Les Soulèvements de la Terre

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Quand on cherche à limiter notre exposition au plastique, on se tourne souvent vers les bouteilles en verre, perçues comme plus « pures » et plus respectueuses de l’environnement. Pourtant, une étude récente menée par le Laboratoire de sécurité des aliments de l’Anses, à Boulogne-sur-Mer, remet cette idée reçue en question. Selon leurs résultats, certaines boissons vendues dans des bouteilles en verre seraient plus contaminées par des microplastiques que leurs équivalents en plastique ou en canette. Une découverte étonnante qui soulève de nouvelles questions sur l’origine de ces particules et la façon dont elles se retrouvent dans nos verres.
Une étude diffusée par l’Anses révèle la présence d’une centaine de particules de microplastiques par litre en moyenne dans les bouteilles en verre de colas, limonades, thés glacés ou bières. Des niveaux de contamination cinq à cinquante fois supérieurs à ceux des bouteilles en plastique ou des canettes.
Peut-on encore faire confiance à l’eau que l’on boit ? Que retrouve-t-on réellement dans notre eau du robinet ? Les questions ont fusé après la diffusion de l’enquête sur les PFAS en novembre 2023. À l’époque, #Investigation révélait une forte pollution de l’eau de distribution à Chièvres, dans le Hainaut. L’équipe d'#investigation a relancé cette enquête pour trouver des réponses à ces questions. Elle a fait analyser en laboratoire plusieurs types d’eaux : eau du robinet, filtrée ou non et 6 eaux en bouteille très consommées en Belgique.
La marque du groupe Nestlé voit sa consommation chuter de 24 % en avril par rapport au même mois l’année dernière, selon des données révélées par France Info ce mardi 27 mai.
Les conclusions de la commission d’enquête sénatoriale sur les eaux en bouteille, révélées par « Le Monde » et Radio France, montrent comment les services de l’Etat ont édulcoré un rapport soulignant des contaminations des sources Perrier à la demande du géant suisse.
Lenteur, fausse route, manque de transparence… Alors que le rapport de la commission d’enquête du Sénat sera rendu lundi 19 mai, «Libé» raconte les coulisses de la gestion gouvernementale du dossier de la fraude aux eaux minérales.
Le plus petit des polluants éternels a été décelé dans des bouteilles de vins européens à des concentrations très élevées, d’après des analyses conduites par le réseau d’associations Pesticide Action Network. L’usage des pesticides fluorés est fortement soupçonné d’en être la cause.
Mardi 4 février 2025, de nouveaux documents révélés par la presse française dénoncent une entente entre l’État et Nestlé dans l’affaire des eaux minérales filtrées illégalement par la multinationale suisse. En attendant les résultats de la commission d’enquête sénatoriale, Emmanuel Macron a nié toute “connivence”.
Des mails et des notes ministérielles révélés par « Le Monde » et Radio France montrent comment l’exécutif a autorisé le groupe suisse à continuer à commercialiser ses eaux en bouteille (Perrier, Vittel, Hépar, Contrex) avec des filtres illégaux.
Le réseau Pesticides Action Network a retrouvé des niveaux élevés d’acide trifluoroacétique (TFA) dans plusieurs eaux minérales, dont Vittel. Issu principalement de la dégradation de pesticides, ce polluant éternel est considéré comme une « menace planétaire » par les scientifiques.
Envisagez-vous d’acheter moins de bouteilles en plastique à l’avenir ? Peut-être pas, mais maintenant que la question vous a été posée, vous allez forcément y penser.
Le département de Cundinamarca, dans le centre de la Colombie, fait face depuis le printemps à un sévère épisode de sécheresse. Si certains habitants doivent composer avec les rationnements, une usine de mise en bouteilles continue à pomper des quantités industrielles d’eau minérale.
C’est une question qui pourrait paraître surprenante : quelles sont les marques de déchets qu’on retrouve le plus dans le canal de Bruxelles ? Des membres de l’association de défense de l’environnement "City to Ocean" (ex-"Canal it up") ont repêché en kayak quelque 3.500 déchets dans l’eau durant, entre début juin et mi-août.
L’association a disséqué le contenant de la célèbre boisson à bulles et trouvé la présence de micro et nanoparticules de plastique. L’un des polymères détectés, le polychlorure de vinyle, ne figure pourtant pas sur l’emballage.
La surmédiatisation des eaux minérales naturelles trahit une méconnaissance dans le grand public de leur production et élude les véritables enjeux qu’affronte la ressource en eau en France.
C'est la crise pour Nestlé, sous le coup de plusieurs enquêtes pour des soupçons de fraudes et d'exploitation illégale de forages pour la production d'eaux minérales.
Selon «Mediapart», citant un rapport d’enquête des services de la répression des fraudes, la filiale française du groupe suisse aurait eu recours à des méthodes interdites pour ses trois eaux minérales vosgiennes depuis 2010 au moins.
