copernicus.
If the anomaly does not stabilise by August, ‘the world will be in uncharted territory’, says climate expert
Les records de température sur la terre et dans les océans sont à nouveau battus pour le mois de mars 2024, révèle ce mardi 9 mars l’observatoire européen du climat Copernicus. Ces douze derniers mois sont les plus chauds jamais recensés.
Si juillet 2023 est devenu le mois le plus chaud jamais mesuré dans le monde, tous les mois depuis juin ont aussi battu leur propre record.
Professeure émérite de physique de l'atmosphère et du climat à la Sorbonne, Katia Laval a contribué au développement du premier modèle climatique français. Invitée lundi dans La Matinale, elle souligne l'urgence de comprendre les variations brutales et les événements climatiques récents, inexpliqués par les modèles actuels.
Un nouveau record journalier en ce début de printemps.
Le phénomène climatique El Niño a provoqué des températures anormalement élevées en Asie du Sud-Est ce vendredi 5 avril, provoquant la fermeture de milliers d’écoles.
Des températures inédites pour la saison ont été enregistrées partout sur la planète. Mars 2024 est probablement le dixième mois consécutif à battre des records de chaleur à l’échelle mondiale.
Météo France annonce des températures digne d’un début d’été pour la fin de semaine, «totalement dans la logique du réchauffement climatique», estime le prévisionniste Tristan Ann.

mars 2024

Rouge écarlate, voire noire. L'Amérique du Sud et l'Afrique suffoquent sous des chaleurs extrêmes depuis plusieurs jours, faisant tomber les uns après les autres les records de températures. Au Soudan du Sud, les écoles ont été contraintes de fermer leurs portes, pour une durée indéterminée. Une première dans un pays où les fortes chaleurs ne sont pas rares.
La vague de chaleur qui touche l'Amérique latine depuis le début de l'année a fait grimper la température ressentie à un niveau record de 62,3 °C à Rio de Janeiro au Brésil dimanche, alors que la pluie menace dans le sud du pays. Les experts attribuent ces phénomènes extrêmes et l'instabilité météorologique au changement climatique et au phénomène El Nino qui touche la côte sud du continent sud-américain.
Copernicus vient de lancer son atlas interactif du climat, une carte du monde qui permet de consulter l'évolution du climat passé et futur, jusqu'en 2100. Découvrez les pays qui présentent l'évolution climatique la plus extrême pour le futur et parmi lesquels figurent la France.
Ce 19 mars, l’organisme dépendant des Nations unies publie son panorama annuel sur l’état du climat. Des données inédites révèlent que la température moyenne de la Terre s’est hissée 1,45°C au-dessus de celle de l’ère préindustrielle.
La décennie qui vient de s'écouler est la plus chaude jamais enregistrée, provoquant en 2023 une fonte sans précédent des glaciers, a alerté l'ONU mardi.
L'ONU a alerté, mardi, qu'il y a une "probabilité élevée" que l'année 2024 affiche à son tour des températures inégalées. Une déclaration qui intervient alors que l'année écoulée vient conclure une décennie de chaleur record, poussant la planète "au bord du gouffre", selon les Nations unies.
Températures extrêmes, hausse du niveau de la mer, sécheresses, catastrophes naturelles… 2023 aura été l’année de tous les dépassements. Et 2024 pourrait encore voir les choses s’aggraver alerte l’Organisation météorologique mondiale. Seule lueur d’espoir : le recours aux énergies renouvelables n’aura jamais été aussi important.
62,3 °C ressentis à Rio de Janeiro dimanche 17 mars. Le thermomètre s’affole au Brésil — il indiquait une température réelle de 42 °C — sous les effets conjugués du réchauffement climatique et du phénomène El Niño comme l’explique France Info.
