Jean-Marc Jancovici

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2025

Selon un bilan publié par Météo France ce mercredi 4 juin, la température moyenne relevée en mars, avril et mai, a été supérieure aux normales de 1,1 °C.
Le Réseau Action Climat alerte ce mardi 3 juin sur la grande vulnérabilité des territoires ultramarins français, précarisés, face à la hausse des températures et à leurs cortèges de phénomènes extrêmes.
Les trois mois de printemps de l'année ont été historiquement secs, avec des températures supérieures à la normale, ressort-il du bilan saisonnier publié dimanche par l'Institut royal météorologique (IRM).
Les températures dans l’Hexagone devraient atteindre des niveaux historiques par endroits ce vendredi 30 mai. Plusieurs départements vont être placés en vigilance jaune par Météo France.
Selon une étude publiée ce vendredi 30 mai, 67 épisodes de chaleur extrême ont eu lieu du 1er mai 2024 au 1er mai 2025. Tous marqués de l’empreinte du changement climatique.
A new study uncovers Earth’s deep temperature history and shows just how tightly carbon dioxide has always controlled the climate
Si la température mondiale augmente de 2,7 °C, ce qui correspond aux prévisions se basant sur les politiques climatiques en vigueur, 76% de la masse glaciaire actuelle disparaîtra, révèle une nouvelle étude internationale à laquelle ont collaboré des chercheurs de la VUB. Si le réchauffement est limité à 1,5 °C, ce qui correspond à l'objectif des Accords de Paris, jusqu'à 54 % des glaciers pourraient être préservés.
En 2024, l'Europe a été frappée de plein fouet et ce n'est que le début… D'après le dernier rapport du service Copernicus (qui est un programme européen d’observation de la Terre) et de l'agence météorologique mondiale et bien.. l'Europe est le continent qui s'emballe le plus vite sur la planète. Et vous savez quoi ? Ce n'est pas un accident, c'est la triste réalité d'un système qui se réchauffe à une vitesse effrayante.
La planète se rapproche inexorablement d’un réchauffement de 1,5 °C, avertit l’Organisation météorologique mondiale ce mercredi 28 mai, augmentant le risque de phénomènes météorologiques extrêmes.
Dans les cinq prochaines années, les températures mondiales devraient rester à des niveaux records ou très élevés, avertit l’Organisation météorologique mondiale mercredi, estimant ainsi qu'il y a un fort risque que la température mondiale moyenne sur la période 2025-2029 dépasse +1,5 °C de réchauffement.
Après les deux années les plus chaudes jamais mesurées, la décennie actuelle s’annonce comme la plus chaude, selon le Met Office et l’OMM.
Après deux étés plutôt maussades, juin, juillet et août devraient cette année être plus ensoleillés, selon les prévisions de Météo-France publiées ce mardi 27 mai. «Des conditions plus chaudes que la normale sont les plus probables, associées à la tendance du changement climatique sur l’Europe», anticipent les climatologues de l’institution, qui prennent toutefois beaucoup de pincettes dans leurs «prévisions probabilistes». Ainsi, cet été a 50 % de chance d’être plus chaud que les normales de saison, 30 % d’être conforme aux températures habituelles et 20 % de risque d’être plus froid. Reste que le scénario d’un trimestre ardent n’empêche pas la possibilité «d’épisodes ponctuels plus frais».
Des vents violents et des orages ont balayé le centre et le nord du Pakistan après une vague de chaleur intense. La capitale Islamabad a elle aussi été touchée. Au moins 14 morts ont été recensés, principalement dans l'effondrement de murs et de toits. D'autres tempêtes devraient frapper le pays dimanche.
Une température record pour un mois de mai – 51,6°C – a été enregistrée vendredi aux Émirats arabes unis. Le pays avait déjà connu le mois dernier une chaleur inhabituelle pour la saison, poussant les autorités à émettre des recommandations à la population. Selon les scientifiques, les canicules à répétition sont un marqueur sans équivoque du réchauffement climatique.
Les Emirats arabes unis ont enregistré vendredi la température la plus élevée jamais mesurée au mois de mai depuis le début des relevés en 2003, avec 51,6 degrés Celsius, selon le Centre national de météorologie (NCM).
Une étude publiée mercredi 21 mai, ausculte le phénomène de surchauffe urbaine. Plus de cinq millions de Français sont particulièrement exposés, dont 1,7 million à Paris.
