Jean-Pascal Van Ypersele

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2025

Le Rassemblement national prépare une proposition de loi pour « miner » du bitcoin avec le surplus d’électricité des centrales nucléaires, témoignant du prosélytisme parlementaire de l’extrême droite sur le sujet.
Le Clarity Act, qui doit maintenant être examiné par le Sénat, dote le pays d’un cadre réglementaire plus clair, conformément aux souhaits de Donald Trump, très favorable à cette industrie.
Treize élus conservateurs de la Chambre des représentants ont fait capoter, mardi, un vote procédural sur trois textes de refonte du secteur, infligeant un revers à l’industrie des cryptomonnaies et au président américain.
Les fermes de bitcoin et autres monnaies électroniques, très énergivores, ont trouvé un refuge en Éthiopie, qui offre une production hydroélectrique abondante. Les autorités prévoient que leurs activités représentent près d’un tiers de la consommation d’électricité en 2025.
Répliques numériques des monnaies, ces cryptoactifs connaissent un essor spectaculaire. Ce marché, dominé par des acteurs non bancaires et qui, pour certains, refusent d’être réglementés, agite la planète finance.
Le chef d’Etat américain tire des profits sonnants et trébuchants de son exercice du pouvoir sans éveiller aucune protestation, note le «New York Times».
« Rediriger l'énergie non utilisée » L'IA générative requiert une puissance de calcul colossale pour traiter l'information accumulée dans de gigantesques bases de données et a fait bondir la demande mondiale en énergie. Bien que le Pakistan ait une puissance installée de quelque 45 000 mégawatts, ses besoins ne dépassent guère 30 000 mégawatts en été, selon l'Institut de l'économie du développement du Pakistan, et le gouvernement doit payer aux fournisseurs d'énergie indépendants sa capacité non utilisée.
Coinbase a subi une cyberattaque d'envergure, suivi d'une demande de rançon, impactant des clients à hauteur de plusieurs millions de dollars.
Plutôt que le diaboliser, il faudrait s'interroger : pourquoi tant de gens préfèrent-ils un protocole anonyme à leurs institutions "légitimes" ?
Un fonds souverain qui fait un investissement dans une plateforme d’échange de cryptomonnaies en utilisant un stablecoin, un cryptoactif dont la valeur est indexée sur un autre produit : jusque-là, rien que de très courant. Mais l’annonce, jeudi 1er mai, d’un investissement de 2 milliards de dollars (1,77 milliard d’euros au cours actuel) dans Binance par le fonds MGX, soutenu par Abu Dhabi, soulève de vives questions : MGX va, en effet, effectuer cette transaction en utilisant le stablecoin USD1, géré par World Liberty Financial (WLF), l’entreprise de cryptomonnaies contrôlée par la famille Trump.