2024
La décision des députés israéliens d’interdire l’agence de l’ONU chargée des réfugiés palestiniens, alors que de nouvelles opérations dans la bande de Gaza menacent la vie de dizaines de milliers de civils, est une honte et un scandale.
Alors que les gouvernements se préparent à se réunir pour le Sommet du Futur de septembre prochain - une réunion de haut niveau des Nations Unies qui vise à "offrir un meilleur présent et à préserver l'avenir" - de récentes négociations ont supprimé deux mots du projet de résultat : les combustibles fossiles.
En tant qu'anciens chefs de gouvernement et lauréats du prix Nobel du monde entier, nous écrivons avec un sentiment commun d'urgence et de responsabilité concernant l'avenir de notre planète. Nous félicitons les Nations unies pour leur intention d'organiser un Sommet de l'avenir en septembre prochain - une réunion historique des Nations unies qui vise à garantir un avenir durable et équitable pour tous.
Communiquer sur les changements climatiques, c’est éduquer les publics et les inciter à agir pour lutter contre la crise climatique. Tout le monde peut jouer un rôle en faisant entendre sa voix, en partageant des solutions et en plaidant pour le changement – en s’appuyant sur des expériences, des contextes culturels et des valeurs sous-jacentes différents. Si vous créez un produit de communication – une vidéo, un podcast, un article écrit ou un graphique sur les changements climatiques – gardez à l’esprit les conseils suivants pour en faire un contenu utile, efficace et fiable.
Il faut laisser les journalistes accéder au site occupé par les opposants au projet d’autoroute A69 et exercer leur mission d’informer ! Les JNE publient aujourd’hui 8 mars 2024 cette tribune de même que plusieurs médias (La Relève et la Peste, Reporterre, Vert, Era-Environnement, InfoNature…). Un texte initié par les rédacteurs de la Charte pour un journalisme à la hauteur de l’urgence écologique dont les JNE font partie, qui a été signé également par le Syndicat National des Journalistes, le SNJ-CGT et une soixantaine de journalistes. Cette tribune se fait l’écho des observations du rapporteur spécial des Nations unies sur les défenseurs de l’environnement, Michel Forst.
Plusieurs responsables de l’ONU ont déploré ce mardi 27 février devant le Conseil de sécurité la propagation de la famine dans l’enclave palestinienne, assiégée et bombardée par Israël. Le nord du territoire est particulièrement menacé.
Le Rapport mondial sur la mise en valeur des ressources en eau fournit une évaluation complète et officielle de l’état général, de l’utilisation et de la gestion des ressources mondiales en eau douce et vise à fournir aux décideurs des outils pour formuler et mettre en œuvre des politiques durables de l’eau.
Un rapport historique des Nations Unies révèle la situation alarmante de la vie sauvage : les espèces animales migratrices sont en déclin et le risque d’extinction à l’échelle mondiale s’accroît
La suspension par plusieurs pays de leurs financements à l'Unrwa, l'agence des Nations Unies pour les réfugiés...
2023
A la marche de la société civile, ce 9 décembre, sortir de l’espace clos de l’ONU, brandir un drapeau, nommer un Etat ou une entreprise sera interdit. Nicolas Haeringer, de l’ONG 350.org, déplore une grave entorse à la liberté d'expression.
La Belgique soutient l'invocation, par le secrétaire général des Nations unies Antonio Guterres, de l'article 99 de la Charte de l'Onu, véritable "cri d'alerte" sur les répercussions sécuritaires internationales de la guerre au Proche-Orient, a affirmé jeudi la ministre des Affaires étrangères Hadja Lahbib.
Convention-cadre des Nations Unies sur les changements climatiques Les Parties à la présente Convention, Conscientes que les changements du climat de la planète et leurs effets néfastes sont un sujet de préoccupation pour l’humanité tout entière, Préoccupées par le fait que l’activité humaine a augmenté sensiblement les concentrations de gaz à effet de serre dans l’atmosphère, que cette augmentation renforce l’effet de serre naturel et qu’il en résultera en moyenne un réchauffement supplémentaire de la surface terrestre et de l’atmosphère, ce dont risquent de souffrir les écosystèmes naturels et l’humanité,
Signatures – Handtekeningen - Lettre ouverte en réaction au discours du Premier Ministre Alexander De Croo aux Nations-Unies (20/09/2023).
La rencontre organisée en marge de l’Assemblée générale a eu lieu à un peu plus de deux mois de la COP28 de Dubaï. Antonio Guterres a commencé par s’excuser. A cause d’une réunion du Conseil de sécurité des Nations unies consacrée à l’Ukraine, le secrétaire général de l’ONU ne pouvait pas assister à l’ensemble des débats du Sommet sur l’ambition climatique, mercredi 20 septembre. Mais, avant de s’éclipser, M. Guterres a tonné. Contre le « comportement honteux » de ceux qui ne respectent pas l’objectif de la neutralité carbone en 2050. Contre ceux qui préparent un « monde réchauffé de 2,8 °C ». Contre l’inaction qui pousse l’humanité aux « portes de l’enfer ». « L’avenir n’est pas écrit : c’est à vous, les dirigeants, de l’écrire », a-t-il ajouté, sonnant la mobilisation générale.
Le Premier ministre Alexander De Croo s'est adressé à l'Assemblée générale des Nations unies à New York.
La 78e session de l'Assemblée générale des Nations unies se tiendra du 19 au 23 septembre et le 26 septembre à New York. Un rendez-vous marqué cette année encore par la guerre en Ukraine, notamment la volonté des grandes puissances d'obtenir le soutien des pays émergents face à la Russie. Un sujet qui pourrait faire passer au second plan les discussions sur la crise climatique. France 24 fait le point sur les grands dossiers qui occuperont les débats.
L'ONU lance une plateforme qui évalue, pour la première fois, l'ampleur de l'extraction du sable du fond des mers et des océans. L'organisation s'alarme d'une surexploitation de la ressource, préjudiciable à l'environnement.
La campagne Agissons (ActNow) est un appel des Nations Unies à une action citoyenne contre les changements climatiques et pour la durabilité.
