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Fin des années 60, le Club de Rome commande une étude sur la viabilité de la croissance économique. Cette étude sera publiée en 1972 sous le titre « The limits to growth » (« Les limites à la croissance » en français) ou « Rapport Meadows ».
Voici nos références avec le mot-clef « Meadows » :
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2024
Olena Halushka et Victoria Voytsitska, membres de l’International Center for Ukrainian Victory expliquent, dans une tribune au « Monde », ce que l’Europe peut faire pour sauver le secteur énergétique ukrainien du terrorisme nucléaire russe.
Les mineurs de cryptomonnaies et les centres de données, les "data centers", ont absorbé 2% de l'électricité mondiale en 2022, annonce le FMI, le Fonds Monétaire International, dans un nouveau rapport. Avec l'essor des cryptos, et surtout de l'intelligence artificielle, ce sera sans doute 3,5% en 2027 - peut-être même beaucoup plus. Et c'est logique : une requête sur ChatGPT consomme dix fois plus d'énergie qu'une recherche simple sur Google.
Après être passée à travers le mirage méritocrate néolibéral et le techno-solutionnisme, Victoria Berni-André a rallié les luttes écologistes. Dans son livre Vivant·es et dignes - Des petits gestes à l'écologie politique, elle décrypte le monde pernicieux de l'ingénierie verte et y oppose celui des alternatives écologistes, tout en décortiquant les pièges qui peuvent s'y
In Munich I heard both Ukrainians and Alexei Navalny’s widow tell us why Putin must be defeated, says Guardian columnist Timothy Garton Ash
Synergie entre énergies fossiles et décarbonées, frein à la transition énergétique - Une Tribune à découvrir sur Polytechnique Insights
2023
Les Français sont largement sensibilisés aux enjeux écologiques mais restent attachés à leur mode de vie. Peut-on alors espérer qu’ils accèdent durablement à la sobriété énergétique sans autre contrainte que celle exercée par l’inflation ? La question est posée par Virginie Raisson-Victor, géopolitogue, prospectiviste, Présidente du Giec des Pays de la Loire (GIEC-PDL) et co-fondatrice du Grand Défi des entreprises pour la planète.
Le toxicologue Alfred Bernard (UCLouvain) était invité sur le plateau de l’émission QR l’actu ce lundi pour faire le point sur les dernières révélations concernant la pollution aux PFAS dans les eaux wallonnes. Selon l’expert, les politiques ont agi dangereusement par rapport à cette problématique. "Ils ont joué avec la santé des plus vulnérables. Nous sommes ici avec une gestion des risques tout à fait calamiteuses. Lorsqu’il y a un pic de pollution de l’air, on avertit la population et on recommande par exemple de ne pas faire de l’exercice. Lorsqu’il y a une contamination dans la chaîne alimentaire, l’AFSCA intervient, saisit les produits et la population est informée. Nous devrions avoir la même stratégie de gestion des risques dans le cas de contaminations comme celles-ci."
Alors que les technologies numériques ont révolutionné la façon dont nous accédons à l’information et aux divertissements, les livres papiers continuent d’être produits et consommés à grande échelle malgré leur impact écologique. La production de livres numériques ne serait pas pour autant la solution. À chaque fois que nous publions des livres, la question se pose : Devons-nous puiser dans les ressources planétaires pour publier des livres qui défendent la sauvegarde de celles-ci ?
Les discours médiatiques et politiques s’orientent de plus en plus vers une acceptation des changements climatiques : les conséquences de la crise climatique sont déjà là et il faudrait s’habituer à vivre avec. Cette résignation envers « une nouvelle normalité » a incité Michel Jetté, cinéaste et co-initiateur de la Déclaration d’Urgence Climatique, a pousser un coup de gueule en 911 mots. Mr Mondialisation relaie sa mise à point concernant cet aveuglement général. Tribune.
Na verschillende terreinbezoeken aan plantages in Liberia en Kameroen, hebben onderzoekers aantijgingen bevestigd van seksuele intimidatie, oneigenlijk grondgebruik en oneerlijke wervingspraktijken aan het adres van het Belgisch-Luxemburgs palmoliebedrijf Socfin.