La vague de chaleur qui touche l'Amérique latine depuis le début de l'année a fait grimper la température ressentie à un niveau record de 62,3°C degrés Celcius à Rio de Janeiro au Brésil ce week-end, alors que la pluie menace dans le sud du pays.
La fin de l’été austral est marquée par une chaleur inédite à Rio de Janeiro ou Sao Paulo, où l'on a atteint jusqu’à 62 degrés, et par des inondations et du froid dans le sud du pays. Un phénomène en partie dû à El Nino.
Les eaux de surface des océans du globe atteignent sans interruption, depuis mars 2023, des températures jamais enregistrées auparavant.
Les eaux de surface des océans du globe atteignent sans interruption, depuis mars 2023, des températures jamais enregistrées auparavant.
Février 2024 a été le mois de février le plus chaud jamais enregistré, annonce l'observatoire européen du climat Copernicus ce jeudi. Les températures de l’océan atteignent aussi un niveau record, à 21,06 °C.
Après un été et un automne records, le monde a connu son hiver le plus chaud jamais enregistré, selon le dernier bulletin, publié jeudi, de l'observatoire européen Copernicus, qui pointe la responsabilité des émissions de gaz à effet de serre et du phénomène climatique El Niño.
Near-real time updates of key global climate variables from the the Copernicus Climate Change Service (C3S)
Les trois derniers mois ont été les plus chauds jamais enregistrés dans le monde, février s’inscrivant dans une série de neuf records mensuels consécutifs, sous l’effet de la poursuite des émissions de gaz à effet de serre et du phénomène climatique El Niño, selon Copernicus. L’observatoire européen a égrené, dans son dernier bulletin mensuel publié jeudi, une nouvelle série de chiffres chocs : avec une température de l’air de 13,54°C en moyenne, le mois passé s’est inscrit 1,77°C au-dessus d’un février moyen sur la période 1850-1900. C’est aussi 0,12°C de plus que le record précédent pour un mois de février, qui remontait à 2016.
Juillet, septembre, octobre… mois après mois, les records se suivent et se ressemblent. Février 2024 est le mois de février le plus chaud jamais enregistré dans le monde depuis l’ère pré-industrielle, a annoncé jeudi 7 mars l’observatoire européen Copernicus. C’est la neuvième fois consécutive qu’un record mensuel est battu.
Le Maroc enregistre des records de chaleur cet hiver, avec le mois de janvier le plus chaud recensé dans le royaume depuis 1940, a indiqué mercredi à l'AFP la Direction générale de la météorologie (DGM), imputant le phénomène au réchauffement climatique.
La Tunisie face à l’épreuve du changement climatique (3). La fréquence des périodes caniculaires et des infrastructures inadaptées risquent de peser lourd sur l’avenir du secteur touristique.
Jusqu’à présent, le site global-climat.com publiait les données journalières de température qui n’étaient pas facilement accessibles, à moins d’utiliser des logiciels dédiés pour extraire les données. Il fallait en outre coder en Python, un langage informatique, pour extraire des données plus détaillées sur l’historique. Mais bonne nouvelle, Copernicus a lancé un nouvel outil, et il est remarquable. Une page dédiée, « Climate Pulse », permet de visualiser les données journalières (anomalies, valeurs absolues) sous forme de graphique, de fichier CSV et de carte d’anomalies. Le lien vers cette page est le suivant : https://pulse.climate.copernicus.eu.
L’année 2023 a été classée comme la plus chaude enregistrée depuis 1850, avec 14,98 °C de moyenne sur l’ensemble du globe. La tendance continue en 2024. Le principal coupable : le réchauffement lié aux gaz à effet de serre d’origine humaine.
L'hiver météorologique 2024 a été le deuxième le plus chaud jamais enregistré ressort-il du bilan climatique saisonnier de l'Institut royal météorologique (IRM) communiqué vendredi.