Les combustibles fossiles, à savoir le charbon, le pétrole et le gaz, sont de loin les plus grands contributeurs au changement climatique mondial ; ils sont responsables de plus de 75 % des émissions mondiales de gaz à effet de serre et de près de 90 % de toutes les émissions de dioxyde de carbone. Les émissions de gaz à effet de serre enveloppant la Terre, elles retiennent la chaleur du soleil. Cela entraîne un réchauffement climatique et un changement climatique. Le monde se réchauffe désormais à une vitesse jamais observée dans l’histoire documentée. Au fil du temps, les températures plus élevées entraînent des variations climatiques et déstabilisent l’équilibre habituel de la nature. Cette situation pose de nombreux risques pour les êtres humains et toute autre forme de vie sur Terre.
Les inégalités qui se creusent représentent un danger pour l’humanité tout entière, alerte le secrétaire général de l’ONU. Dans une tribune au « Monde », il presse le G20 d’approuver un plan de relance augmentant d’au moins 500 milliards de dollars par an les financements proposés aux pays les plus démunis.
L'Assemblée générale des Nations unies a voté mercredi une résolution demandant à la Cour internationale de justice (CIJ), la plus haute juridiction mondiale, de définir les obligations des États en matière de lutte contre le changement climatique. Un avis juridique, non contraignant, qui pourrait toutefois inciter les pays à prendre des mesures plus strictes et à clarifier le droit international.
Face aux pénuries qui s’aggravent, Antonio Guterres a insisté pour que tous les humains aient de l’eau sur la planète, à l’issue d’une conférence sur le sujet qui a suscité un peu d’espoir.
2022
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Finir le bec dans l’eau. De nombreux·ses observateur·rices espéraient que la 27ème Conférence des parties (COP27) sur le climat lance un élan autour de la préservation des écosystèmes, en amont de la COP15 sur la biodiversité qui s’ouvre à Montréal le 7 décembre prochain. Un espoir douché par l’absence d’attention portée au sujet.
Depuis sa prise de fonction, en janvier 2017, le secrétaire général des Nations unies ne cesse de marteler, dans des discours incendiaires, l’urgence à agir dans cette « bataille pour nos vies ».
Le Pakistan, victime d’inondations dévastatrices cet été et qui ne représente que 0,8 % des émissions mondiales de CO₂, considère être injustement frappé par les effets climatiques provoqués par l’industrialisation des grands pays.
Alexander de Croo a dénoncé la "guerre inutile et illégale" menée par les Russes en Ukraine, au cours d'un discours aux Nations Unies.
Martin Griffiths, chef du Bureau de coordination des affaires humanitaires de l’ONU, a lancé un « ultime avertissement » avant une catastrophe qui pourrait intervenir « entre octobre et décembre ».
Vote historique aux Nations Unies, qui déclarent que l'accès à un environnement propre, sain et durable est un droit de l'Homme universel
La seule position valable pour Emmanuel Macron, dans le prolongement du One Ocean Summit de Brest, est de défendre ce moratoire sur l’exploitation des grands fonds devant l’autorité régulatrice, l’Autorité Internationale des Fonds Marins (AIFM). Tout autre positionnement ne serait qu’hypocrisie et jeu de manches”.
Les crises alimentaires se sont aggravées sous l'effet de la guerre en Ukraine.
Avec la participation de délégués d'États membres, d'organisations non gouvernementales et d'universités, ainsi que d'entrepreneurs à la recherche de moyens de développer durablement l'"économie bleue", on espère que cet événement, qui se déroulera dans la ville portugaise de Lisbonne du 27 juin au Le 1er juillet marquera une nouvelle ère pour l'Océan.
Davantage de pays doivent «penser résilience» et adopter et améliorer de toute urgence des systèmes d'alerte précoce afin de réduire les risques liés à un nombre croissant de catastrophes dans le monde, a conclu vendredi un forum des Nations Unies sur les catastrophes.
Plus de 4.000 civils ont été tués depuis le début de la guerre en Ukraine, selon le Bureau des droits de l'homme des Nations Unies qui évoque le nombre de 4.031 personnes confirmées mortes.
En Allemagne, en Espagne ou encore en Inde et au Pakistan, les tempêtes, les températures records et les inondations ont fait la Une des journaux ces derniers temps. Ça ne pourrait être là qu’un avant-goût de ce qui nous attend, à en croire le dernier bilan du Bureau des Nations Unies pour la réduction des risques de catastrophe. Il prévoit que d’ici 2030, 1,5 catastrophe se produira tous les jours. Les populations les plus vulnérables sont les premières concernées.
Le pays connaît depuis fin avril des chaleurs record, dont l’Organisation météorologique mondiale (OMM) des Nations unies a estimé qu’elle était « cohérente » avec le changement climatique.
Avec les changements climatiques, les sécheresses deviennent plus nombreuses et plus intenses. Quelles en sont les conséquences dans le monde, et à quoi faut-il s'attendre dans le demi-siècle à venir ? Un nouveau rapport des Nations unies dresse un bilan chiffré et sonne l'alarme.
Moins connue que sa "grande soeur" sur le climat, cette 15e Conférence des parties (COP) de la Convention des Nations Unies sur la lutte contre la désertification (CNULCD), aborde des questions tout aussi cruciales à l'heure où l'ONU estime que 40% des terres sont dégradées dans le monde.
Quelque 13 000 enfants syriens sont morts depuis le début du conflit en Syrie, en 2011. Parmi eux, 213 ont péri « au cours des trois premiers mois » de 2022.
Les problèmes concernant la biodiversité concernent l'humanité toute entière !
L’insécurité alimentaire est en hausse « alarmante » dans le monde, selon un rapport publié le 4 mai par le Réseau mondial contre les crises alimentaires (GNAFC), mis en place par l’Union européenne, l’Organisation des Nations unies pour l’alimentation et l’agriculture (FAO) et le Programme alimentaire mondial (PAM).
L’humanité entre dans une spirale d’autodestruction. Voici le constat dramatique dressé dans un rapport publié le 26 avril par le Bureau des Nations unies pour la réduction des risques de catastrophes.