Mémoire de Fin d'Études présenté par DUPONT, Victor-Henry en vue de l'obtention du grade académique de Master en Sciences et Gestion de l'Environnement Finalité Gestion de l’Environnement M-ENVIG Année Académique : 2022-2023
Une nouvelle étude publiée dans Nature Sustainability tire la sonnette d’alarme : 20 % des écosystèmes de la planète pourraient changer brusquement ou s’effondrer beaucoup plus tôt que prévu. Les chercheurs mettent notamment en avant la possible disparition de la forêt amazonienne avant la fin du siècle ! Décryptage de cette alerte.
Les arsenaux nucléaires de plusieurs pays, et de la Chine en particulier, ont augmenté l'an dernier tandis que d'autres puissances nucléaires ont elles continué à moderniser leurs outils, dans un contexte de tensions géopolitiques accrues, ont alerté des chercheurs lundi. "Nous approchons, ou peut-être avons-nous déjà atteint, la fin d'une longue période de déclin du nombre d'armes nucléaires à travers le monde", a déploré auprès de l'AFP Dan Smith, Directeur de l'Institut international de recherche sur la paix à Stockholm (SIPRI).
L’empreinte écologique de l’humanité prend des formes diverses et interconnectées qui ne cessent de s’aggraver.
Lorsque l'on commence à s'intéresser aux enjeux écologiques, on prend rapidement conscience de l'importance de l'énergie comme facteur déterminant de l'impact des sociétés humaines sur son environnement. Le concept d'esclave énergétique vulgarisé par Jean-Marc Jancovici dans ses interventions en est l'une des illustrations marquantes. Qu'est-ce qu'un regard approfondi sur l'histoire des sociétés humaines par le prisme de l'énergie peut nous apprendre de plus ? Spoiler alerte : cela change radicalement notre manière d'approcher les questions de transition écologique ! De la révolution cognitive au développement de l'agriculture et jusqu'à la naissance de la religion du progrès, je vous propose de découvrir le rôle fondamental de l'énergie et ses implications sur nos futurs possibles en plongeant dans ce nouvel épisode de Ozé le podcast avec l'enseignant-chercheur Victor Court, auteur du livre L'emballement du monde.
Le monde produit aujourd’hui deux fois plus de déchets plastiques qu’il y a vingt ans. Au total, 460 millions de...
Pour l’écologue et directeur de recherche au CNRS Vincent Devictor, coauteur d’une étude publiée ce lundi 15 mai, il est urgent de repenser le mode de production alimentaire pour sauver les volatiles sur le continent.
Le plein été au mois d'avril: déjà frappée par une sécheresse catastrophique, l'Espagne va connaître cette semaine...
Neuf pays d'Europe se sont réunis en sommet lundi en Belgique pour sceller leur ambition commune de décupler leurs...
L'administration Biden a déclaré mardi envisager d'imposer des restrictions d'envergure à l'utilisation des eaux du fleuve Colorado, dont le flux s'amenuise, après l'impasse de négociations entre plusieurs Etats américains.
L’État, le gouvernement et les parlementaires ne doivent plus avoir à arbitrer entre leur avenir politique et celui des jeunes générations, écrit dans cette tribune la géopolitologue et prospectiviste Virginie Raisson-Victor, co-fondatrice du Grand Défi des entreprises pour la planète .
Les méga-bassines agitent l’opinion publique en France. Vendues comme une 'condition de la survie des exploitations...
On parle beaucoup de la pollution de l’air, de l’eau ou des sols. Mais, tout comme la pollution lumineuse, on évoque un peu moins le problème du bruit. Pourtant, celui-ci a des conséquences dramatiques à la fois sur la santé, la biodiversité, mais aussi sur l’économie.
Si David s’est imposé contre Goliath, pourquoi les citoyen·nes ne le feraient-ils pas contre les Grands Projets Inutiles Imposés (GPII) ? C’est la question que s’est posée le sociologue Kevin Vacher du Groupe de Diffusion, de Recherche et de Veille citoyenne (GDRV) dans le rapport « Les David s’organisent contre Goliath » présenté au public le 17 novembre 2021.
De notre alimentation à nos logements en passant par nos déplacements, l’énergie traverse l’ensemble des activités humaines. Une histoire mondiale des sociétés humaines par le prisme de l’énergie, du Paléolithique à nos jours.
