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2025
Le premier traité international permettant de lutter efficacement contre la pollution plastique qui menace les écosystèmes et la santé humaine est "à portée de main", malgré le "brouillard" qui pèse actuellement sur l'avancée des négociations, a estimé samedi la secrétaire générale adjointe des Nations Unies, Inger Andersen.
Les négociations à Genève en vue d'établir le premier traité mondial de lutte contre la pollution plastique sont bloquées par des pays pétroliers qui refusent toute contrainte sur la production de plastique vierge, rapportent à l'AFP plusieurs sources impliquées dans les tractations.
Une étude récente porte sur la production de quatre types de polymères vierges par les Etats.
Sept pays, conduits par la Chine, les États-Unis et l'Arabie Saoudite, ont produit deux tiers (66%) des quatre types de plastiques les plus courants dans le monde en 2024, selon le cabinet britannique de conseil environnemental Eunomia et Zero Carbon Analytics, un groupe de recherche.
Alors que les négociations du traité mondial sur les plastiques débutent à Genève, un nouveau rapport ainsi qu’un film de l’Environmental Justice Foundation (EJF) révèlent que les efforts déployés pour lutter contre la pollution plastique en se concentrant sur la gestion des déchets échouent totalement en Thaïlande. Ces « fausses solutions » détournent l’attention de la cause première : la surproduction et la surconsommation. Ce constat souligne l’urgence d’un accord s’attaquant à la crise du plastique à la source, selon l’EJF (*).
Conclure un premier traité mondial contre la pollution aux plastiques s’avère crucial. Pourtant, les Etats restent divisés sur la façon de faire face à ce fléau dont les déchets ravagent la planète et menacent la santé humaine.
Incendies géants, records de chaleurs, pluies diluviennes, inondations meurtrières… L'été 2025 bat déjà tous les records dans l'hémisphère nord. Des "mégafeux" au Canada à la mousson meurtrière au Pakistan, les scientifiques tirent la sonnette d'alarme face à ces évènements climatiques extrêmes.
Une session exceptionnelle destinée à boucler le premier accord de lutte contre ce fléau regroupe 175 pays en Suisse du 5 au 14 août. Huit mois après l’échec du dernier round de discussions, les divergences entre les délégations font craindre une impasse définitive.
Une centaine de pays souhaitent fixer, dans un traité international, un objectif de baisse de la production à la source de plastiques, mais les pays producteurs de pétrole et de gaz s’y opposent.
Un travail colossal a amené un chercheur à dresser un bilan anxiogène de notre système. D’après ses études, si les inégalités ne sont pas enrayées, un effondrement sociétal mondial est à prévoir prochainement.
Face à une "crise mondiale", la "responsabilité repose" sur les Etats pour juguler la pollution plastique, a déclaré le président des débats onusiens qui se sont ouverts mardi à Genève pour tenter d'élaborer le premier traité international contre la pollution plastique.
Sous l'égide de l'ONU, près de 180 pays se réunissent mardi à Genève. L'objectif : écrire un traité mondial visant à réduire la pollution plastique après l'échec des discussions menées à Busan, en Corée du Sud, fin 2024.
À partir de ce mardi, les représentant·es de 180 pays se retrouvent en Suisse pour tenter de se mettre d’accord sur un traité international visant à réduire la pollution plastique. Pourquoi les précédentes négociations ont-elles échoué ? Que reproche-t-on exactement à ce matériau ? Vert vous explique ce qui se joue actuellement sur les rives du lac Léman.
Plusieurs institutions académiques lancent une initiative avec la revue « The Lancet » pour suivre, chaque année, les effets de la pollution plastique sur la santé.
Plusieurs organisations internationales d’auteurs, d’artistes-interprètes, d’éditeurs ou de producteurs expriment leur désillusion concernant le règlement européen sur l’intelligence artificielle, qui entre partiellement en vigueur le 2 août, et qui, selon eux, ne protège pas la propriété intellectuelle.
La Chine a suggéré la création d’une organisation mondiale pour la collaboration en intelligence artificielle (IA), visant à promouvoir un développement responsable, éthique et bénéfique pour toute l’humanité. Cette proposition, présentée par le Premier ministre Li Qiang lors de la récente Conférence mondiale sur l’IA à Shanghai, cherche à établir un cadre global permettant la coopération internationale face aux avancées technologiques rapides.
Selon le rapport des agences de l’ONU sur l’insécurité alimentaire, 8,2 % de la population mondiale a souffert de la faim en 2024. La légère amélioration observée reste fragile et pourrait être balayée par la crise de l’aide au développement.
Le président américain a présenté, mercredi 23 juillet, un plan d’action qui vise à accélérer l’adoption de l’IA à grande échelle, en facilitant la construction d’infrastructures et en levant les obstacles réglementaires.
Dans cet épisode, on explore les fondements et les fractures du système économique et monétaire mondial. Comment l’hégémonie du dollar façonne-t-elle l’ordre géopolitique ? Que révèle la montée des dettes publiques et des tensions commerciales ? Que disent les cryptomonnaies de notre rapport à la confiance et au pouvoir ? Et pourquoi sommes-nous peut-être à la fin d’un cycle historique ouvert après 1945 ? Avec Bruno Colmant, économiste et auteur, on décrypte les dynamiques profondes qui bouleversent le capitalisme contemporain — et ce que cela implique pour notre avenir collectif.
Le Japon a franchi un pas colossal vers l’avenir des télécommunications en atteignant une vitesse de transmission de données de 1,02 pétabit par seconde, suffisante pour télécharger l’intégralité du catalogue Netflix en moins d’une seconde. Ce résultat n’est pas qu’un chiffre impressionnant : il redéfinit les limites de ce que nous pensions possible en matière de connectivité.