Il faut restaurer les sols, et vite. Selon un rapport de la branche des Nations unies chargée de la lutte contre la désertification, de 20 à 40 % des sols de la planète sont dégradés. La cause principale de cette dégradation est les activités humaines : déforestation pour créer des monocultures intensives, exploitations minières, urbanisation... « La conservation de la nature n’est plus suffisante, la restaurer est désormais impératif », poursuit le rapport publié mercredi 27 avril.
Les Nations Unies ont adopté le 2 mars le principe d’un traité international «juridiquement contraignant», dont la négociation doit aboutir en 2024. Diane Beaumenay-Joannet, chargée de plaidoyer sur les déchets aquatiques pour l’ONG Surfrider Europe s’en réjouit mais estime que «le plus difficile reste à venir».
Au moins 20 millions de personnes font face à un risque de famine cette année en raison de la sécheresse qui s'aggrave au Kenya, en Somalie et en Ethiopie, s'est alarmé mardi le Programme alimentaire mondial (PAM) des Nations unies. De longs mois de sécheresse dans la Corne de l'Afrique ont ravagé les cultures et le bétail et forcé de nombreuses personnes à quitter leur foyer en quête d'eau et de nourriture.
Les prix mondiaux des denrées alimentaires ont atteint en mars leurs "plus hauts niveaux jamais enregistrés", à cause de la guerre en Ukraine qui "provoque des chocs" sur les marchés des céréales et des huiles végétales, a annoncé vendredi l'Organisation des Nations Unies pour l'alimentation et l'agriculture (FAO).
Selon l’organisation des Nations unies pour l’alimentation, le panier moyen avait augmenté en mars de 12,6 % après le déclenchement de la guerre en Ukraine, et la hausse dépassait les 33 % sur un an. Pour les pays les plus pauvres, c’est la famine qui menace.
L'Assemblée générale de l'ONU a suspendu jeudi la Russie de son siège au Conseil des droits de l'Homme des Nations unies en raison de l'invasion de l'Ukraine, lors d'un vote qui a recueilli 93 voix favorables et traduit un effritement de l'unité internationale face à Moscou.
Les Nations unies ont appelé, jeudi, la communauté internationale à soutenir l'Afghanistan et à mettre fin à la "spirale de la mort" menaçant l'économie du pays, lors d'une conférence de donateurs. Le secrétaire général de l'ONU s'est également alarmé des moyens de survie de certains Afghans, qui "vendent leurs enfants et des parties de leur corps pour nourrir leur famille".
Alors que le monde passe à la vitesse supérieure dans sa course contre les changements climatiques et tourne la page de la conférence de 2021 sur les changements climatiques qui s’est tenue à Glasgow, examinons dix événements clés sur le plan mondial prévus pour 2022, qui viendront alimenter des discussions essentielles et influenceront les décisions de politique publique concernant l’une des questions les plus déterminantes de notre époque.
Une opinion de Philippe Lamberts et Olivier De Schutter, respectivement coprésident du groupe des Verts/ALE au Parlement européen, et rapporteur spécial des Nations unies sur l'extrême pauvreté et les droits de l'homme
Les Nations unies ont commencé lundi l'inspection de la Grande barrière de corail, afin d'évaluer si le site classé au patrimoine mondial, mais qui souffre de blanchissement, est protégé du changement climatique.
Les Nations unies cherchent à réunir mercredi plus de quatre milliards de dollars (3,6 milliards d'euros) pour le Yémen, déchiré par la guerre, pour lequel les fonds se sont taris avant même que l'attention du monde ne se tourne vers l'Ukraine.
L'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA) a exprimé dimanche sa "profonde inquiétude" à la suite d'informations concernant l'interruption des communications avec la centrale nucléaire ukrainienne de Zaporojie, la plus grande d'Europe, dont la Russie s'est emparée vendredi. L'AIEA, organisme de surveillance des Nations unies dans le domaine du nucléaire, a déclaré dans un communiqué que l'Ukraine l'avait informée que la direction de cette centrale, située dans le sud-est du territoire ukrainien, était désormais sous les ordres des forces russes.
Quatre Etats seulement – Biélorussie, Syrie, Erythrée et Corée du Nord – ont soutenu la Russie lors du vote de l’Assemblée générale des Nations unies.
Un million de réfugiés ont fui l'Ukraine à destination des pays voisins depuis le début de l'invasion russe il y a une semaine, a affirmé jeudi le haut-commissaire des Nations unies aux réfugiés, Filippo Grandi.
La Russie a été vivement condamnée pour son invasion de l'Ukraine, lundi, lors d'une "session extraordinaire d'urgence" de l'Assemblée générale des Nations unies qui pourrait durer jusqu'à mercredi. Pour traduire le rejet de la guerre, une résolution pilotée par les Européens en coordination avec l'Ukraine sera mise au vote prochainement.
Le sixième rapport d'évaluation (RE6) du Groupe d'experts intergouvernemental sur l'évolution du climat (GIEC) des Nations unies s'inscrit dans une série de rapports destinés à évaluer et synthétiser les informations scientifiques, techniques et socio-économiques relatives au réchauffement climatique. Il conclura le « sixième cycle d’évaluation du climat » effectué par le GIEC1, décidé à sa 41e session (février 2015)2.
La plus haute instance des Nations unies sur l’environnement a entamé ce lundi un cycle de négociations qui visent à aboutir à un traité international «historique» pour lutter contre la pollution plastique.
Une centaine de pays se réunira lundi à Nairobi, au Kenya, pour lancer les pourparlers au sujet d’un traité international sur les plastiques, sources d’importantes pollutions marines et terrestres. Le processus devrait durer deux ans.
Kiev accuse la Russie devant la Cour internationale de justice (CIJ) de planifier un génocide en Ukraine, a annoncé dimanche la Cour, organe judiciaire principal des Nations unies.
Le monde a une occasion "historique" de s'attaquer à la pollution plastique en lançant début mars des discussions sur un traité régulant ce phénomène qui étouffe la biodiversité, selon la patronne de l'agence des Nations unies pour l'environnement.
Les principes de "la Charte des Nations Unies ne sont pas un menu à la carte" et la Russie doit "les appliquer tous" à l'égard de l'Ukraine, a affirmé mardi le secrétaire général de l'ONU, Antonio Guterres, dans une vive critique à l'égard du Kremlin.