Sophie Ressouche, spécialiste de la nappe où est pompée l’eau de Perrier, explique comment des contaminations ont pu se produire.
Deux millions de bouteilles de Perrier ont été détruites par Nestlé sur décision du préfet du Gard. En cause : une pollution de la source par des bactéries fécales. L’ONG Foodwatch redoute une contamination des bouteilles déjà vendues. Perrier a-t-elle mis en vente, en connaissance de cause, des eaux contaminées par du caca ? Mercredi 24 avril, l’entreprise Nestlé Waters, qui possède la marque Perrier, a en tout cas annoncé à l’AFP avoir, « par précaution », détruit une partie de sa production. En cause : (...)
Le groupe a observé une dégradation de la qualité de l’eau après de fortes pluies dans l’un de ses puits du Gard, suspendu jusqu’à nouvel ordre. Il assure que toutes les bouteilles sur le marché «peuvent être consommées en toute sécurité».
De l’eau dans le gaz. Décharges sauvages, traitements illégaux, perquisitions, commission sénatoriale… Le géant de l’eau en bouteille Nestlé Waters connait des turbulences depuis plusieurs semaines. Vert vous explique.
Plus de deux mois après les révélations sur le traitement non autorisé de 30 % des eaux en bouteille, l’Etat reste muet face au scandale. Un déficit de transparence peu compatible avec l’impératif sanitaire.
Malgré ses conséquences pour la planète, malgré l’existence d’une eau du robinet sûre et peu chère, le marché de l’eau en bouteille est en plein boom à l’échelle mondiale. La conséquence d’une privatisation au long cours.
L’association de défense des consommateurs dépose ce mercredi 21 février une plainte contre les deux groupes pour les traitements de désinfection auxquels ils ont eu recours sur leurs eaux telles que Vittel ou Perrier.
Le groupe Les Mousquetaires a retiré, depuis le mercredi 14 février, les bouteilles d'eau des marques "Fiée des Lois" et "Premier prix" à cause d'une "non-conformité réglementaire sans risque pour la santé".
Pendant des années, des eaux vendues comme « de source » ou « minérales naturelles » ont subi des techniques de purification interdites. Selon une enquête conjointe du « Monde » et de Radio France, un tiers au moins des marques françaises sont concernées, dont celles de Nestlé, qui a reconnu ces pratiques. Informé depuis 2021, le gouvernement a assoupli la réglementation dans la plus grande discrétion.
En utilisant une technique novatrice, les scientifiques de la revue « PNAS » ont comptabilisé en moyenne 240 000 fragments de plastique détectables par litre d’eau, après avoir testé le produit de trois marques populaires. Ce qui soulève des questions sur les conséquences pour la santé.
Jusqu’à maintenant, 2 litres d’eau étaient distribués chaque jour aux 50 000 personnes considérées comme les plus vulnérables de l’archipel.
la consigne pour recyclage promue par le gouvernement depuis près de quatre ans ne parvient à convaincre ni les collectivités locales, ni les associations environnementales. Ces dernières prônent une consigne pour réemploi, à laquelle les industriels sont réticents. Derrière un débat en apparence technique, différents intérêts et différentes visions de la politique écologique s’y expriment.
Une enquête publique est ouverte à Vittel (Vosges) sur l’avenir de la nappe souterraine surexploitée, notamment par Nestlé. Pour un collectif local, il s’agit d’une « démarche écocidaire ». Nestlé continue de provoquer des remous à Vittel. La multinationale, qui exploite les nappes de la cité thermale depuis des années, pompe beaucoup trop d’eau. Et les sous-sols se vident peu à peu. « Pour garantir la préservation de ce patrimoine commun inestimable » qu’est l’or bleu, un schéma d’aménagement et de gestion (...)
La barquette plastique s’accroche aux plateaux repas des patients. Mais la vaisselle fait doucement son retour, malgré les nombreuses contraintes que cela implique. Depuis novembre dernier, les patients de la clinique Claude Bernard - Elsan d’Albi dégustent leur repas dans une barquette en plastique, et non plus dans une assiette traditionnelle. Plus exactement, le plat principal est servi dans un contenant en CPET (polyéthylène téréphtalate cristallin), recyclable et recouvert d’un film en (...)
Le conditionnement du vin du futur s’envisage à mille lieues de la traditionnelle bouteille en verre, gourmande en énergie et au lourd bilan carbone, analyse la journaliste Julie Reux.
Des analyses commandées par l’association Agir pour l’environnement révèlent l’existence de micro plastiques dans 7 bouteilles d’eau sur 9. L’ONG demande l’interdiction de ces contenants pour la fin du quinquennat.
C’est le choix fait par certaines villes comme San Francisco. En seulement 50 ans, la bouteille d’eau en plastique a envahi la planète. Peut-elle devenir un objet du passé ?


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