Mardi 20 décembre , le journal Le Parisien publiait les bonnes feuilles d’un mystérieux rapport des Renseignements Territoriaux, « fuité » à dessein, sous le titre tapageur L’inquiétant virage radical des activistes écologistes. Face à cette annonce ouverte de criminalisation de l’activisme écologiste, le seul à même de stopper les bulldozers du capitalisme mortifère, Les Soulèvements de la Terre ont rédigé une tribune et un appel à la solidarité
Dans le petit village de Covas do Barroso, au nord du Portugal, un des plus grands projets de mine de lithium d’Europe menace les baldios, terres communautaires partagées par les villageois·es. Face à ce mégaprojet destructeur, la population s’organise pour défendre son mode de vie.
le dérèglement climatique a aujourd’hui tendance à braquer tous les projecteurs sur lui dans le domaine de la défense de l’environnement. Cependant, d’autres catastrophes requièrent malgré tout autant d’attention. Outre la biodiversité, un autre problème majeur négligé est celui de la dégradation des sols. Présentation d’un enjeu sous-estimé.
2022
Au sortir de Noël, de nombreux écologistes ont sans doute une nouvelle fois subi les grands discours climatosceptiques de tonton Philippe ou de mamie Fernande lors du réveillon. Il a encore fallu endurer les diatribes sur le dérèglement climatique qui n’existerait pas et qui serait une invention des « bobo-écolos-terroristes » avec qui « on ne peut plus rien dire » ou « plus rien faire ».
C’est le moment de se réconcilier avec la nature et les jeunes sont notre meilleure source d’espoir. Ces mots, ce sont ceux du Secrétaire général de l’ONU Antonio Guterres à l’ouverture du Forum mondial de la jeunesse sur la biodiversité qui a eu lieu en début de semaine à Montréal. Et cela, les 300 jeunes du monde entier présents l’ont bien compris.
À cause des industries, de pratiques agricoles et du trafic routier, les 20 millions d’habitants de New Delhi respirent un air ultra-pollué. Et regrettent l’absence de mesures à long terme des autorités indiennes.
Alors que les impératifs de sobriété et de décarbonation se font de plus en plus pressants, les pays restent dans leur immense majorité extrêmement dépendants des ressources fossiles, dont la combustion à l’échelle mondiale aggrave et accélère la crise climatique. Dans « L’Emballement du monde », qui vient de paraître aux éditions Écosociété, l’ingénieur et économiste Victor Court propose d’explorer les liens historiques entre énergie et domination au sein des sociétés humaines. L’extrait que nous vous proposons ci-dessous se consacre plus particulièrement à l’examen critique du concept de « Capitalocène », proposé par le chercheur et militant suédois Andreas Malm, pour identifier les responsables du réchauffement climatique.
De notre alimentation à nos logements en passant par nos déplacements, l’énergie traverse l’ensemble des activités humaines. Or, l’utilisation que nous en faisons engendre aujourd’hui des répercussions inédites sur la biogéosphère. À un point tel que nous aurions même changé d’époque géologique pour entrer dans l’Anthropocène, c’est-à-dire dans l’«époque de l’humain». Pour comprendre comment nous en sommes arrivés à perturber à ce point le fonctionnement du système Terre, Victor Court propose une ambitieuse synthèse historique de l’impact de l’exploitation des ressources énergétiques sur les sociétés et leur environnement. Une histoire mondiale des sociétés humaines par le prisme de l’énergie, du Paléolithique à nos jours.
Ce dimanche s’ouvre à Charm el-Cheikh, en Egypte, la COP27. Une conférence dans laquelle les pays du Sud placent beaucoup d’espoir, après des années de promesses de la part des pays du Nord. Les objectifs de ce grand rendez-vous pour la planète ont d’ores et déjà été annoncés. Les différents dirigeants mondiaux se concentreront sur trois points principaux :
Johan Eklöf est un chercheur à l’Université de Stockholm. Il rappelle que la nuit n’existe plus ; plus vraiment. Ce que nous en connaissons, explique-t-il, n’est souvent plus qu’un ersatz d’obscurité, un semblant de ténèbres. Presque totalement engloutis dans notre peur du noir et notre désir compulsif de voir clair, nous sommes en train d’oublier ce qu’est une nuit noire, une nuit sombre. Et les grandes capitales ne sont pas les seules concernées.