Un rapport des Nations unies dévoilé mercredi 23 février indique une trajectoire inquiétante concernant l’augmentation des feux de forêt. À l’horizon 2030, les “incendies extrêmes” augmenteront de 14 %, puis de 30 % en 2050, et jusqu’à 50 % à la fin du siècle. La manière de les affronter devra changer radicalement.
Aujourd'hui, plus d'un tiers des réserves de poissons sont touchées par la surpêche, selon l'Organisation des nations unies pour l'alimentation et l'agriculture (FAO). Au Sénégal, les pêcheurs artisanaux en subissent de plein fouet les conséquences. Reportage.
C'est le cas dans "presque tous les pays" - y compris les nations industrialisées -, selon un rapport publié mardi par le Programme des Nations unies pour le développement (PNUD). Selon l'enquête, six personnes interrogées sur sept ont déclaré qu'elles se sentaient plutôt en insécurité ou très en insécurité.
Les Nations unies ont dénoncé, lundi, les vols de cryptomonnaies qui permettent à la Corée du Nord de financer ses programmes nucléaires et balistique. Ces attaques auraient rapporté jusqu’à 400 millions de dollars à Pyongyang en 2021, une année particulièrement faste pour cette méthode permettant de contourner les sanctions internationales.
La montagne de déchets médicaux liés au Covid-19 continue à grandir. De quoi susciter l’inquiétude de l’Organisation mondiale de la santé (OMS) pour la santé et l’environnement. Dans un nouveau rapport publié sur ce mardi, l’institution se penche sur les quelque 87 000 tonnes d’équipements de protections individuelles expédiés entre mars 2020 et novembre 2021 à travers le monde par les Nations unies pour aider les pays, en particulier les plus défavorisés, à faire face à la pandémie.
Sur les 194 Parties signataires de l'Accord de Paris ayant déposé auprès des Nations Unies leurs « contributions déterminées au niveau national »(1) (engagements pour lutter contre le réchauffement climatique, « INDC » ou « NDC » en anglais), 182 Parties avaient inclus des objectifs relatifs aux énergies renouvelables à mi-novembre 2021 après la COP26 (dont 144 avec des objectifs quantifiés et seulement 13 s'engageant avec un pourcentage d'énergies renouvelables dans leurs mix énergétiques respectifs).
Selon les Nations Unies, les engagements pris par les parties lors de la COP26 à Glasgow aboutiraient à une hausse de températures de 2,9 à 3,1 degrés d'ici à 2100. Des nouveaux engagements en 2022 seront essentiels pour garder en vie l’objectif de limiter le réchauffement à 1,5 °C et les pays sont encouragés à accroître l'ambition de leurs engagements avant la COP27 qui se tiendra en Égypte du 7 au 18 novembre.
2021
L'ONU tire la sonnette d'alarme. Environ une personne sur quatre risque de souffrir gravement de la faim en Somalie, en raison de la sécheresse qui touche ce pays, après trois saisons de faibles précipitations et une quatrième en vue, avertissent les Nations unies lundi 20 décembre. L'organisation s'attend à ce que 4,6 millions de personnes aient besoin d'aide alimentaire d'ici mai 2022.
Le Kremlin a défendu mardi son veto contre une résolution sur le réchauffement climatique au Conseil de sécurité des Nations unies, estimant que ce texte risquait de nuire au développement du pays.
Le nombre de personnes sous-alimentées en Afrique a progressé de près de 50% entre 2014 et 2020, pour atteindre 281,6 millions de personnes, estime mardi un rapport de l'Organisation des Nations unies pour l'alimentation et l'agriculture (FAO) et de deux autres institutions internationales.
Le Fonds des Nations unies pour l’Enfance célèbre ce samedi son 75e anniversaire dans un contexte de crises mondiales. À la pandémie de Covid-19, s’ajoute la crise climatique. Un double choc qui contribue à creuser les inégalités et augmenter la pauvreté des enfants, alors que le temps presse pour atteindre, d’ici 2030, les objectifs de développement durable fixés par l’Onu.
Dans un nouveau rapport publié cette semaine, l’Organisation des Nations unies pour l’alimentation et l’agriculture (FAO) alerte sur les dégradations des ressources en terres et en eaux. Elles ont fortement augmenté ces dix dernières années au point de mettre en péril la sécurité alimentaire mondiale alors que la Terre devrait compter dix milliards d'humains en 2050. Il ne reste désormais qu’une marge de manœuvre étroite pour renverser les tendances, prévient la FAO.
Le prochain volet du sommet international COP15 sur la biodiversité, qui aurait dû avoir lieu en janvier à Genève, a été repoussé à cause des "incertitudes" liées au variant Omicron du Covid-19, ont annoncé jeudi les organisateurs de cet événement des Nations unies.
Sécheresses, inondations, maladies diverses... Ce sont de nouveaux "chocs" auxquels les systèmes agroalimentaires mondiaux, encore confrontés aux conséquences de la pandémie de Covid-19, doivent se préparer sans tarder, a averti mardi la Food and Agriculture Organization (FAO), un organisme des Nations unies.
Greta Thunberg et de jeunes militants pour le climat du monde entier ont déposé une pétition juridique auprès du secrétaire général des Nations Unies, lui demandant de déclarer une « urgence climatique à l’échelle du système ».
A l’aube d’une nouvelle déclaration de la Conférence des Nations Unies pour le Climat, en son dernier jour, petit rembobinage pour comprendre les moments clés de cette COP26, qui a officiellement démarré ce 1er novembre 2021.
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A l’issue du dixième jour des discussions de la 26e Conférence des parties (COP) pour le climat des Nations unies, la Chine et les Etats-Unis ont conclu une « déclaration conjointe sur le renforcement de l’action climatique », a annoncé l’émissaire pour le climat chinois, Xie Zhenhua, mercredi 10 novembre. « Les deux parties reconnaissent l’écart existant entre les efforts actuels et les objectifs de l’accord de Paris, donc nous renforcerons conjointement l’action climatique », a-t-il ainsi déclaré devant la presse depuis Glasgow, en Ecosse.
