Jean-Baptiste Fressoz

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2025

Les pays du monde entier se trouvent à un moment critique de la bataille contre la pollution plastique. Alors que les négociations autour d’un traité mondial sur les matières plastiques touchent à leur fin, l’OCDE présente, dans ce rapport, les résultats d’un exercice de modélisation de scénarios d’action fondés sur différents types d’intervention : limiter la production et la demande, promouvoir l’écoconception, augmenter le recyclage et fermer les voies de rejet. Ce rapport éclaire sur les avantages environnementaux et les conséquences économiques qui pourraient découler des actions engagées pour mettre fin à la pollution par les plastiques d’ici à 2040, selon différents niveaux d’ambition : quels pays agissent, le caractère rigoureux des mesures et les phases du cycle de vie des plastiques auxquelles elles s'appliquent.
In 2040 wil Europa 90 procent minder broeikasgassen uitstoten vergeleken met 1990. De Europese Commissie heeft, na maanden van overleg, vandaag het plan officieel voorgesteld. Het tussentijdse klimaatdoel moet een opstap worden naar klimaatneutraliteit in 2050. Het is een ambitieus doel, maar er zijn ook enkele flexibele regels waar critici niet zo blij mee zijn.
Après plusieurs mois de flottements, la Commission européenne a proposé mercredi de maintenir son objectif de réduction de 90% des émissions de gaz à effet de serre en 2040, mais elle introduit des "flexibilités" face aux réticences de certains pays.
Alors qu’une partie du continent suffoque sous un dôme de chaleur, la lutte contre le dérèglement climatique revient à l’agenda européen. Avec plusieurs mois de retard, la Commission européenne devrait proposer cette semaine de réduire de 90% les émissions de gaz à effet de serre à l’horizon 2040. Mais cet objectif ambitieux sera accompagné de mesures de flexibilité pour répondre aux craintes et aux critiques croissantes de la droite et l’extrême droite.
L'objectif de réduction des émissions de CO₂ pour 2040 sera dévoilé, mercredi, par la Commission européenne. Emmanuel Macron critique les méthodes employées et un calendrier trop serré. Surtout, le chef d'État tient à la préservation de l'énergie nucléaire. Pour l'ONG Greenpeace, la France "met en danger" l'ambition climatique européenne.
Que veut Emmanuel Macron ? Longtemps, le président français a été un fervent soutien du pacte vert européen, dont se sont dotés les Vingt-Sept pour lutter contre le réchauffement climatique. Mais, depuis les élections européennes de juin 2024 et la dissolution manquée de l’Assemblée nationale, il est devenu un ardent défenseur de la simplification, voire de la dérégulation, quitte à oublier ses engagements passés. Dix ans après l’accord de Paris, sa détermination a faibli. Jeudi 26 juin, à l’occasion d’un sommet des chefs d’Etat et de gouvernement européens à Bruxelles, Emmanuel Macron a prévu de mettre sur la table le sujet de l’objectif 2040 de réduction des émissions de CO2 au sein de l’Union européenne (UE), qui doit emmener les Vingt-Sept vers la neutralité carbone à l’horizon 2050.
Alors que de nombreux reculs environnementaux ont émaillé le second mandat de la présidente de la Commission européenne Ursula von der Leyen, l'objectif climatique à 2040 du continent pourrait être pris en otage. Il est pourtant crucial que l'UE se positionne en amont de la COP30 de Belém.
Révélé par France Inter, l’étude a estimé à 16 000 les morts recensées depuis 2009 et chiffré les conséquences économiques de la fraude des constructeurs automobiles qui leur a permis de contourner les normes d’émissions des moteurs diesel.
Ursula von der Leyen, la présidente de la Commission, étudie l’introduction de « flexibilités » à l’objectif de réduire de 90 % les émissions de gaz à effet de serre d’ici à 2040, auquel seule une petite dizaine d’Etats membres est favorable.
Nous avons construit depuis dix mille ans, un monde d’abondance de ressources, un écosystème stable, qui nous a poussé à optimiser et à performer. Le culte de la performance est à son apogée et nous incite à toujours gagner en efficacité, à maximiser nos résultats, avec moins de moyens possibles. Cette approche atteint ses limites dans un monde en constante évolution. Aujourd'hui la nature se réveille, elle devient fluctuante et nous devons apprendre à vivre dans un monde instable, imprévisible. Comment vivre dans ce nouvel environnement ? Comment passer de la performance à un nouveau modèle ? Comment abandonner la performance et passer à une autre forme de société ? Olivier Hamant est biologiste et chercheur, il se lève le matin stimulé par l’étude de la vie des plantes. Dans la nature, les systèmes robustes prospèrent parce qu’ils acceptent l’incertitude. Le chercheur s’inspire de cet environnement pour nous apprendre à vivre dans un environnement instable par le concept de la robustesse, et nous incite à


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