Des zones du nord et du centre de la Chine suffoquaient cette semaine sous des chaleurs record pour un mois de mai, a rapporté mardi un média d'État, le pays se préparant à un nouvel été de fortes températures. La Chine subit depuis plusieurs étés une série d'événements météorologiques extrêmes, des canicules aux sécheresses en passant par des pluies diluviennes et des inondations.
La Terre, notre précieuse planète bleue, semble être un endroit stable et inaltérable dans l’immensité de l’univers. Cependant, la question de son avenir, et plus particulièrement de la fin de la vie, est une interrogation qui taraude de plus en plus de scientifiques. Le changement climatique, l’épuisement des ressources naturelles, la montée des températures et d’autres facteurs liés à l’activité humaine contribuent à rendre notre avenir incertain. Mais que disent vraiment les données scientifiques sur la fin de la vie sur Terre ? Quand cela arrivera-t-il et comment ?
Dammam, en Arabie saoudite, Al-Jahra et Hawally, au Koweït, Bassorah, en Irak, et Ahvaz, en Iran, figurent parmi les villes les plus fréquemment couronnées. Leurs records ? Des températures de 50, 52, parfois 53 °C mesurées à l’ombre— et même 38,8 °C la nuit à Bassorah en 2016, un record mondial pour une température nocturne. Ces villes battent régulièrement des sommets de chaleur que l’on croyait autrefois réservés à des zones inhabitées comme la Vallée de la Mort, en Californie.
Une étude publiée ce jeudi 15 mai révèle pour la première fois, les liens entre le risque d’épidémies de maladies infectieuses transmises par les moustiques et le climat. L’urbanisation et les déplacements sont aussi pointés du doigt.
Les modèles saisonniers ont été mis à jour pour les mois de juin, juillet et août. Et c'est une saison torride qui s'annonce en Belgique.
Ces monticules ne sont pas nouveaux, mais ils se multiplient à la faveur du changement climatique et ils essaiment jusque dans les villes, menaçant certaines infrastructures. […] Pour preuve : il a fait − 8 °C en janvier à Iakoutsk, soit « la température la plus élevée jamais observée » en janvier dans cette région où le thermomètre descend en moyenne à − 40 °C pendant le premier mois de l’année. Ces chiffres reflètent les statistiques des observatoires mondiaux : les deux dernières années – 2023 et 2024 – ont été les plus chaudes jamais mesurées, et sans doute les plus chaudes sur terre depuis 120 000 ans, selon des « archives climatiques » telles que les carottes de glace. Un réchauffement largement causé par la combustion des énergies fossiles, la Russie étant, par ailleurs, le cinquième émetteur mondial de gaz à effet de serre.
Envisagée comme une cause majeure de la hausse des températures en 2023 et 2024, la diminution des particules libérées par les navires n’a pas joué un rôle crucial. Pour le climatologue Christophe Cassou, une étude récente clarifie ce débat.
Le soleil encore très généreux ce dimanche, comme il l’a été pendant la majeure partie des vacances scolaires qui s’achèvent. Il fait d’ailleurs exceptionnellement sec en cette période de l’année. On peut même parler d’un printemps record.
Climate change is driving rising global temperatures, ecological degradation, and widespread human suffering. Yet, as a collective, humanity has failed to implement sufficient changes to mitigate these threats. This paper introduces the concept of “global narcissism” as a speculative lens to analyze the psychological barriers to climate action. By examining different levels of narcissism and their manifestations in human responses to climate change, this framework highlights key obstacles to meaningful action. While humanity is diverse, and lived experiences vary greatly, this perspective offers a way to discuss patterns of response and resistance. A central challenge lies in humanity’s difficulty in recognizing its symbiotic relationship with the non-human world. Through the metaphor of “global narcissism” this paper explores how humanity’s response to ecological crisis mirrors narcissistic defense mechanisms and suggests a collapse is taking place. This framework provides insights into how psychological int
Les 10% des personnes les plus riches de la planète sont responsables des deux tiers du réchauffement climatique depuis 1990, dévoile une étude inédite publiée dans Nature climate change.
Le mois d’avril 2025 est le deuxième plus chaud jamais enregistré et prolonge la séquence de mois dont la température a dépassé la barre de + 1,5 °C de réchauffement par rapport à l’époque préindustrielle, a annoncé jeudi l’observatoire européen de surveillance du climat Copernicus.