Le rapport annuel de référence du Programme des Nations unies (Pnue) pour l'environnement publié juste avant la conférence climat de Glasgow mettait en garde contre un réchauffement "catastrophique" de +2,7°C, ou de +2,2°C en ajoutant les objectifs de neutralité carbone pour le milieu du siècle.
Le Climate Action Tracker (CAT), un consortium de scientifiques sur le climat, tire la sonnette d’alarme dans sa mise à jour mondiale annuelle publiée ce mardi. Il pointe le déficit de crédibilité de la COP26 à Glasgow alors que l’action réelle des Etats ne reflète pas les promesses de réduction des émissions, à moyen ou long terme. Les parties à la Convention-cadre des Nations Unies sur le réchauffement du climat ne font ni assez fort, ni assez vite pour limiter la hausse du thermomètre de la planète, selon le CAT.
Une grande marche a animé les rues de Glasgow ce vendredi après-midi, au cinquième jour de la Conférence des Nations unies pour le climat. A la fin de la manifestation, Greta Thunberg a fustigé l’«échec» de la COP26.
Dans un rapport publié jeudi, le Programme des Nations Unies pour l’environnement appelle à «relever le niveau de l’ambition» pour s’adapter aux effets dévastateurs du changement climatique, en particulier en matière de financement et de mise en œuvre.
Réunis à Glasgow pour la 26e Conférence des Nations unies pour le climat, les États-Unis, le Royaume-Uni, l’Union européenne, mais aussi la France et l’Allemagne, ont annoncé, le mardi 2 novembre, avoir conclu un accord avec Johannesburg pour soutenir la “transition énergétique juste” de l’Afrique du Sud, très dépendante du charbon.
A l’occasion de la 26e conférence des Nations unies sur le climat, qui se tient du 31 octobre au 12 novembre 2021 à Glasgow (Ecosse), France 3 Hauts-de-France a proposé au chercheur François Gemenne de répondre à dix questions sur le réchauffement climatique.
BD, manuel, atlas: petit kit de survie à l’occasion de la Conférence des Nations unies sur le changement climatique.
Le Programme des Nations Unies pour le développement (Pnud) lance ce mercredi une campagne intitulée "Don't Choose Extinction" ("Ne choisissez pas l'extinction"). Pour illustrer son propos, le Programme a produit un court métrage mettant en scène un dinosaure qui prononce un discours devant l'Assemblée générale des Nations Unies afin d'exhorter les dirigeants du monde à renoncer aux subventions aux combustibles fossiles.
Six jours avant l’ouverture de la COP26, à Glasgow, l’Organisation des Nations unies (ONU) a émis, lundi 25 octobre, un nouveau bulletin alarmant : les concentrations de gaz à effet de serre ont encore atteint des records en 2020, et l’Amazonie perd de sa capacité à absorber le CO2.
La sortie du combustible fossile le plus émetteur de CO2 sera un motif de friction au 26e sommet des Nations Unies pour le climat, qui débute le 31 octobre en Écosse. Si la plupart des pays du monde sont d’accord pour ne plus financer de nouvelles centrales à l’extérieur de leurs frontières, la Chine, l’Inde ou la Russie ne veulent pas se passer de charbon à la maison.
Des documents confidentiels consultés par la BBC illustrent le travail des pays membres des Nations unies pour influencer les rapports remis par le Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat (GIEC). Malgré les constats scientifiques, ils minimisent telle ou telle cause du dérèglement climatique en fonction d’intérêts nationaux.
Plus de 260 organisations de la société civile s’y opposent, les Nations Unies ont adressé plusieurs lettres d’interpellation à la major pétrolière, à tel point que les plus grands investisseurs du monde se sont retirés du projet ! Pourtant, Total Energies signe et persiste pour accomplir son projet pétrolier pharaonique en Ouganda, et ceci avec la complicité active de l’Etat Français.
les plans de production des gouvernements dans ce secteur sont toujours "en dangereux décalage" avec les objectifs de Paris, a regretté mercredi le Programme des Nations unies pour l'Environnement (PNUE), à deux semaines de la conférence climat COP26. Pour espérer rester sous +1,5°C, "la production mondiale d'énergies fossiles doit commencer à baisser immédiatement et fortement", souligne le rapport réalisé par le PNUE et plusieurs instituts de recherche.
les plans de production des gouvernements dans ce secteur sont toujours "en dangereux décalage" avec les objectifs de Paris, a regretté mercredi le Programme des Nations unies pour l'Environnement (PNUE), à deux semaines de la conférence climat COP26. Pour espérer rester sous +1,5°C, "la production mondiale d'énergies fossiles doit commencer à baisser immédiatement et fortement", souligne le rapport réalisé par le PNUE et plusieurs instituts de recherche.
Les projets de production de combustibles fossiles de par le monde ne sont pas compatibles, et de loin, avec les objectifs de l’accord de Paris sur le climat, confirme mercredi le dernier rapport sur l'"écart de production" réalisé par plusieurs instituts de recherche de premier plan et le Programme des Nations unies pour l’environnement (PNUE).
Le monde a désormais atteint "un moment de vérité" dans la protection de ses écosystèmes vitaux, a souligné lundi la responsable de la biodiversité pour les Nations unies alors que s'ouvraient en Chine les pourparlers sur un nouveau traité international pour la conservation.
La 15e Conférence des parties (COP) de la Convention sur la diversité biologique des Nations Unies a été lancée depuis Kunming en Chine, en présence de représentants du gouvernement chinois, de la CDB et de certaines délégations. Elle se déroule parallèlement en ligne.
Human rights council also appoints special rapporteur to monitor impact of climate crisis on rights
La Chine donnera lundi le coup d'envoi de la COP15 biodiversité, des négociations cruciales pour tenter de restaurer une nature abîmée par l'homme et menacée par le changement climatique, après l'échec de la communauté internationale à agir sur la décennie écoulée. La 15e Conférence des parties (COP) de la Convention sur la diversité biologique (CDB) des Nations Unies s'ouvrira de manière virtuelle du 11 au 15 octobre, avant la tenue de négociations à proprement parler à Kunming, dans le sud-ouest de la Chine, du 25 avril au 8 mai 2022.
