2025
Les Alpes et les Pyrénées figurent parmi les zones les plus touchées, s’étant délestés d’environ 40 % de leur masse en vingt ans, selon une étude parue mercredi dans « Nature ».
Nos forêts primaires sont de moins en moins nombreuses à la surface de la planète. La preuve en image avec la visualisation de l'ONG Globaïa.
2024
Une étude montre que l’extinction du rapace en Inde provoque une surmortalité humaine, car les carcasses de bêtes qui propagent choléra et rage ne sont plus éliminées, constate l’économiste Pauline Grosjean, dans sa chronique.
Scientifiques et ONG alertent sur un recul global de la biodiversité à travers le monde. Mais à la veille de l'ouverture d'une COP dédiée à ce sujet en Colombie le 21 octobre 2024, le porte-parole d'une association française les a accusés de "catastrophisme" dans un entretien au Point, relativisant la mauvaise santé de la biodiversité animale en Europe. Pourtant, des données reconnues internationalement montrent bel et bien un recul de cette biodiversité aux échelles européenne et mondiale.
Le président ukrainien Volodymyr Zelensky a présenté jeudi à Bruxelles son "plan de victoire", martelant que son pays, en difficulté sur le champ de bataille, devait être en position de force avant toute négociation.
Le nouvel « indice planète vivante », publié par le Fonds mondial pour la nature (WWF), reflète le déclin continu de la biodiversité à quelques jours de l’ouverture de la COP16, en Colombie.
Deux chercheuses françaises révèlent les nombreuses failles d’une étude qui relativisait le déclin des insectes. Davantage de « garde-fous » sont nécessaires pour une science de l'écologie rigoureuse, plaident-elles.
Au milieu des années 1990, la population de vautours, forte de 50 millions d'individus, s'est effondrée, au point de devenir presque nulle, à cause du diclofénac, un analgésique non stéroïdien bon marché utilisé pour le bétail, mais qui est fatal aux vautours. Une nouvelle étude établit un lien entre le déclin des vautours en Inde et la propagation d'une bactérie mortelle, à l'origine de quelque 500 000 décès.
Recul des glaciers, formation de lacs ou écroulement de roches : les montagnes du massif subissent une série de périls, qui se sont fortement aggravés depuis quelques années.