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2025
L'ONU a déploré, lundi, l'inaction internationale après qu'une frappe israélienne sur un hôpital de Gaza a tué au moins vingt personnes, dont cinq journalistes. L'organisation a rappelé que ni les hôpitaux ni les journalistes ne doivent "être des cibles", tandis que certaines réactions officielles ont été publiées en fin de journée.
Le Japon a protesté auprès de la Chine après la découverte de plateformes de forage gazier dans une zone disputée de la mer de Chine orientale, a-t-on appris mardi auprès du ministère des Affaires étrangères à Tokyo. Selon cette source, Pékin mène des travaux dans un périmètre où les zones économiques exclusives (ZEE) revendiquées par les deux pays se superposent.
Le Fonds souverain norvégien, le plus riche au monde, a déclaré lundi avoir cédé ses parts dans le groupe américain d'engins de chantier Caterpillar, évoquant des violations des droits humains à Gaza.
Les prêtres et religieuses catholiques et orthodoxes entendent rester dans la ville de Gaza, où l'armée israélienne a resserré ces derniers jours son étau en vue d'une offensive annoncée, ont annoncé mardi ces deux communautés religieuses.
Le principal hôpital du sud de la bande de Gaza, l’hôpital Nasser, a été visé par deux bombardements consécutifs.
Prenant leurs distances avec la déclaration de l’état de famine dans la bande de Gaza et attaquant avec virulence la Cour pénale internationale, Donald Trump et son administration offrent un appui sans conditions au premier ministre israélien
L’ONU a officiellement déclaré une famine à Gaza vendredi, un "mensonge éhonté" selon le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu. Les experts des Nations Unies ont cependant attendu plus que la plupart des ONG sur place pour décréter l’état de famine dans le nord de l’enclave, leur cadre d’analyse étant contraignant.
Si les réactions diplomatiques ont été peu nombreuses, la reconnaissance de la famine peut venir alimenter les procédures ouvertes devant la justice internationale pour « crime contre l’humanité » contre Benyamin Nétanyahou et Yoav Gallant, et pour « génocide » contre l’Etat d’Israël.
Rendu public vendredi, un rapport confirme une crise alimentaire majeure avec plus de 500 000 Gazaouis déjà confrontés à la famine. Cette situation découle de longues périodes de blocus. Le gouvernement israélien conteste ces accusations, que Benyamin Nétanyahou renvoie à des préjugés antisémites.
Parce qu’ils ont tous signé les conventions de Genève de 1949, ils ont l’obligation de faire respecter le droit international humanitaire, soulignent, dans une tribune au « Monde », les juristes Julia Grignon et Alexandre Miliani.