Les prix mondiaux des produits alimentaires ont à nouveau progressé en septembre, "sous l'effet d'un resserrement de l'offre et d'une forte demande" de produits de base comme le blé et l'huile de palme, a annoncé jeudi l'Organisation des Nations Unies pour l'alimentation et l'agriculture (FAO). Son indice en la matière a en effet atteint son niveau le plus élevé depuis dix ans. Les aliments pourraient donc devenir encore plus chers dans un avenir proche, par exemple au supermarché.
La défense de la planète, c'est aussi une affaire de religion. Le Pape François et des dignitaires religieux de tous bords se sont réunis au Vatican pour faire entendre leur voix à l'approche de la COP26, la Conférence des Nations Unies sur le climat.
Lors de la Conférence annuelle des Nations Unies sur les changements climatiques (COP26), en novembre en Écosse, beaucoup de pays arriveront avec un bilan gênant. Le Canada est-il le pire? Il n’est en tout cas pas parmi les meilleurs, constate le Détecteur de rumeurs.
Antonio Guterres, le secrétaire général des Nations unies, l’a lui-même avoué à demi-mot, ce jeudi, dans un discours devant une cinquante de ministres : «Echouer reste une possibilité mais nous ne pouvons, ne devons pas, l’accepter.»
Dans un rapport publié en ligne, le Bureau des Nations unies pour la coordination des affaires humanitaires fait état d'une malnutrition "sans précédent" dans la région éthiopienne du Tigré, en proie aux combats depuis novembre.
Avec les lourds tributs payés au changement climatique et à la pandémie, l’humanité est en train de subir les conséquences d’une "guerre contre la nature que nous avons nous-mêmes déclenchée", a affirmé vendredi le président du Conseil européen Charles Michel, à la tribune de l’assemblée générale des Nations unies.
Dans un rapport publié mi-septembre, l’Organisation des Nations unies fait le point sur les engagements climatiques des 191 États signataires de l’Accord de Paris. Ils sont beaucoup trop faibles et nous conduiraient à un réchauffement de 2,7°C par rapport à l’ère pré-industrielle.
Les subventions directes et indirectes aux combustibles fossiles se sont élevées à 5 900 milliards de dollars en 2020 dans le monde, soit environ 6,8% du PIB, a indiqué vendredi le FMI appelant à une "tarification efficace" pour réduire les émissions polluantes. Ces subventions devraient atteindre 7,4% du Produit intérieur brut mondial en 2025 selon le Fonds monétaire international, qui a publié vendredi un rapport à l'occasion du Dialogue de haut niveau consacré à l'énergie dans le cadre de l'Assemblée générale des Nations Unies.
A quelques semaines du début de la conférence COP26 à Glasgow (Ecosse), la thématique du changement climatique s’invite à la tribune des Nations unies (ONU), à l’occasion de l’Assemblée générale de l’organisation, qui se tient à New York pendant une semaine.
Joe Biden a promis mardi à la tribune des Nations unies de "doubler" le montant de l’aide internationale accordée par les Etats-Unis aux pays en développement pour faire face au changement climatique, une promesse saluée par les associations environnementales.
Le programme nucléaire iranien sera un des sujets de discussion cette semaine à New York, où les différents protagonistes du dossier doivent se rencontrer lors de l'Assemblée générale des Nations Unies. Le sujet sera aussi sur toutes les lèvres à la Conférence générale annuelle de l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA), le gendarme onusien du nucléaire, qui s'est ouverte lundi à Vienne. Si Téhéran insiste sur le caractère pacifique de ses activités, leur récente montée en puissance inquiète les experts, au moment où les pourparlers diplomatiques sont à l'arrêt.
L'Organisation des Nations unies pour l'alimentation et l'agriculture (FAO), le Programme des Nations unies pour le développement (PNUD) et le Programme des Nations unies pour l'environnement (PNUE) estiment que 87 % des aides publiques annuelles aux producteurs agricoles nuisent à l’horizon 2030
Alors que plus de 2 000 scientifiques demandent ce lundi un traité de non-prolifération du charbon, du pétrole et du gaz, la reconnaissance de l’urgence par tous les pays membres des Nations unies est un long chemin.
Un rapport, publié le 31 août par les Nations unies et la convention sur la conservation des espèces migratrices appartenant à la faune sauvage, alerte sur les effets de l’ingestion et de l’utilisation des débris issus de la pêche par les oiseaux.
Environ 90% des personnes vivent au quotidien en respirant un air pollué nocif, qui est décrit par les Nations Unies comme le problème de santé le plus important de notre époque
Un redémarrage de ce réacteur, d’une capacité de cinq mégawatts, pourrait signifier que Pyongyang poursuit son programme de développement nucléaire en violation flagrante des résolutions du Conseil de sécurité de l’Organisation des Nations unies (ONU).
Le premier ministre australien, Scott Morrison, a rejeté mardi 10 août les appels à revoir les objectifs climatiques de l’Australie à la hausse, malgré le rapport alarmant de l’Organisation des Nations unies (ONU) sur le climat, publié la veille. Le chef du gouvernement a averti qu’il ne souhaitait pas fixer d’objectifs en matière de neutralité carbone.
Pour Antonio Guterres, cette nouvelle publication scientifique « est un code rouge pour l’humanité ». « Les sonnettes d’alarme sont assourdissantes et les preuves sont irréfutables : les émissions de gaz à effet de serre provenant de combustibles fossiles et de la déforestation étouffent notre planète et mettent des milliards de personnes en danger immédiat », affirme le secrétaire général des Nations unies.
Le rapport des experts climat de l’ONU (Giec) publié lundi, véritable "alerte rouge" pour l’humanité, doit "sonner le glas" des énergies fossiles qui "détruisent la planète", a réagi le secrétaire général des Nations unies Antonio Guterres.
À moins de 100 jours de la Conférence des Nations Unies sur le climat à Glasgow, les gouvernements et les entreprises doivent accorder beaucoup plus d'importance à une réduction drastique et rapide des émissions de carbone à court terme. Au stade actuel, l'objectif zéro émission nette constitue un moyen dangereux de faire diversion face à cet impératif de réduction, affirme l'organisation humanitaire Oxfam dans un rapport publié mardi.
