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2025
Les événements climatiques extrêmes coûtent chaque année des milliards d’euros en Europe. En Belgique, la facture s’élève entre 12 et 15 milliards d’euros entre 2000 et 2023, a calculé l’agence européenne pour l’environnement (EEA).
Le texte complet de la décision de la Commission européenne, qui a donné son feu vert à cet accord le 21 février, est désormais public, et donne des chiffres à ce sujet, selon le journal. L'accord comporte notamment un volet, le MOCP (minimum opex and capital payment") qui sera déclenché si les réacteurs sont indisponibles pendant une "période significative" et ce, pour garantir la stabilité financière de Be-Nuc, la société commune à l'État belge et à Electrabel, propriétaire de 89,91% des deux réacteurs prolongés.
Les véhicules électriques, amenés à devenir majoritaires dans le parc automobile, affichent des prix de réparation plus élevés que leurs équivalents à essence. Ils participent ainsi directement à l’inflation des cotisations d’assurance.
L’armée de l’Etat hébreu a touché samedi 14 juin deux sites pétroliers près de Téhéran ainsi qu’un complexe de production gazière au sud. Les cours de l’or noir avaient déjà bondi de plus de 10 % vendredi.
En Australie, des chercheurs ont utilisé des miroirs en plastique incassables afin de mettre au point une technologie permettant de réduire de presque moitié le coût de l’énergie solaire thermique. Ces miroirs à l’origine pensés pour les automobiles pourraient devenir une contribution majeure à un avenir industriel plus vert.
Les dépenses mondiales consacrées aux armes nucléaires ont augmenté de 47% au cours des cinq dernières années, passant de 68 milliards de dollars (59 milliards d’euros) à 100 milliards de dollars (86,8 milliards d’euros), selon un nouveau rapport de la Campagne internationale pour l’abolition des armes nucléaires (ICAN). Selon ce rapport, les pays disposant d’armes nucléaires étrangères sur leur territoire, dont la Belgique ferait partie, dissimulent le coût de ces armes à leurs citoyens et à leurs législateurs.
L’accord sur les pandémies signé en mai 2025 par les États membres de l’Organisation mondiale de la santé (OMS) est présenté comme un succès historique du multilatéralisme. Pourtant, il pourrait se révéler délétère pour les autres priorités de santé globale, du fait de la gouvernance technocratique qu’il propose et des coûts financiers élevés qui seraient alloués à des risques pandémiques hypothétiques.
Cymene Howe et Dominic Boyer, de l’Université Rice, viennent de publier un commentaire dans Science qui ouvre un peu plus les yeux sur un sujet que l’on aimerait garder bien au frais : le coût humain de l’effondrement de nos glaciers. Spoiler alert : ce n'est pas pas un spin off des "Marcheurs Blancs" Game Of Thrones.
Risque pour la transition énergétique, adaptabilité du réseau électrique, enjeu de souveraineté… L’essor des centres de données pose de nombreux défis.
L’Autorité de sûreté nucléaire et de radioprotection a rendu jeudi 22 mai son rapport annuel sur le niveau de sûreté des installations nucléaires.