Les jours se suivent et se ressemblent en Ukraine, au 239e jour du conflit. Une série d'explosions a touché ce vendredi matin, les villes de Kharkiv et Zaporijia. La Russie poursuit sa "guerre du froid" en s'attaquant aux infrastructures énergétiques de l'Ukraine. Le gouvernement ukrainien a décidé de limiter la consommation en électricité de sa population et ses entreprises, notamment à Kiev, après plusieurs frappes russes ces derniers jours qui ont fortement endommagé ses infrastructures énergétiques, à l'approche de l'hiver.
Pour le chercheur spécialiste de l’énergie Phuc-Vinh Nguyen, l’incident survenu lundi sur les pipelines en mer Baltique marque une «escalade» majeure dans les tensions entre la Russie et les pays européens.
L’accumulation de phénomènes de plus en plus violents menace une population déjà fragilisée par le défaut de gestion et de prévention du gouvernement. Pour le Pakistan, 2022 pourrait rester l’année de toutes les catastrophes climatiques. D’abord, ce furent des chaleurs infernales, au printemps, atteignant, en mai, 50 degrés dans certaines localités et aggravant la fonte des glaciers dans les hautes montagnes et la sécheresse dans les plaines ; puis, depuis le début précoce de la mousson, à la mi-juin, des pluies torrentielles, conjuguées aux crues, ont submergé un tiers du pays.
En Chine, les « hôtels à porcs » se multiplient pour répondre à la demande croissante des consommateurs et s’adapter aux épidémies qui ravagent le bétail. Il était une fois, trois petits cochons qui vivaient avec leur maman dans une petite maison… Correction. Il était une fois, 600 000 porcs entassés dans une méga-ferme en béton de 26 étages. Avec ça, le loup n’a qu’à bien se tenir.
Après avoir fait de la pandémie de Covid-19 l’épicentre d’une manipulation mondiale, le scepticisme de la complosphère francophone se déporte désormais sur les évènements liés au dérèglement climatique, à commencer par les épisodes caniculaires qui étouffent actuellement l’Hexagone.
Une cinquantaine de professionnel·les engagé·es pour la sobriété énergétique répondent à la tribune des dirigeant·es de TotalEnergies, EDF et Engie publiée le 25 juin dans le JDD
Degrowth is a radical economic theory born in the 1970s. It broadly means shrinking rather than growing economies, to use less of the world’s dwindling resources. Detractors of degrowth say economic growth has given the world everything from cancer treatments to indoor plumbing. Supporters argue that degrowth doesn’t mean “living in caves with candles” – but just living a bit more simply.
Deaths from exposure to emissions from vehicles, smoke stacks and wildfires have increased by more than 50 percent this century, with poorer countries bearing the brunt of the impacts.
Dans un entretien à la chaîne américain ABC, lundi, le président ukrainien s’est dit prêt à un «dialogue» avec la Russie concernant le statut de la Crimée et des territoires séparatistes du Donbass. Sans s’avancer plus avant sur une éventuelle reconnaissance.
The team led by Robert Cowie, a research professor at the University of Hawaii, argues that the International Union for Conservation of Nature (IUCN) Red List of Threatened Species was too focused on the loss of bird and mammal species — and not focused enough on invertebrates, a much larger group.
2021
The Black Summer forest fires of 2019–2020 burned more than 24 million hectares, directly causing 33 deaths and almost 450 more from smoke inhalation. But were these fires unprecedented? You might remember sceptics questioning the idea that the Black Summer fires really were worse than conflagrations like the 1939 Black Friday fires in Victoria.
Le « Zim Kingston », qui transporte 52 tonnes de produits chimiques utilisés dans l’industrie minière, est ancré au large de la ville de Victoria en Colombie-Britannique, zone maritime frontalière entre le Canada et les Etats-Unis.
Pourquoi réussissons-nous à échouer avec autant de brio en matière de politique écologique ? Cet ouvrage éclaire les conditions d’impossibilité de la gouvernance de la biodiversité. Le vivant est considéré par les politiques de la nature comme un ensemble d’entités inertes qui se prêtent au tri, aux analyses coûts-bénéfices ou à la substitution. Ce double effacement, politique et écologique, participe à forger l’imaginaire d’une gestion globale de la biodiversité. Si le défi écologique demeure figé dans ce double effacement, il ne peut que réussir à échouer.