Depuis lundi 26 juillet, de fortes pluies se sont abattues sur le camp de réfugiés de Rohingya de Cox’s Bazar, dans l’est du Bangladesh. Les inondations et les glissements de terrain causés par la mousson ont laissé plus de 5000 personnes sans toit selon les Nations unies. Des humanitaires ont expliqué à notre rédaction pourquoi ils ont de grandes difficultés à venir en aide aux sinistrés.
Le début d’une action plus rapide et plus forte ? Au beau milieu d’un été marqué par des catastrophes climatiques, 195 pays entament ce lundi l’adoption des nouvelles prévisions des experts climat de l’Organisation des nations unies (ONU). Ce nouveau rapport de référence intervient sept ans après la dernière évaluation du Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat (Giec) et devrait (dans l’idée) inciter à davantage lutter contre le changement climatique.
Une carte blanche de l’Ambassadeur d’Italie, M. Francesco Genuardi et de l’Ambassadeur britannique, M. Martin Shearman. Dans 100 jours le Royaume-Uni, en partenariat avec l’Italie, organisera Cop 26, la Conférence des Nations Unies sur les changements climatiques qui aura lieu à Glasgow.
Entre « 720 et 811 millions de personnes dans le monde ont été confrontées à la faim » en 2020, selon les Nations-Unies, des chiffres en hausse de 18 % depuis un an.
Alors que l'Agence des Nations unies pour l'Agriculture et l'Alimentation (FAO) doit publier, lundi 12 juillet, un rapport sur l'état de la sécurité alimentaire dans le monde, l'ONG Oxfam révèle dans un rapport rendu public vendredi que le nombre de personnes en situation de famine a été multiplié par six depuis le début de la pandémie.
La pression sur l’économie nord-coréenne a été renforcée par la fermeture des frontières ordonnée pour lutter contre la pandémie et par une série de tempêtes et inondations l’an passé.
Bien qu’ils vivent souvent sur des terres parmi les plus riches en ressources, de nombreux pays en développement sont confrontés à une pauvreté persistante en raison de leur dépendance trop importante aux exportations de matières premières, selon un rapport publié mercredi par la Conférence des Nations unies sur le commerce et le développement (CNUCED).
Un projet de rapport du Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat (GIEC) de l’Organisation des Nations Unies (ONU) tire la sonnette d’alarme. L’heure n’est plus aux petites mesures : les gouvernements et entreprises doivent travailler de concert pour tenter d’atténuer les effets du changement climatique. Quoi qu’il arrive, les prochaines générations évolueront dans un monde complètement différent.
Un nouveau rapport du Programme des Nations unies pour l’environnement (PNUMA), Faire la paix avec la nature (2021), souligne « la gravité de la triple urgence environnementale de la Terre : le changement climatique, la perte de biodiversité, et la pollution ». Ces « trois crises planétaires que nous nous infligeons font courir un risque inacceptable au bien-être de la génération actuelle et des futures générations », dit le PNUMA. Cette alerte rouge, publiée à l’issue de la Journée mondiale de l’environnement (5 juin), a été élaborée tandis qu’avait lieu la Journée internationale de lutte anti-impérialiste.
Malgré les nombreuses alertes sur un risque imminent de famine dans la région éthiopienne du Tigré, les quinze membres du Conseil de sécurité de l’ONU ont pour le moment échoué à se mettre d’accord sur une réaction commune.
Des scientifiques pressent les dirigeants du monde entier d’accélérer sur l’adoption d’un traité en faveur de la haute mer, ces vastes zones océaniques qui ne sont placées sous l’autorité d’aucun État. Un texte permettrait de les protéger contre des risques environnementaux de plus en plus préoccupants.
Face à la triple menace des changements climatiques, de la perte de la nature et de la pollution, le monde doit tenir son engagement de restaurer au moins un milliard d'hectares de terres dégradées au cours de la prochaine décennie, une superficie équivalente à celle de la Chine.
Cette année, la Journée internationale de la biodiversité nous rappelle que « nous faisons partie de la solution ». L'importance du « nous » collectif n'a jamais été aussi prégnante. Les travailleurs en première ligne de la nature ne sont pas nouveaux, mais existent depuis des décennies et peuvent apporter des solutions transformatrices à la gestion de la biodiversité. Apprendre d'eux, exploiter leur potentiel pour des efforts concertés et établir des partenariats efficaces nous aidera à traduire le Cadre mondial de la biodiversité pour l’après 2020 en actions concrètes. Voici cinq moyens d'y parvenir.
Risques nucléaires : à quand la fin du monopole des experts internationaux producteurs d'ignorance ?
- Christine Fassert,Tatiana Kasperski
Deux chercheuses, Christine Fassert et Tatiana Kasperski ont étudié et analysé comment depuis l’accident de Tchernobyl la monopolisation de l’autorité du savoir sur les radiations ionisantes a été instrumentalisé par un ensemble restreint d’organisations (l’Agence internationale de l’énergie atomique/AIEA, la Commission internationale de radioprotection/CIPR et le Comité scientifique des Nations unies pour l’étude des effets des rayonnements ionisants/UNSCEAR).
Le programme des Nations Unies pour le développement publie depuis 1990 un rapport annuel qui dresse la situation des pays du monde et mesure les progrès effectués pour leur population en matière de qualité et de niveau de vie. Avec la version parue fin 2020, s’opère une révolution qui signe l’entrée dans l’anthropocène de cet outil international d’observation et de préconisation pour lutter contre les inégalités de développement : dans l’analyse produite pour mesurer l’état du monde sont maintenant intégrés des indicateurs de pression anthropique exercée sur la planète : émission de CO2 d’un côté et empreinte matière, autrement dit estimation du niveau d’extraction des ressources, de l’autre.
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Les Nations unies ont publié ce vendredi un état des lieux des contributions nationales à l'accord de Paris. Pour rappel, dans le cadre de celui-ci, les pays signataires se sont engagés à actualiser et à communiquer tous les cinq ans les politiques et mesures qu’ils entendent mettre en œuvre au niveau national pour concrétiser l’objectif de ce traité, à savoir limiter la hausse de la température mondiale à 1,5°C.
