La ou les low-tech, littéralement basses technologies, désignent une catégorie de techniques durables, simples, appropriables, résilientes produisant des objets facilement réparables et adaptables. Ce concept est souvent associé aux concepts de sobriété énergétique et/ou de sobriété économique. Source : wikipedia
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2025
Sous le couvert de la « neutralité technologique » pour réduire les émissions du parc automobile, les constructeurs veulent prolonger la vente des voitures hybrides rechargeables. D’après l’Institut mobilités en transition, ce ne serait favorable ni pour le consommateur ni pour le climat.
L'océan absorbe environ 25% du CO2 émis dans l'atmosphère. Alors qu'il atténue le changement climatique, l'océan s'acidifie. Son équilibre chimique est crucial pour la vie des phytoplanctons, première brique de la vie sur Terre. Alors que les émissions de CO2 augmentent, cet équilibre est bousculé.
Alors que la menace climatique s’aggrave, il faut admettre que si les grands rendez-vous diplomatiques sont nécessaires, ils ne suffiront pas à pousser les gouvernements à agir, estime, dans une tribune au « Monde », le cinéaste et militant Cyril Dion. A ses yeux, seule la démocratie délibérative permettra de sortir de l’impasse.
Face à la sécheresse, des coupures d'eau prévues à Téhéran pour limiter la consommation - RTBF Actus
- Belga,
L'Iran est confronté cette année à sa pire sécheresse depuis des décennies. Le président iranien a averti que Téhéran pourrait devoir être évacuée en raison des pénuries d'eau s'il ne pleut pas d'ici la fin de l'année. Info
Le gouvernement prévoit des coupures d'eau à Téhéran pour limiter la consommation - L'Orient-Le Jour
- Afp,
Le gouvernement iranien prévoit de couper périodiquement l'eau à Téhéran, métropole de plus de 10 millions d'habitants, afin de limiter la consommation et d'enrayer le « gaspillage », au moment où l'Iran fait face à une sécheresse sans précédent.
De l’air que nous respirons à l’eau que nous buvons, les microplastiques sont omniprésents dans notre environnement. Ce deuxième épisode de notre série dresse l’état des connaissances sur les sources d’exposition à ces particules et les moyens de les éviter. (2/3)
António Guterres a reconnu jeudi à Belém que l'objectif de limiter le réchauffement à 1,5 °C est hors de portée, tout en soulignant le potentiel des énergies renouvelables pour agir dès maintenant.
Le rapport « État du climat 2025 » publié cette année dans BioScience dresse un bilan sans concession sur la santé de notre planète. Sur les 34 indicateurs vitaux suivis par des chercheurs internationaux, 22 ont atteint des niveaux historiques. Entre records de chaleur, émissions de CO2 et catastrophes naturelles dévastatrices, le constat est alarmant. Pourtant, au milieu de ce tableau sombre, certaines avancées technologiques et comportements humains offrent une lueur d’espoir. Ce rapport souligne à la fois l’urgence d’agir et la possibilité de limiter les impacts si des mesures audacieuses sont mises en place rapidement.
Comment survivre à un monde instable ? Et si l’avenir n’était ni dans la croissance… ni dans la décroissance ? Dans cet épisode lumineux, Olivier Hamant nous revient sur la chaîne et approfondi la troisième voie : la robustesse. À rebours de la quête d’efficacité et de performance, il nous invite à penser comme le vivant : diversifié, lent, redondant, résilient. Face à l’instabilité systémique (climat, économie, numérique…), il démontre que nos modèles productivistes sont devenus fragiles car trop optimisés. Son approche bio-inspirée révolutionne notre rapport au progrès, au risque, et à la politique. Une ode à l’imperfection, à la coopération et à l’acceptation du chaos comme condition de vie. Pourquoi être performant ne sert à rien ?
Sur fond de bras de fer avec les grands médias, la Maison-Blanche de Donald Trump restreint désormais l'accès des journalistes à son bureau de presse.
Le Parlement bulgare a adopté vendredi une motion limitant les exportations de produits pétroliers vers d'autres États membres de l'Union européenne, afin de garantir la sécurité énergétique du pays, à la suite des sanctions imposées par les États-Unis aux hydrocarbures russes.
Le phénomène des "annulations" serait de plus en plus fréquent au sein de l'armée russe.
Depuis quatre ans, on interroge les plus grands scientifiques pour comprendre notre époque, et leur constat est unanime, on va droit dans le mur si on ne change rien. Avec LIMIT on veut montrer la voie et dépasser le constat pour qu'on ce mette tous en mouvement. L'écologie doit devenir désirable et invisible. C'est pourquoi on lance l’Odyssée du Vivant— une aventure collective pour réinventer notre lien au monde vivant. L'écologie, ce n’est pas une contrainte : c’est un désir de vie, de beauté et d’espoir. Avec LIMIT on veut créer des récits qui donnent envie d’agir, ensemble, sans culpabiliser.
Le dépassement de l’objectif de Paris est devenu inéluctable d’ici la fin de la décennie. A la veille de la COP 30 au Brésil début novembre, l’ONU et des climatologues s’y résignent mais militent pour que ce soit temporaire.