février 2024

Conclu par un mois de février exceptionnellement doux, l’hiver météorologique devrait se classer juste derrière ceux de 2020 et 2016 en termes de température, note Météo-France ce jeudi 29 février.
Entre début décembre et fin février, le mercure devrait dépasser "d'environ deux degrés" les normales de saison en France, annoncé jeudi Météo France. C'est la sixième année consécutive que les températures des trois mois d'hiver sont plus chaudes d'au moins 0,8°C que les moyennes des trois dernières décennies.
Excepté de courtes séquences hivernales, les températures sont dignes du printemps. L’hiver 2023-2024 termine au troisième rang des hivers les plus doux jamais mesurés en France, derrière 2020 (+2,3 °C) et 2016 (+2,1 °C), a annoncé Météo-France le 29 février. Selon ses prévisionnistes, le mercure devrait ainsi dépasser « d’environ 2 °C » les normales de saison.
Le mois de février 2024 dépasse de façon spectaculaire les records de chaleur dans le monde entier. La température des océans est très élevée. La glace marine Antarctique est très réduite. Le phéno…
Des feux de forêts sur fond de record de chaleur ravagent le Texas aux Etats-Unis. Une usine d’armement nucléaire a dû arrêter ses activités face au risque des incendies.
Un nouveau record de température pour le mois de février.
Jonathan Watts Traduction Deepl Josette – The Guardian - Le mois de février est en passe de battre un nombre record de records de chaleur, selon les météorologues, car le réchauffement climatique d’origine humaine et le phénomène naturel El Niño font grimper les températures sur terre et dans les océans.
Rapid ocean warming and unusually hot winter days recorded as human-made global heating combines with El Niño
Le Maroc subit, en plein mois de février, des chaleurs dantesques. Selon les données du service d’information météorologique Ogimet, cités par Ouest France, le mercure a atteint mercredi 14 février 36,6 °C à Tan-Tan, dans le sud du pays, 36,4 °C à Essaouira, 36 °C à Agadir, 34,8 °C à Casablanca et 33,9 °C à Rabat. « À minuit, il faisait encore 30.5 °C à Sidi Ifni », décrit l’agroclimatologue Serge Zaka sur X (ex-Twitter).
L’hiver serait-il déjà terminé ? Avec 25 °C au pied des Pyrénées, 23 °C sur le Pays basque, entre 17 et 20 °C dans la vallée du Rhône et 15 °C à Paris, les températures du mois de février sont particulièrement chaudes. Ceci à cause « d’un flux de sud-ouest à sud qui amène sur le pays des masses d’air très doux », selon Météo France.
L’accumulation de jours particulièrement doux se poursuit en ce mois de février. Résultat : la saison est en train de se hisser au niveau de l’hiver 2019-2020, où la barre des 20 degrés avait été franchie 88 fois, un record en France.
Marine heat waves will become a regular occurrence in the Arctic in the near future and are a product of higher anthropogenic greenhouse-gas emissions, according to a study just released by Dr. Armineh Barkhordarian from Universität Hamburg's Cluster of Excellence for climate research CLICCS. Since 2007, conditions in the Arctic have shifted, as confirmed by data recently published in the journal Communications Earth & Environment. Between 2007 and 2021, the marginal zones of the Arctic Ocean experienced 11 marine heat waves, producing an average temperature rise of 2.2 degrees Celsius above seasonal norm and lasting an average of 37 days. Since 2015, there have been Arctic marine heat waves every year.
Le mois de janvier 2024 a été le plus chaud jamais enregistré dans le monde et, pour la première fois, la barre de 1,5 °C de réchauffement par rapport à l’ère préindustrielle a été franchie sur 12 mois consécutifs, selon les données de l'observatoire européen Copernicus.
Les fortes températures ont engendré la mort de 5 167 personnes, annonce ce jeudi 8 février Santé publique France. L’un des niveaux les plus élevés des dernières années.
Quand la grosse chaleur d’été de Rio nous met au défi.
La température moyenne au cours des 12 derniers mois est la plus haute jamais enregistrée. Elle dépasse de 1,52 °C la température moyenne de la période préindustrielle, franchissant ainsi le seuil limite fixé dans l’accord de Paris.
"C'est officiel", a annoncé le porte-parole de l'agence météorologique.
Les températures atteignent de nouveaux sommets, mais le monde ne réduit (toujours) pas ses émissions - Résumé analytique
Le niveau inédit de 21,1 °C en moyenne dans les eaux de surface a été atteint en août 2023, et de nouveau en janvier 2024. Un symptôme du réchauffement aux conséquences majeures sur la biodiversité et la capacité du milieu marin à stocker le CO₂.
Avec +0,6 degré pour le mois de janvier, voilà 24 mois consécutifs que les températures en France ne sont pas passées sous les normales de saison, a indiqué Météo France ce jeudi 1er février.

