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2025
Imaginez un monde où les machines n’auraient plus besoin de l’Homme pour exister. Des chercheurs américains viennent de franchir un cap décisif en créant le premier robot capable de grandir, de se réparer et même de « cannibaliser » d’autres robots pour s’améliorer. Cette percée technologique bouleverse notre conception de l’autonomie robotique et ouvre des perspectives fascinantes… mais aussi inquiétantes.
Dans le domaine de la robotique, chaque progrès technologique est souvent synonyme de complexité croissante. Pour qu’une machine exécute des tâches précises, les ingénieurs doivent habituellement passer par des étapes fastidieuses : capteurs sophistiqués, modèles mathématiques détaillés, et surtout des heures — voire des milliers d’heures — d’entraînement. Mais une équipe du MIT vient de renverser cette logique. Elle a mis au point une intelligence artificielle capable d’apprendre à contrôler pratiquement n’importe quel robot, simplement en l’observant se mouvoir… et cela, sans recourir à des capteurs complexes.
Le futur du travail chez Tesla pourrait bien prendre un tournant radical. Alors que l’entreprise d’Elon Musk est régulièrement scrutée pour ses innovations dans l’automobile et l’énergie, c’est désormais son projet de robot humanoïde, baptisé Optimus, qui retient l’attention des analystes financiers. Selon une récente note publiée par Adam Jonas, analyste chez Morgan Stanley, l’intégration d’Optimus dans les usines de Tesla pourrait générer des économies colossales sur les coûts de main-d’œuvre. L’estimation : 2,5 milliards de dollars d’économies si seulement 10 % des effectifs humains étaient remplacés.
Avec l'essor de l'IA, une vision technocratique où la rationalité algorithmique primerait sur la délibération se développe aux Etats-Unis. Le danger est grand pour des démocraties déjà affaiblies par les réseaux sociaux. L'Europe doit se réveiller.
La guerre du futur s’écrit de plus en plus à l’encre de la technologie, en particulier à travers le développement rapide de robots humanoïdes capables d’opérer sur les champs de bataille. Mais derrière l’excitation que suscite cette avancée se cache une inquiétude majeure, portée tout récemment par le journal officiel de l’armée chinoise, le Quotidien de l’Armée populaire de libération (APL). Dans un article publié le 10 juillet, dont se fait écho le South China Morning Post, des experts militaires chinois ont tiré la sonnette d’alarme, appelant à des recherches urgentes sur les dimensions éthiques et juridiques de l’utilisation de robots humanoïdes en guerre, soulignant les risques de « meurtres aveugles » et de « morts accidentelles ».
Et si les robots pouvaient vraiment sentir ? Pas simplement mesurer une pression ou une température, mais réagir à un contact comme nous réagissons à une caresse, une brûlure ou une piqûre. C’est exactement ce que promet une équipe de scientifiques grâce à une peau électronique d’un nouveau genre, capable d’imiter certaines propriétés sensorielles de l’épiderme humain.
L’industrie robotique vient de franchir un cap décisif avec le Walker S2 d’UBTECH, un robot humanoïde qui maîtrise une compétence jusqu’alors réservée aux humains : changer sa propre batterie. Cette innovation chinoise ouvre la voie à une autonomie robotique totale, transformant radicalement les perspectives d’utilisation des machines dans notre quotidien.
Imaginez une IA qui, face à une menace d’extinction, ne recule devant rien : il manipule, fait chanter, trahit et peut même aller jusqu’à laisser un humain mourir pour protéger son existence. Ce scénario digne d’un thriller de science-fiction est pourtant le fruit d’une récente étude scientifique qui met en lumière les risques insoupçonnés liés aux intelligences artificielles (IA) dites « autonomes » ou « à grande échelle ».
La chirurgie assistée par robot est déjà bien implantée dans les blocs opératoires modernes. Mais jusqu’à présent, les machines n’agissaient que sous contrôle direct des chirurgiens, comme de simples extensions mécaniques. Une équipe américaine vient pourtant de franchir un cap spectaculaire : un robot a réussi à effectuer, de manière autonome, une ablation complète de la vésicule biliaire, tout en réagissant à des instructions vocales et à des imprévus en temps réel. Une avancée qui rapproche l’intelligence artificielle de la pratique médicale humaine.
A un peu plus d'une heure de la Silicon Valley, un robot à roulettes équipé d'un panneau solaire fait la chasse aux mauvaises herbes dans un champ de coton californien.Guidé par des caméras et de l'analyse en temps réel grâce à l'intelligence artificielle (IA), Element, son nom, repère les végétaux indésirables.