La géo-ingénierie peut être décrite comme l’ensemble de techniques visant à modifier délibérément le système climatique terrestre pour contrer les effets du changement climatique. Ces méthodes, qui incluant la capture du CO2 et la gestion du rayonnement solaire, suscitent intérêt et controverses. Bien que certains la considèrent comme une solution potentielle face au réchauffement climatique, d’autres s’inquiètent de ses impacts incertains et de ses risques écologiques…
Aux yeux du philosophe Marc Crépon, l’État est violent par essence, et la non-violence utopique : « À l’origine de tout régime politique, il y a toujours de la violence. Pour savoir quelle est, de deux formes de violence, la plus légitime, nous devons en appeler à un principe qui transcende le droit, qui est celui de la justice...
Selon l’activiste Paul Watson, « on ne peut pas qualifier la protection de l’environnement d’écoterrorisme, ça n’a aucun sens. L’écoterrorisme, c’est ce que font les entreprises de combustibles fossiles et Monsanto. Eux, ils terrorisent l’environnement… » Au-delà de cette mise au point sémantique, le mot « écoterrorisme » a été créé en 1983 par l’écrivain libéral Ron Arnold dans le but de dénoncer les « crimes pour sauver la nature » et fut depuis l’objet de romans et même d’accusations par des hommes politiques. Mais l’usage de la violence est-il toujours injustifié ?
Astrophysicien et philosophe, Aurélien Barrau décrit la sixième extinction massive (anéantissement biologique global) actuellement observée par les naturalistes.