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L’ONU a rendu public un rapport dans lequel il souligne que les objectifs climatiques ne peuvent être atteints. Pour son secrétaire général António Guterres, il est urgent que les États réorientent leurs politiques économiques pour inverser la tendance.
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Le premier rapport de synthèse du PNUE est intitulé : Faire la paix avec la nature : un plan scientifique pour faire face aux urgences en matière de climat, de biodiversité et de pollution. Il se fonde sur des preuves issues d'évaluations environnementales mondiales.
Le réchauffement climatique est considéré comme un problème urgent par une majorité de citoyens à travers le monde, même dans le contexte de la pandémie, ressort-il mercredi de la plus vaste enquête menée sur le sujet pour le compte du Programme des Nations Unies pour le développement (PNUD).
2020
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Voici une excellente nouvelle: ce 24 octobre est et restera une date historique, le Traité d'Interdiction des Armes Nucléaires (TIAN) a obtenu sa cinquantième ratification, du Honduras, celle requise pour son entrée en vigueur. Il prendra pleinement effet dans 90 jours à peine, une lueur en cette sombre période. Vous vous demandez comment l’approche d’une si bonne nouvelle a pu être si discrète ? La réponse est dans les bunkers de la base aérienne de Kleine Brogel, en une vingtaine d’exemplaires.
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L'ONU estime que les désastres climatiques feront environ 150 millions de victimes par an d'ici 2030
- Belga
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Les catastrophes climatiques feront environ 150 millions de victimes par an d’ici 2030 - selon l’ONU
- Belga
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Le changement climatique - principal responsable du doublement des catastrophes naturelles en 20 ans
- AFP
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Le changement climatique est le principal responsable du doublement des catastrophes naturelles dans le monde en vingt ans, a alerté lundi l'ONU, signalant que les désastres naturels ont tué plus de 1,2 million de personnes depuis 2000.
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Rapport sur l'écart entre les besoins et les perspectives en matière de réduction des émissions 2019
- collectif
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L’événement, qui aura lieu le jour du cinquième anniversaire de l’accord de Paris, rassemblera « les dirigeants mondiaux les plus ambitieux sur le climat ».
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Sans union face au changement climatique - nous sommes perdus - affirme le patron de l'ONU
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La pandémie de Covid-19 "menace l’humanité entière", a affirmé mercredi le secrétaire général de l’ONU, Antonio Guterres, en lançant un "Plan de réponse humanitaire mondial" s’étendant jusqu’à décembre, assorti d’un appel à des dons à hauteur de 2 milliards de dollars.
Déjà en novembre dernier, M. Guterres, avait constaté que les efforts du monde pour arrêter les changements climatiques avaient été «totalement inadéquats» et que le réchauffement du climat s’approchait vite du «point de non-retour» . Les hausses généralisées des températures qui entraînent des conditions météorologiques extrêmes provoquent les catastrophes climatiques qui se font sentir partout sur la planète avec des conséquences dévastatrices pour les humains et les animaux.
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2019
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COP25 : l'Humanité doit arrêter de faire la 'guerre'à la planète
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La mise en garde lancée mardi par l'ONU est plus claire que jamais : si le monde remet encore à plus tard les actions immédiates et radicales nécessaires pour réduire les émissions de CO2, la catastrophe climatique ne pourra plus être évitée.
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Jouzel & Larrouturou en direct...
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État des lieux de la planète, chapitre 3. Après le rapport évaluant la possibilité de limiter la hausse de la température mondiale à 1,5 °C et celui consacré aux impacts du réchauffement sur les sols, le Giec vient de rendre publique une nouvelle synthèse qui se penche sur la manière dont les dérèglements climatiques affectent les océans, les zones côtières et les régions de la Terre qui étaient jusqu’ici le royaume des glaces et du froid.
Vingt rencontres officielles en trois jours, cinq interventions devant des publics de haut niveau, une visite à l’Université de Columbia, un événement sur la santé mentale… La reine Mathilde a connu des journées intenses à New York, lors de l’ouverture de la 74e assemblée générale des Nations unies.
Un peu partout sur la planète, la jeune activiste suédoise Greta Thunberg a fait des émules. Portraits de ces militants mobilisés sur les cinq continents. Leah Namugerwa, en Ouganda, Ralyn Satidtanasarn, la guerrière thaïlandaise, L'Américaine Alexandria Villasenor, Des émules en Allemagne, Pologne, Suisse, Belgique...
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Les changements se manifestent plus vite et plus fort, tant dans les océans que dans les zones glaciaires. Notre capacité à nous adapter et à réduire drastiquement les émissions de gaz à effet de serre aux cours des prochaines décennies sera cruciale, avertit le Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat.
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Le secrétaire général de l'ONU, Antonio Guterres, convie lundi un sommet sur le climat pour obtenir des dirigeants mondiaux qu'ils révisent à la hausse leurs plans de réduction des émissions de gaz à effet de serre.
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Les littoraux de plusieurs grandes villes sont menacés à moyen terme par le réchauffement climatique. C'est le cas de Jakarta et de Bangkok mais aussi de New York, où le niveau de l'eau devrait monter de près de deux mètres d'ici la fin du siècle.
La première ville des Etats-Unis, qui a autorisé 1,1 million d’élèves à sécher les cours sans pénalités, était l'épicentre de la mobilisation : les leaders du monde entier y convergent pour un sommet exceptionnel sur le climat organisé lundi par le secrétaire général de l’ONU.
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Le secrétaire général de l’ONU, Antonio Guterres, convie lundi prochain un sommet sur le climat pour obtenir des dirigeants mondiaux qu’ils révisent à la hausse leurs plans de réduction des émissions de gaz à effet de serre.
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2018
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Une énergie considérable est déployée pour le répéter : « L’ère de l’énergie bon marché est terminée », alertent des biophysiciens finlandais dans un rapport remis aux Nations unies le 14 août 2018. Mais plutôt que de seulement reprendre ce constat à d’autres scientifiques, ils en tirent une conclusion sans appel : le modèle économique issu de l’ère industrielle arrive lui aussi à son terme. « Pour la première fois dans l’histoire de l’humanité », nous nous tournons vers « des sources d’énergie moins efficientes », ce qui signifie que sa production nécessitera à l’avenir « plus d’efforts ».
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