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Otages
2025
Toute la journée de mardi, des manifestants se sont réunis, à l’appel du Forum des familles d’otages, à des carrefours et devant des domiciles de ministres pour réclamer du gouvernement de Benyamin Nétanyahou un accord de trêve à Gaza.
Le chef de l'opposition israélienne, Yair Lapid, a exhorté mardi le gouvernement religieux de droite à conclure un accord avec le mouvement islamiste palestinien Hamas afin de mettre fin à la guerre et d'obtenir la libération des otages.
Des manifestations ont débuté dimanche en Israël pour réclamer la fin de la guerre à Gaza et la libération des otages. Cette mobilisation intervient alors que le gouvernement a annoncé vouloir prendre le contrôle de la ville de Gaza, la plus grande ville de l'enclave où résident environ un million de Palestiniens.
Près de 500 retraités et réservistes de l’armée de l’air se sont rassemblés devant le quartier général de l’armée, mardi, pour demander l’arrêt des combats et permettre le retour des otages encore détenus par le Hamas.
Au lendemain de l’annonce du plan israélien pour la conquête de la ville de Gaza, environ 100 000 personnes sont descendues dans la rue pour exiger la fin du conflit et la libération des otages.
Des dizaines de milliers d'Israéliens ont manifesté ce samedi dans les rues de Tel-Aviv, pour demander la fin de la guerre dans la bande Gaza et dénoncer le plan d'Israël pour la conquête de la ville de Gaza.
Le mouvement islamiste palestinien Hamas a prévenu ce samedi 2 août 2025 qu'il ne déposera pas les armes à moins qu'un État de Palestine indépendant soit officiellement établi. "La résistance et ses armes sont un droit légal tant que l'occupation (israélienne) se poursuit", a-t-il indiqué par voie de communiqué, précisant qu'il demandait en premier lieu "la création d'un État palestinien souverain et indépendant avec Jérusalem comme capitale".
Un homme aurait utilisé un lance-flammes artisanal et un engin incendiaire pour brûler des manifestants, rassemblés dimanche 1er juin dans la ville de Boulder.
Au lendemain du sabotage de deux installations électriques avec un black-out massif autour de Cannes en plein festival, un incendie volontaire a visé un transformateur électrique à Nice, dans la nuit de samedi à dimanche, touchant 45.000 foyers. Une enquête en flagrance a été ouverte pour "destruction par incendie en bande organisée" et confiée à la police judiciaire, a indiqué le procureur de Nice, Damien Martinelli, dans un communiqué. "Des constatations et examens techniques sont en cours notamment pour préciser les dégâts et les modalités de passage à l'acte", a-t-il ajouté.
Le feu avait détruit un centre commercial abritant près de 1 400 boutiques. Depuis l’agression russe contre l’Ukraine, Varsovie affirme être la cible de multiples actes de sabotage attribués à Moscou.