L’intelligence artificielle (IA) désigne un ensemble de technologies qui permettent aux machines de simuler des processus d’intelligence humaine. Cela inclut la capacité d’apprendre, de raisonner, de résoudre des problèmes, de comprendre le langage naturel et de percevoir des informations à partir de leur environnement. L’IA repose sur des algorithmes complexes qui sont intégrés dans des environnements informatiques dynamiques. Ces algorithmes permettent aux machines d’améliorer leurs performances au fil du temps en se basant sur les données qu’elles collectent. Source : you.com
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Reconnaissant le caractère fondamental des rapports du Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat, et puisque les changements climatiques font peser sur l’humanité une « menace urgente et existentielle », la marge de discrétion des Etats doit être réduite, et leurs obligations étendues, observent les juristes et chercheuses Marion Lemoine-Schonne et Sandrine Maljean-Dubois dans une tribune au « Monde ».
Dans un avis inédit et unanime, la Cour internationale de justice reconnaît que le changement climatique constitue une menace existentielle pour l’humanité. Les États qui cherchent à se soustraire à leurs obligations climatiques peuvent voir leur responsabilité engagée, ce qui ouvre la voie à de futurs contentieux climatiques nationaux.
Le cadre mondial de la biodiversité de Kunming-Montréal de 2022 ambitionne d’être l’équivalent d’un accord de Paris pour la biodiversité. La COP16 doit trancher sur les questions en suspens.
Plusieurs études ont montré cet automne que ces engagements étaient insuffisants. En particulier, l’analyse du secrétariat de l’Accord de Paris(1) a montré qu’ils conduisaient à 2,7 °C d’augmentation moyenne des températures d’ici la fin du siècle. C’est mieux que les 3 ou 3,5° qu’annonçaient les contributions initiales des États en 2015, mais c’est bien loin des objectifs posés dans l’Accord de Paris !
décembre 2015, la COP21 s’achevait sur un retentissant succès diplomatique : l’adoption par consensus d’un traité universel relativement ambitieux sur le climat, l’accord de Paris. Entré en vigueur très rapidement, l’accord est aujourd’hui applicable à 187 États et à l’Union européenne. Mais le succès diplomatique peut-il devenir un succès environnemental ? Dans ce dossier, les signaux sont pour le moins contradictoires.