janvier 2024

Un week-end printanier en plein hiver. En Espagne et dans le sud de la France, de nouveaux records de chaleurs sont tombés pour un mois de janvier. Un impressionnant redoux qui inquiète les scientifiques.
Si la tendance observée mercredi par Météo France se poursuit ce jeudi 25 janvier, le premier mois de l’année 2024 serait le vingt-quatrième mois d’affilée observant des températures supérieures aux moyennes.
Alors que la température moyenne annuelle de la planète s'approche rapidement du seuil critique de 1,5 °C au-dessus des niveaux préindustriels, l'année dernière a officiellement battu le record mondial de température, a confirmé vendredi l'agence météorologique des Nations Unies (OMM).
2024 pourrait bien battre le record de chaleur établi l'année dernière, a d'ores et déjà mis en garde l'ONU vendredi, appelant à réduire drastiquement les émissions de gaz à effet de serre pour combattre le changement climatique.
Le phénomène météorologique El Nino devrait pousser les températures mondiales vers de nouveaux sommets, surpassant l’année 2023 déjà record, annonce l’Organisation météorologique mondiale ce vendredi 12 janvier.
2024 pourrait bien battre le record de chaleur établi l'année dernière, a d'ores et déjà mis en garde l'ONU vendredi, appelant à réduire drastiquement les émissions de gaz à effet de serre pour combattre le changement climatique.Sous l'impulsion du phénomène météorologique El Nino, la tendance au réchauffement -qui a vu chaque mois entre juin et décembre 2023 battre son record de chaleur- devrait se poursuivre cette année, explique l'Organisation météorologique mondiale (OMM).
Dans son bilan annuel publié mardi, l'observatoire européen Copernicus a indiqué que l'année écoulée a été 1,48°C plus chaude que le climat de l'ère pré-industrielle, confirmant que 2023 est bien l'année la plus chaude de l'histoire pour la planète.
Les températures records de 2023 obligent les «warming stripes», ces rayures colorées utilisées pour représenter les températures moyennes enregistrées sur une année, à être révisées.
L'année 2023 a été 1,48 degré plus chaude dans le monde que le climat de l'ère pré-industrielle, a annoncé mardi le service européen Copernicus, confirmant qu'il s'agit de l'année la plus chaude de l'histoire pour la planète.
2023 a bien été l’année la plus chaude au niveau mondial. 'Une année exceptionnelle où les records climatiques sont...
L'année "2023 est l'année la plus chaude jamais enregistrée", confirme le programme Copernicus dans une étude publiée ce mardi.
Il n’a jamais fait aussi chaud qu’en 2023. En tout cas, depuis 1850 et les premiers enregistrements des températures mondiales. C’est le bilan du programme européen d’observation du climat Copernicus, dévoilé le 9 janvier. « Les températures mondiales en 2023 ont atteint des niveaux exceptionnellement élevés », relève l’organisme.
Climate records tumbled "like dominoes" in 2023, with temperatures far above any recorded level.
Avec une température moyenne de 14,4°C à la surface, l’année écoulée se classe juste derrière 2022 parmi les années les plus chaudes depuis le début du XXe siècle, annonce Météo France vendredi 5 janvier.
Avec +1.044°C au-dessus de la moyenne 1981-2010, le mois de décembre 2023 poursuit la série des records mensuels de chaleur. L’année 2023 dans son ensemble est la plus chaude jamais observée, frôlant pour la première fois le seuil de 1.5°C au-dessus de la température préindustrielle.

décembre 2023

Il n’a jamais fait aussi chaud sur Terre qu’en 2023. Les répercussions de telles chaleurs sur les forêts françaises sont majeures, explique Jonathan Lenoir, du CNRS.
Alors que 2023 touche à sa fin, elle devrait être la troisième année la plus chaude depuis le début des relevés en Belgique, annonce l'Institut royal météorologique (IRM) mardi, à l'occasion de la publication de son bilan annuel. Les années record restent 2022 et 2020.
La ville du sud de l'Espagne a enregistré un record de chaleur le 10 décembre.
L'été 2023 a été le plus chaud jamais enregistré dans l'Arctique, selon un rapport américain de référence, qui dresse un tableau alarmant de cette région du monde, particulièrement soumise aux effets du réchauffement climatique.
La température moyenne est la plus élevée mesurée sur les onze premiers mois de l’année : 0,13 °C de plus que les onze premiers mois de 2016, l’année la plus chaude jusqu’à maintenant.
Après un mois de novembre "extraordinaire", 2023 sera l’année la plus chaude jamais enregistrée dans l’histoire, a annoncé mercredi le service européen Copernicus.
Novembre, avec une moyenne de 14,22 °C à la surface du globe, dépasse de 0,32 °C le record précédent de novembre 2020. L’automne boréal (septembre à novembre dans l’hémisphère nord) est ainsi le plus chaud de l’histoire, avec 15,30 °C.
L’année 2023 sera la plus chaude de l’histoire après un mois de novembre “extraordinaire” qui est devenu le sixième mois consécutif à battre des records, a déclaré mercredi le service européen Copernicus en pleines négociations climatiques à la COP28.
A l'issue de chaque mois, le service européen sur le changement climatique Copernicus fournit les données sur les températures moyennes globales. Une référence pour les observateurs scientifiques du réchauffement de la planète. Pour ces mesures, Copernicus utilise notamment des données générées par les satellites. Depuis l’été 2023, l’analyse se répète : les mois les plus chauds jamais observés se succèdent. Novembre 2023 n’échappe pas à cette série. Encore une fois un record, celui du mois de novembre le plus chaud (globalement). 1,75° de plus en novembre 2023 qu'entre 1850 et 1900
Alors que la Cop28 bat son plein, de tristes records ont été annoncés ce mercredi.
Avec +1.092°C au-dessus de la moyenne 1981-2010, le mois de novembre 2023 poursuit la série des records de chaleur. Le précédent record de 2020 (+0.775°C) est dépassé de 0.32°C. L’année 2023 sera la plus chaude jamais observée et le seuil de 1.5°C au-dessus de la température préindustrielle devrait être atteint sur la moyenne annuelle.