Qu’on le remplace par autre chose : une chaise, un pot de fleur, un filet de bave, un silence, une hache, la nuit, la pierre ou l’arbre. Et sans se rabattre sur le super-, post- ou trans-homme, qui est le crétin du crétin de l’homme, comme on peut le constater.
Dit jaar zien we wereldwijd enorme branden die land, bos en gemeenschappen verwoesten. Waarom komen deze catastrofale branden steeds vaker voor en wat zijn de gevolgen? Hoogleraar Fire and Global Change Victor Resco de Dios: ‘Welkom in een nieuw tijdperk van bosbranden.’
Les incendies, les intempéries et les étés caniculaires signent, pour les écolos, l’impératif changement de modèle de croissance. «Notre responsabilité est grande : changer nous-mêmes notre mode de vie, de consommation, de production, notre structure sociale pour survivre à ce que nous avons créé», prévient ainsi Sandrine Rousseau, ancienne porte-parole d’EE-LV
Consumers are faced with "confusing and often misleading claims about sustainability benefits", according to US vice president's analysis.
Notre opulence matérielle des 200 dernières années est directement imputable aux combustibles fossiles – charbon, pétrole et gaz. Mais, comme toutes les drogues, l’énergie fossile produit son lot d’effets secondaires, désormais trop visibles pour être ignorés. Boosté par ce cocktail charbon-pétrole-gaz, le rêve moderne s’est peu à peu transformé en cauchemar. En cause, une perturbation sans précédent du système Terre qui affecte déjà l’espèce humaine.
En cessant de labourer les sols, on pourrait réduire l’impact de l’agriculture sur le climat de 30 %
- collectif
l’agriculture est responsable de 26 % de toutes les émissions de gaz à effet de serre. Les tracteurs qui fonctionnent au diesel rejettent du dioxyde de carbone (CO2) dans leurs gaz d’échappement. Les engrais épandus dans les champs produisent de l’oxyde nitreux. Et les microbes présents dans les intestins du bétail génèrent du méthane...
Remplacer les combustibles fossiles des énergies bas carbone (les renouvelables et le nucléaire) est indispensable pour limiter le dérèglement du climat. Mais comme les énergies fossiles ne vont pas disparaître de sitôt, il est aussi impératif d’augmenter l’efficacité avec laquelle on les utilise. Pour l’Agence internationale de l’énergie (AIE), l’efficacité énergétique est d’ailleurs considérée comme le premier levier pour réduire les émissions de CO2. Améliorer l’efficacité énergétique des bâtiments et de toutes les machines qui nous entourent contribuerait à l’effort ..
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2020
Alors que son voisin suédois avait capté l’attention des médias, la Finlande semble avoir mené un combat victorieux contre le coronavirus. Ce pays a en effet maintenu des niveaux d’infection cinq fois inférieurs à la moyenne de l’Union européenne.
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Les forêts brûlent, il s'agit là d’un phénomène naturel et généralement positif. Les incendies existent depuis 400 millions d'années, tout comme les plantes. Et le cycle vital de nombreux végétaux et animaux dépend de ces feux. Ils deviennent toutefois problématiques lorsqu'ils surviennent en dehors du régime historique auquel les forêts se sont accoutumées.
2019
Les émissions de gaz à effet de serre divergent des engagements pris dans l’Accord de Paris : c’est l’alarme tirée par le rapport ’Emission Gap Report’ de l’ONU, publié ce mardi 26 novembre. Les scientifiques préconisent un infléchissement « radical » et « immédiat » de cette tendance pour éviter un réchauffement insupportable.
Elle couvre 31% du territoire français. Associée à la nature et à l’air pur, elle est considérée comme un refuge contre la concentration urbaine. Pourtant, la forêt va mal, et les hommes qui y travaillent aussi. Gaspard d’Allens, journaliste chez Reporterre, fait l’état des lieux et le tour des alternatives dans Main basse sur nos forêts.
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2018
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2017
L’ « Energy Return On Investment (Eroi) » est le ratio entre l’énergie utilisable et celle consommée pour l’obtenir. L’auteur de cette tribune explique l’importance de cet indicateur méconnu.
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2015
Le développement effréné des activités humaines se solde par la dégradation des espaces naturels et l’érosion de la diversité du vivant à un rythme stupéfiant. Cette crise de la biodiversité est devenue une épreuve clé de nos sociétés. Elle interroge ouvertement les valeurs susceptibles de guider notre rapport à la nature.