Jean-Marc Jancovici

OA - Liste

2024

Espèces trébuchantes. Pollutions, surexploitation, changements climatiques… le «Giec de la biodiversité» identifie plusieurs grandes causes de l’effondrement du vivant. Alors que la conférence mondiale (COP16) sur la biodiversité touche à sa fin ce vendredi, Vert vous présente quatre espèces menacées en France.
Le World Wildlife Fund (WWF) a publié son nouveau rapport Planète vivante. L'ONG alerte notamment sur les populations de vertébrés sauvages qui se sont effondrées de 73% en moyenne en seulement 50 ans.
Vues du ciel, les eaux aux teintes turquoises du Balkhach s'étirent en forme de croissant au milieu des étendues désertiques du Kazakhstan. Mais leur surexploitation, la pollution et le changement climatique menacent l'existence du deuxième plus grand lac d'Asie centrale.

2023

L'ONU lance une plateforme qui évalue, pour la première fois, l'ampleur de l'extraction du sable du fond des mers et des océans. L'organisation s'alarme d'une surexploitation de la ressource, préjudiciable à l'environnement.

2022

De l'Ouganda à l'Égypte, il permet à des millions d'Africains de survivre. Mais avec le réchauffement climatique, conjugué à son exploitation humaine, le Nil s’assèche, en fragilisant avant tout les cultivateurs qui craignent pour leurs récoltes et de manquer d'électricité.
La surexploitation d'espèces sauvages - animaux terrestres, poissons, algues, champignons, plantes ou encore arbres - menace le bien-être de milliards d'êtres humains, dévoile vendredi un rapport de l'ONU, qui donne des pistes pour leur usage plus durable et met en valeur les savoirs des peuples autochtones.
Pendant trois jours, à Brest, les Soulèvements de la mer ont préparé la résistance face au One Ocean Summit, un sommet mondial qui réunira, dès mercredi, des chefs d’États, entreprises et ONG pour discuter « croissance bleue ».
Sécheresse, pollution, infrastructures défaillantes, mais aussi surexploitation par les grandes compagnies et l’agriculture intensive… Le sous-continent souffre de la raréfaction de l’eau potable. Dans dix ans, une mégalopole comme Mexico pourrait se retrouver sans eau. Une enquête du site transversal Connectas.

2021

Ces chercheurs, qui font partie d'un groupe de plus de 14.000 scientifiques ayant plaidé pour la déclaration d'une urgence climatique mondiale, estiment que les gouvernements ont de manière systématique échoué à s'attaquer aux causes du changement climatique: "la surexploitation de la Terre".
La « nouvelle » PAC maintient le statu quo et perpétue le financement massif d’un modèle d'agriculture intensive qui conduit directement à la perte de biodiversité, à la pollution de l'eau et de l'air, à la surexploitation de l'eau et alimente la crise climatique.