novembre 2023

Après une vague de chaleur tardive en août et un automne de tous les records, l’année 2023 devrait être la deuxième plus chaude mesurée en France, juste derrière 2022, annonce Météo France ce jeudi 30 novembre.
L’année 2023 devrait par ailleurs se classer au deuxième rang des années les plus chaudes dans l’Hexagone avec une température moyenne de 14,2 °C, selon le bilan climatique de l’agence météorologique.
La chaleur extrême qui a touché l’île de l’Océan indien au cours du mois d’octobre n’aurait pas été possible sans le changement climatique, directement causé par l’activité humaine, explique une étude publiée ce 23 novembre par le WWA.
L’observatoire européen Copernicus a annoncé lundi 20 novembre que la température mondiale de la journée de vendredi avait été supérieure de plus de 2 °C à celle de la moyenne saisonnière à l’ère préindustrielle. Ce record représente le premier dépassement de la limite haute prévue par l’Accord de Paris en 2015.
Pour la première fois, la température moyenne mondiale a été vendredi plus de 2°C supérieure à celle de la moyenne saisonnière à l'ère pré-industrielle, soit au-dessus sur une journée de la limite haute de l'accord de Paris, a annoncé l'observatoire européen Copernicus.Selon des données provisoires, les températures mondiales ont été, le 17 novembre, 2,06°C au dessus de la moyenne de 1850 à 1900, a indiqué sur X (ex-Twitter) Samantha Burgess, cheffe adjointe du service changement climatique (C3S) de Copernicus.
La journée de vendredi a vu la température moyenne mondiale dépasser de 2,06°C celle de la moyenne saisonnière à l'ère pré-industrielle, dépassant la limite fixée par l'accord de Paris en 2015. Les mois de juin à octobre avaient déjà été les plus chauds jamais enregistrés dans le monde.
En dépassant pour la première fois de 2°C la moyenne 1850-1900, la température moyenne de la Terre vient de battre un nouveau record.
+2 °C en moyenne par rapport à l’ère préindustrielle. Le 17 novembre, la température mondiale a franchi ce seuil symbolique qui représente l’objectif officiel à ne pas dépasser défendu lors des COP sur le climat.
La température moyenne mondiale a atteint un record, le 17 novembre, rapporte la presse américaine. Un signe particulièrement inquiétant pour l’avenir de l’humanité.
Pour la première fois, la température moyenne mondiale a été vendredi plus de 2°C supérieure à celle de la moyenne saisonnière à l'ère pré-industrielle, soit au-dessus sur une journée de la limite haute de l'accord de Paris, a annoncé l'observatoire européen Copernicus.Les températures mondiales ont été, le 17 novembre, 2,07°C au dessus de la moyenne de 1850 à 1900, a indiqué lundi sur X (ex-Twitter) le service changement climatique (C3S) de Copernicus.
Un nouveau record de chaleur a été battu mardi à Rio de Janeiro avec 58,5 °C de température ressentie dans la mégapole brésilienne, ont annoncé les autorités.Une grande partie du Brésil connaît depuis ce week-end une vague de canicule extrême. L'Institut national de météorologie (Inmet) a placé 15 Etats du sud-est, du centre-ouest et d'une partie du nord du pays, ainsi que la capitale, Brasilia, en alerte maximale.
Alors que Brasília a enregistré 37,3 °C mardi 14 novembre, un record pour un mois de novembre, les températures élevées dans tout le pays ont également généré un pic de consommation d’électricité sans précédent.
Une grande partie du Brésil connaît depuis ce week-end une vague de canicule extrême. L’Institut national de météorologie (Inmet) a placé 15 États du sud-est, du centre-ouest et d’une partie du nord du pays, ainsi que la capitale, Brasilia, en alerte maximale. Mardi, le système Alerta Rio a noté la "sensation thermique la plus élevée depuis le début des relevés" en 2014, à 58,5 °C.


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