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2025
Le gouvernement espagnol a nié mercredi qu'une "quelconque expérimentation" sur le réseau espagnol ait pu provoquer la méga-panne électrique du 28 avril et dénoncé les "fausses informations" sur l'origine de la coupure, qui reste inconnue un mois tout juste après l'incident. "Il est faux, totalement faux que le gouvernement ait mené une quelconque expérimentation" sur le réseau électrique avant la coupure, a assuré la ministre de l'Ecologie Sara Aagesen, interrogée au Parlement sur un article de presse mettant en cause l'action de l'exécutif en amont de la panne.
Les secours sont à pied d’œuvre pour surveiller ces émanations provoquées par l’incendie d’un entrepôt industriel survenu tôt ce samedi 10 mai au matin. Après un incendie d’un entrepôt industriel, un nuage de chlore toxique s’est élevé dans le ciel espagnol. Résultat : les autorités ont appelé ce samedi 10 mai plus de 160 000 personnes, vivant dans cinq municipalités de la région de Catalogne, à fermer leurs fenêtres, éteindre leur climatisation et à ne surtout pas sortir de chez elles.
L'Espagne et le Portugal ont créé vendredi un "groupe d'accompagnement" conjoint visant à identifier la cause de la panne d'électricité géante qui a touché la péninsule ibérique lundi. "Nous allons collaborer pour identifier les causes de l'incident et mettre en oeuvre les mesures nécessaires pour que cela ne se produise pas à nouveau", a déclaré la ministre espagnole de la Transition écologique, Sara Aagesen, citée dans un communiqué du gouvernement de Madrid après une réunion par visioconférence avec son homologue, la ministre portugaise de l'Environnement et de l'Energie, Maria da Graça Carvalho.
Ce sera le message principal de cet article : à l’heure où nous l’écrivons, nous savons très peu de choses, si ce n’est qu’il est urgent d’attendre. Toutes les hypothèses simples évoquées jusqu’ici ont été démenties peu de temps après.
La gigantesque coupure d’électricité qui a touché la péninsule ibérique, lundi 28 avril, et dont la cause exacte n’a toujours pas été établie, suscite la controverse à Madrid entre les partisans du nucléaire et ceux des énergies vertes.
Malgré son climatonégationnisme, le parti d’extrême droite Vox a bondi dans les sondages après les graves inondations d’octobre. Ses discours anti-écologistes influencent désormais le gouvernement régional.
L'électricité revient mardi en Espagne et au Portugal après de longues heures d'une coupure de courant "exceptionnelle", d'origine inconnue, qui a semé le chaos dans toute la péninsule ibérique. Dans les rues de différents quartiers de Madrid, le retour du courant a souvent été accompagné dans la soirée d'applaudissements et de cris de joie des habitants, après une longue journée sans électricité, mais aussi le plus souvent sans internet et sans téléphone mobile.
Au lendemain de la panne électrique qui a semé le chaos dans la péninsule Ibérique, toutes les hypothèses pour expliquer le black-out sont envisagées. Le Premier ministre espagnol a annoncé ce mardi lors d’une conférence de presse la création d’une commission d’enquête chapeautée par le ministère de la Transition écologique. Toutes «les mesures nécessaires seront prises pour que cela ne se reproduise pas», a assuré Pedro Sánchez. «Les techniciens du réseau électrique continuent à réaliser une analyse de leur système. Nous attendons de recevoir leurs résultats préliminaires dans les prochaines heures ou prochains jours», a-t-il expliqué.
Une grande partie de l'Espagne et du Portugal a subi lundi une coupure de courant qui a perturbé le trafic aérien, les transports publics et les soins dans les hôpitaux. Une panne d'une telle ampleur que d’autres pays en ont subi les conséquences.
Au lendemain de la panne quasi générale d’électricité en Espagne, au Portugal et partielle dans le Sud-Ouest de la France, la cause de cette défaillance reste indéterminée. Alors que le réseau espagnol est notablement alimenté par des énergies dites de substitution (ENS pour éolien, photovoltaïque et nucléaire principalement, voir : Espagne | App | Electricity Maps), la gestion de l’incident motive à envisager que, contrairement à ce qui est fréquemment affirmé par les promoteurs de la transition énergétique[1], non, toutes les formes d’énergie ne sont pas équivalentes, elles ne rendent pas toutes les mêmes services. Il est légitime de le déplorer, compte tenu de l’objectif de nous affranchir des hydrocarbures mais il semble prudent de considérer qu’un joule d’énergie provenant du vent, du Soleil ou des atomes radioactifs n’est pas équivalent à un joule provenant des énergies fossiles.