Young people will be exposed to a number of heatwaves that no one would have experienced in pre-industrial times. Young people will be exposed to a number of heatwaves that no one would have experienced in pre-industrial times.
Pour la première fois, des chercheurs européens ont quantifié les répercussions du mode de vie et des investissements des plus aisés sur le réchauffement climatique dans une étude publiée ce mercredi 7 mai.
Une étude publiée ce mercredi 7 mai dans la revue scientifique «Nature» ausculte en détail la fréquence à laquelle les événements extrêmes vont frapper la vie de personnes nées à des époques distinctes.
Climate change deaths are largely underreported as the crisis impacts millions and strains an already overburdened healthcare system, according to a new Amnesty International report.
Vingt ans jour pour jour. Paris a écrasé, jeudi, son précédent record de chaleur enregistré un 1er mai, avec 29,4 °C relevés à 16 heures, contre les 28,7 °C relevés… en 2005. Jamais il n’avait fait aussi chaud dans la capitale française le jour de la fête internationale des travailleurs depuis le début des mesures en 1873, selon Météo France. En cause : «l’épisode de chaleur précoce» qui touche l‘ensemble de l’Hexagone cette semaine, avec des températures dignes d’une fin mai ou d’un début juin – qui se poursuivent ce vendredi 2 mai.
Du Moyen-Orient jusqu’à l’Asie du Sud, les records de températures extrêmes s’enchaînent. En cause : un dôme de chaleur qui ne laisse aucun répit aux populations locales depuis déjà plusieurs jours. Face à ces mesures, plusieurs scientifiques alertent sur ces conditions exceptionnelles qui pourraient devenir la normalité dans cette région du monde.
Face à des feux dévastateurs, principalement à l’ouest de la ville, le Premier ministre israélien évoque une «situation d’urgence nationale». Emmanuel Macron a affiché sa solidarité avec l’Etat hébreu. «Nous affrontons probablement le plus grand incendie en Israël depuis une décennie», a déclaré mercredi 30 avril lors d’un point presse le commandant israélien des pompiers, Eyal Caspi.
La barre des 25°C a été atteinte le 12 avril cette année, devenant ainsi le premier jour dit "d'été" de 2025, un record de précocité depuis le début des observations en 1892, ressort-il jeudi du bilan climatique du mois d'avril de l'Institut royal météorologique (IRM).
Temperatures south Asians dread each year arrive early as experts talk of ever shorter transition to summer-like heat
En cette fin avril, les températures atteignent de nouveaux records en Asie centrale et au Moyen-Orient.La saison chaude commence à peine, que le mercure s’affole déjà sur le continent asiatique, de l’Irak à l’Inde, en passant par l’Arabie Saoudite et le Pakistan. «En trois siècles d’histoire climatique, rien ne peut être comparé à ce qui se passe actuellement en Asie», a alerté Maximiliano Herrera, climatologue et spécialiste des records climatiques, ce dimanche 27 avril sur le réseau social Bluesky. «Des dizaines de milliers de records sont battus avec des marges insensées dans toute l’Asie. Nous assistons à l’événement le plus extrême jamais observé», pointe-t-il.
For hundreds of millions of people living in India and Pakistan the early arrival of summer heatwaves has become a terrifying reality that’s testing survivability limits and putting enormous strain on energy supplies, vital crops and livelihoods. Both countries experience heatwaves during the summer months of May and June, but this year’s heatwave season has arrived sooner than usual and is predicted to last longer too. Temperatures are expected to climb to dangerous levels in both countries this week.
Global temperature for 2025 should decline little, if at all, from the record 2024 level. Absence of a large temperature decline after the huge El Nino-spurred temperature increase in 2023-24 will provide further confirmation that IPCC’s best estimates for climate sensitivity and aerosol climate forcing were both underestimates. Specifically, 2025 global temperature should remain near or above +1.5C relative to 1880-1920, and, if the tropics remain ENSO-neutral, there is good chance that 2025 may even exceed the 2024 record high global temperature.
Les températures records observées à la surface de l’Atlantique Nord en 2023 ont fait couler beaucoup d’encre. Témoignent-elles réellement, comme on a alors pu le lire, d’un emballement du changement climatique ? Dans une récente étude, quatre chercheurs français répondent à cette question.