Jean Jouzel

OA - Liste

« L’urgence est là, nous regardons ailleurs »

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Sommet

2025

Volodymyr Zelensky a affirmé dimanche, le jour de la fête de l'indépendance de l'Ukraine, qu'une rencontre avec Vladimir Poutine constituait le moyen "le plus efficace pour avancer", alors que Moscou lui reproche son insistance à la réclamer "coûte que coûte", au moment où les efforts diplomatiques pour régler le conflit semblent s'enliser. Invité à Kiev, le Premier ministre canadien Mark Carney à quant à lui mis en garde sur le fait que, selon lui, l'invasion russe de l'Ukraine "ne s'arrêtera pas là", si elle reste "sans réponse" des alliés de ce pays. "Nous devons continuer à faire pression sur la Russie pour qu'elle mette fin à cette guerre, pour qu'elle y mette fin dans la dignité, avec une sécurité et une paix garanties. Cela n'est possible que grâce à la force combinée de tous ceux qui, dans le monde, veulent la paix et respectent le droit international. Le format des pourparlers entre dirigeants est le moyen le plus efficace d'aller de l'avant", a de son côté dit M. Zelensky penda
Le chef du Kremlin, satisfait de sa réhabilitation diplomatique, ménage le président américain, Donald Trump. Pour l’heure, rien ne change dans ses positions maximalistes et l’armée russe intensifie son offensive.
Le président ukrainien a refusé que la rencontre ait lieu à Moscou. Washington plaide pour Budapest, et la Suisse et l’Autriche se sont portées candidates pour accueillir la rencontre.
Donald Trump annonce qu’il a "commencé les préparatifs" d’une rencontre entre le président russe Vladimir Poutine et le président ukrainien Volodymyr Zelensky, a-t-il annoncé dans la nuit de lundi à mardi sur son réseau social Truth Social. Cet entretien doit ensuite être suivi d’une réunion à trois, avec les États-Unis. Une déclaration faite trois jours après un sommet bilatéral avec le président russe Vladimir Poutine en Alaska, lors duquel aucun cessez-le-feu en Ukraine n’a été convenu. Donald Trump organisait lundi des discussions à la Maison blanche avec le président ukrainien Volodimir Zelensky et plusieurs dirigeants européens.
Lundi, après de nombreuses déclarations croisées sur les réseaux sociaux, le président ukrainien et les leadeurs européens ont reçu un accueil cordial à la Maison Blanche et Trump s’est engagé à organiser une réunion tripartite avec Vladimir Poutine.
Lors d’un échange avec Emmanuel Macron capté par des micros lors du sommet lundi 18 août à Washington, le président américain a laissé entendre que la Russie pourrait signer un accord avec l’Ukraine pour lui faire plaisir.
Le président américain Donald Trump va "commencer les préparatifs" d’une rencontre entre Volodymyr Zelensky et Vladimir Poutine, qui rejetait jusqu’ici une telle réunion, au terme d’une "très bonne" entrevue avec le président ukrainien et plusieurs dirigeants européens ce lundi 18 août. Ce sommet se tiendrait dans les deux semaines. Le chef de la diplomatie russe Sergueï Lavrov a réagi ce mardi midi en déclarant que toute rencontre entre Volodymyr Zelensky et Vladimir Poutine devrait prendre en compte les "intérêts de sécurité" de la Russie et être préparée "minutieusement".
"Cette guerre va se terminer", a dit Donald Trump lundi en recevant Volodymyr Zelensky et plusieurs dirigeants européens, qui ont affiché leur volonté de travailler ensemble à la paix et à la sécurité future de l'Ukraine.
Au lendemain de sa rencontre en Alaska avec son homologue russe Vladimir Poutine, le président américain Donald Trump a abandonné samedi toute exigence d'un cessez-le-feu préalable en Ukraine, prônant désormais un "accord de paix" pour mettre fin au conflit. Le locataire de la Maison Blanche doit recevoir le président ukrainien lundi à Washington, et une réunion avec les pays de la "coalition des volontaires" alliés de Kiev doit avoir lieu dimanche.
A la veille de sa réunion avec Donald Trump, le président ukrainien Volodymyr Zelensky a dénoncé le refus de la Russie d'appliquer un cessez-le-feu, qui selon lui "complique la situation" pour aboutir un accord de paix global. Une déclaration qui intervient alors que plusieurs sources font état du soutien du président américain à un plan russe qui imposerait le retrait des forces ukrainiennes de la région du Donbass.