Il s'agit d'une panne d'une rare ampleur. Une coupure de courant "massive" est survenue lundi 28 avril en fin de matinée, touchant l'Espagne et le Portugal.
Le Conseil de sécurité sécurité nucléaire (CSN) espagnol a annoncé lundi qu'en raison de la panne géante d'électricité, quatre centrales nucléaires se sont automatiquement arrêtées, les réacteurs fonctionnant désormais grâce aux générateurs diesel de sauvegarde. Suite à la coupure de l'alimentation en électricité "les réacteurs des centrales qui étaient en service (Almaraz II, Ascó I et II, Vandellós II) se sont automatiquement arrêtés - conformément à leur conception - et leurs générateurs diesel de sauvegarde ont démarré et maintiennent les centrales dans un état sûr", a dit le CSN dans un communiqué.
Près de 50% de l'approvisionnement électrique espagnol avait été rétabli lundi soir après la panne géante qui a frappé la péninsule ibérique, selon le Premier ministre Pedro Sanchez, qui a précisé ne pas savoir encore quand la totalité du réseau national serait de nouveau opérationnelle. "Selon les données du réseau électrique, près de 50% de l'approvisionnement électrique a déjà été rétabli", a déclaré M. Sanchez lors d'une déclaration télévisée réalisée peu avant 23H00 (21H00 GMT) depuis le palais de la Moncloa, résidence officielle du Premier ministre.
La coupure de courant géante qui paralyse la péninsule ibérique, lundi 28 avril, a bouleversé le train-train de la Gran Via de la capitale espagnole.
Avec près de 3 000 heures de soleil par an, l'Andalousie est l'une des régions espagnoles comptant le plus de centrales photovoltaïques. À Lopera, les habitants se doutaient donc que leurs terrains susciteraient l'appétit du secteur, mais pas de cette façon. "Nous ne pensions jamais qu'ils procèderaient à des expropriations, qu'ils prendraient ce qui nous appartient pour le donner à une entreprise privée", raconte Rafael Alcalá, porte-parole de la Plateforme Campiña Norte contre les Méga-Centrales Solaires.
Les Îles Canaries ont été touchées par de fortes pluies qui ont provoqué des inondations.
Près de 25.000 personnes ont manifesté samedi dans la ville espagnole de Valence pour réclamer une nouvelle fois la démission du président de région Carlos Mazón, critiqué pour sa mauvaise gestion des inondations meurtrières du 29 octobre. Cinq mois après les intempéries qui ont fait 235 morts dans le sud-est de l’Espagne, dont 227 dans la seule région de Valence, les manifestants ont dénoncé, comme tous les 29 de chaque mois désormais, le maintien au pouvoir de l’élu conservateur. "Mazón, en prison !", "Ni oubli, ni pardon !", "Justice pour toutes les victimes !", ont-ils scandé, en brandissant des photos des personnes décédées, ou de hautes pancartes à l’effigie du dirigeant du Parti populaire (PP, droite), les mains tachées de sang.
Pékin a dénoncé mardi les "interférences" de Washington dans les "affaires internes du Venezuela" après l'imposition par Donald Trump de droits de douane supplémentaires aux pays importateurs de gaz ou de pétrole vénézuélien. Cette taxe punitive de 25%, annoncée lundi par le président américain, doit entrer en vigueur le 2 avril prochain, au même moment que d'autres droits de douane infligés tous azimuts aux partenaires commerciaux des États-Unis. La Chine est le plus grand importateur de pétrole vénézuélien, suivie de pays tels que l'Inde, l'Espagne mais aussi les États-Unis.
Après le passage de la tempête Laurence, qui a entraîné des inondations et des évacuations préventives dans certaines localités, l’Espagne attend une autre dépression, baptisée Martinho, à partir de jeudi. Cette tempête, la quatrième à traverser le pays en moins de deux semaines, apportera « des pluies généralisées et des vents forts », selon l’Agence météorologique nationale (Aemet).
Hasard du calendrier : alors qu’en Espagne, les pluies de cet automne et de ses derniers jours vont mettre fin à une sécheresse sévère entamée en 2021, un rapport suggère que le pays doit s’attendre à des épisodes de sécheresse de plus en plus "fréquents et graves" dans les prochaines années.