À deux semaines de la conférence mondiale sur le climat au Brésil, un consortium d’ONG publie de nouvelles données sur les «bombes carbone», ces projets d’extraction fossile qui pourraient générer des quantités faramineuses de CO2 sur l'ensemble de leur durée de vie. Pétrole, gaz, charbon : les associations ont recensé 601 mégaprojets.
La transition verte pourrait déclencher la prochaine grande guerre. Dans cet entretien saisissant, Olivia Lazard révèle le dessous géopolitique de la transition énergétique : extraction massive de métaux rares, dépendances coloniales réactivées, tensions internationales sur les ressources, déstabilisation des pays du Sud global… Tout en prétendant « sauver le climat », l’Europe pourrait aggraver l’instabilité mondiale. Olivia dévoile comment la volonté de « verdir » nos économies sans revoir nos modèles mène à des conflits pour le lithium, le cobalt, les terres rares… et pourrait basculer nos démocraties dans des logiques autoritaires. Une vidéo essentielle pour comprendre que la géopolitique du climat est la grande bataille du XXIe siècle. Le choc des ressources - Pourquoi la transition mène au chaos ? - Géopolitique : l’analyse choc
Un vacancier a perdu la vie en Corse, emporté par une crue, et des chutes d’arbres ont fait six blessés ailleurs dans le pays. La tempête a balayé l’Hexagone jeudi établissant par endroits des records de vitesse pour le vent en cette saison.
Convivial, écolo et moins cher : le chauffage au bois a le vent en poupe. Mais sa généralisation à l’échelle du territoire ne serait pas sans risque, entre émissions de particules fines dangereuses pour la santé et effet rebond, explique Simon Mathex de l'INRAE.
« L’avenir n’est pas un destin écrit, c’est une décision collective. » L’humanité a franchi toutes les frontières visibles. Du feu à la roue, de la poudre à canon à la bombe atomique, de la voile au saut vers la Lune. Nous avons ouvert la croûte terrestre pour en extraire des minéraux, construit des villes qui brillent comme des étoiles artificielles, connecté la planète entière en quelques secondes, et pourtant nous sommes toujours prisonniers des mêmes guerres tribales d’il y a 3 900 ans, aujourd’hui maquillées de drones, d’algorithmes et d’ogives nucléaires.
Dans cet épisode fascinant, Julie Deshayes démonte les fantasmes autour de l’arrêt du Gulf Stream. Elle explique ce qu’est vraiment l’AMOC, ce courant océanique profond qui régule le climat de l’Atlantique nord, pourquoi il est difficile à mesurer, et pourquoi les annonces d’effondrement imminent sont souvent des raccourcis dangereux. Elle alerte aussi sur la récupération de certaines études par des climato-dénialistes qui s’en servent pour minimiser l’urgence climatique. Une plongée captivante dans l’océan des incertitudes… où la science reste notre seule boussole.
Le Premier ministre israélien, Benyamin Nétanyahou, a exigé ce jeudi 16 octobre la restitution des 19 dépouilles restées dans l’enclave palestinienne.
Changement climatique, pollution chimique, effondrement de la biodiversité… Les clés pour tout comprendre aux limites planétaires et aux critiques qu’elles rencontrent.
Le doute planait depuis juin quant au degré d’acidité que l’océan pouvait encore supporter… sans compromettre les conditions favorables à la vie. Mais l’information a donc été confirmée le 24 septembre dernier par le rapport Planetary Health Check de l'Institut de Potsdam.
On parle souvent de “continents de plastique”… mais la réalité est bien plus surprenante (et inquiétante). La majorité du plastique des océans n’est pas là où on pense. 🧐 Dans cette vidéo, on suit le parcours d’un simple déchet de Nantes jusqu’aux profondeurs marines, pour comprendre où disparaissent les 99% de plastiques invisibles. Microplastiques, nanoplastiques, pollution des fonds marins, impacts sur la santé et sur le climat : le problème est partout, et il nous concerne directement. Alors, qui est vraiment responsable de cette pollution ? Et surtout, comment peut-on agir pour stopper l’hémorragie ?
Notre ancien collègue, influenceur et animateur radio, notamment sur Tarmac, Vinz Kanté, a complètement revu son mode de vie après le Covid. Il a fondé la chaîne YouTube LIMIT qui s’intéresse aux limites planétaires, aux enjeux écologiques et sociétaux. Pour bien comprendre dans quelle direction l’humanité est en train de se diriger et éveiller les consciences, il vient de sortir son premier livre : « Reprendre le contrôle » aux éditions Tana. TARMAC a eu la chance de retrouver Vinz à cette occasion.
Pourquoi Trump fait exprès de ne pas comprendre le climat ?
Tout commence par un être minuscule, invisible à l’œil nu. Un organisme fragile dont dépend pourtant l’équilibre de tout l’océan… et une grande partie de l’humanité. Nous venons de franchir la 7ᵉ limite planétaire : l’acidification des océans. Un bouleversement invisible, rapide, brutal, qui menace la base de la chaîne alimentaire et pourrait précipiter une nouvelle extinction de masse.
The planet is nearing dangerous limits. Yet progress on clean energy shows what’s possible. With political will, cooperation can still avert the worst of the climate crisis
Peut-on encore croire en l'avenir quand la planète s'épuise ? Un essai de Vinz Kanté, à la fois récit personnel d'un changement de vie et invitation à mieux comprendre les enjeux écologiques.
Selon le dernier bilan annuel de l'Institut de recherche sur le climat de Potsdam, publié mercredi, la limite de "l'acidification des océans" vient d'être franchie, ce qui menace à terme la survie des écosystèmes marins. Cela porte à sept sur neuf les "limites planétaires" désormais dépassées.
Alors que plus d’un million de personnes fuient les côtes chinoises, le super typhon Ragasa défie les lois de la physique atmosphérique. Avec des vents atteignant 285 km/h, cette tempête monstre approche dangereusement de la limite théorique maximale que notre planète peut générer. Les scientifiques observent avec fascination et inquiétude un phénomène qui repousse les frontières de ce que nous pensions possible en matière de puissance météorologique, tout en révélant comment le changement climatique réécrit les règles du jeu.
Sept des neuf limites planétaires sont désormais dépassées, la limite liée à l’acidification des océans ayant à son tour été franchie, constate une étude du Postdam Institute for climate impact research (PIK) sur l’état de la planète.
Les activités humaines ont entraîné le dépassement d’une nouvelle «limite planétaire», l’un des grands équilibres naturels de la Terre, selon un rapport publié ce mercredi. Après le dépassement des seuils de réchauffement climatique et de destruction de la biodiversité, c’est la limite de l’acidification des océans qui est dépassée, mettant en danger la vie marine.
La réduction du pH des mers, causée par les émissions de gaz à effet de serre humaines, réduit leur capacité à absorber du CO2 et affecte certains organismes marins.
C’est officiel, nous avons dépassé la 7e limite planétaire, celle de l’acidification des océans. L’étude de Findlay & al. (2025) annonçait déjà en juin 2025 que la limite planétaire de l’acidification des océans était dépassée. C’est cette fois une évaluation scientifique du Postdam Institute for Climate Impact Research (PIK) et l’équipe emmenée par Johan Rockström qui le confirme pour de bon. Le rapport est plus complet (144 pages) qu’un papier unique sur une limite planétaire. Il fait un état des lieux du système Terre et fait une présentation des 9 limites planétaires, en rappelant que nous avons déjà franchi sept des neufs limites : le changement climatique, l’intégrité de la biosphère, les changements d’usage des sols, le cycle de l’eau douce, les cycles biogéochimiques, les entités nouvelles et la dernière en date, l’acidification des océans. Seules l’appauvrissement de la couche d’ozone et la concentration atmosphérique en aérosols restent dans “la zone sûre”.
Après le changement climatique, l’intégrité de la biosphère, le changement du système terrestre, ou encore l’utilisation de l’eau douce, une septième limite planétaire vient d’être franchie : l’acidification des océans. Seules deux limites se situent encore dans une zone de sécurité.
Après le climat, la biodiversité, le cycle de l'eau ou encore la pollution chimique, l'acidification des océans est désormais en zone rouge. Et ce n'est pas une surprise : c'est ce qu'indiquait déjà une étude publiée au mois de juin cette année. Bien évidemment, c'est loin d'être une bonne nouvelle. 🌊 L'océan nous rend de nombreux services vitaux. Parmi eux, celui d'absorber 1/4 du CO2 que nous émettons dans l'atmosphère. Mais cela a un coût : plus l'océan absorbe de dioxyde de carbone, plus il devient acide.
Trois jeunes Belges, de retour de la 18e conférence de la Société internationale d'Économie écologique à Oslo, racontent leur expérience.
Il est aujourd’hui l’une des voix incontournables de la pensée systémique appliquée à la soutenabilité et à la résilience dans un monde en bouleversement écologique. Arthur Keller est un expert reconnu, conférencier, enseignant, formateur, consultant et auteur. Il nous aide à appréhender de façon pragmatique les bouleversements en cours et ceux qui se profilent, ainsi que leurs implications pour nos sociétés. Dans cet épisode, nous explorons l’approche systémique, les limites du système Terre et les conséquences possibles de basculements sociétaux. Nous questionnons aussi la transformation de notre économie et la pertinence de la transition écologique face à l’ampleur des dynamiques. Bonne écoute !
A quoi ressemblerait notre vie quotidienne, en 2049, sur une Terre qui franchirait les principaux points de basculement ? Fort de savoirs sans cesse actualisés, Nathanaël Wallenhorst anticipe d’une façon très concrète ce que pourrait être 2049 côtés écosystème, climat et société. Aurons-nous toujours des saisons en 2049 ? De quoi sera faite notre alimentation ? Quels seront nos loisirs ? Climat, eau, santé et migrations, l’auteur raconte notre quotidien dans ce futur proche si rien ne change.
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