obsant.eu/lst
Pour voir les références d’un(e) auteur(e), cliquez sur son nom. Pour revenir à la page, utilisez le bouton refresh ci-dessous.
Cela fonctionne également avec les mot-clés de chaque référence.
filtre:
CO2 fonte
Le rapport annuel de l'Organisation météorologique mondiale (OMM) confirme que 2024 a été l'année la plus chaude jamais enregistrée. Il liste aussi d'autres tristes records : de concentration de CO2 dans l'atmosphère, de réchauffement des océans, de fonte des glaciers, de montée des eaux... Ce rapport souligne aussi le très grand nombre de déplacés en raison des catastrophes climatiques : cyclones, inondations ou encore incendies.
La fonte du permafrost est souvent présentée comme une bombe à retardement. Une nouvelle étude révèle d’ailleurs que la libération de méthane et la remobilisation de la matière organique ne seraient pas les seuls processus à mettre notre climat en péril. L’oxydation de certains minéraux libérés des glaces pourrait en effet avoir des conséquences importantes, en émettant d’énormes quantités de CO2.
La ville et ses environs, depuis 2019, tentent de devenir la première agglomération zéro carbone de France. Articulée autour de sept axes, du tourisme aux industries, l’ambition reflète surtout la nécessité des expérimentations locales.
Dangereuses poches d’eau, avalanches… Dans le massif du Mont-Blanc, le réchauffement climatique menace les villages en contrebas. Il est urgent et vital de réduire au strict minimum nos émissions de gaz à effet de serre.
Dérèglement des températures, concentration de CO2, fonte des glaciers… une série de graphiques actualisés illustrant le dérèglement climatique depuis 1995.
Avec le réchauffement de la planète, les terres glacées du nord de l’Amérique dégèlent. Outre le carbone, elles libèrent un élément plus menaçant à court terme pour les populations et les écosystèmes : du mercure. Reste à savoir en quelle quantité, ce que les scientifiques tentent de déterminer, retrace “Hakai magazine”.
Dérèglement des températures, concentration de CO2, fonte des glaciers… voici les indicateurs-clés pour prendre la mesure de l’amplification du dérèglement climatique depuis 1995.
- Afp
Des experts et des magistrats sur les rives d'un lac glaciaire dans le nord-est du Pérou : la justice allemande s'est déplacée jusqu'aux Andes pour étudier la plainte d'un paysan de ce pays contre le géant allemand de l'électricité RWE, accusé d'avoir favorisé le réchauffement climatique.
Le changement climatique est l'une des préoccupations majeures auxquelles le monde moderne est confronté aujourd'hui. Des émissions de carbone à la hausse des températures et à la fonte des calottes glaciaires, le changement climatique affecte notre planète de plusieurs manières. Et il existe également un grand nombre d'effets secondaires qui vont beaucoup plus loin que nous ne le pensons. L'un de ces effets secondaires est l'impact sur le cycle de l'eau.
On les appelle les "tipping points" ; les points de rupture. A partir d'eux, le climat change de manière radicale et irréversible. Des événements considérés comme des points de rupture sont la fonte des glace rapide au Groenland, qui fait monter le niveau des eaux, le fait que la forêt amazonienne rejette plus de CO2 qu'elle n'en absorbe, et les canicules en Sibérie qui ont fait fondre le sol gelé (pergélisol), ce qui a fait relâcher d'énormes quantités de méthane dans l'air. Un effondrement du Gulf Stream serait également un point de rupture absolument catastrophique.
abs_empty
abs_empty
- Lyfosy
abs_empty
abs_empty
abs_empty
abs_empty
abs_empty
- AFP
abs_empty
abs_empty
Il est désormais prouvé que le fait de couvrir certaines portions de glaciers avec des bâches réfléchissantes permet de contenir la fonte estivale et, ainsi, de diminuer les effets délétères du changement climatique. Si l’utilisation est pour l’instant limitée à l’échelle locale, certains avancent que ce procédé pourrait à terme offrir une protection aux glaciers du monde entier…
abs_empty
Des chercheurs britanniques ont récemment estimé que la fonte des calottes glaciaires intervenue à la fin de la dernière glaciation avait entraîné une élévation du niveau des mers beaucoup plus rapide que celle que nous connaissons actuellement.
C’est une tendance observée depuis quelques années et une étude parue dans la revue Nature la confirme. Le Gulf Stream, ce courant océanique qui régule le climat, en particulier dans l’hémisphère nord, ralentit de façon très inquiétante. Du jamais vu depuis 1000 ans.
abs_empty
abs_empty
Des chercheurs ont récemment comparé la hausse du niveau des mers réellement observée à celle anticipée par les modélisations climatiques sur la période la plus récente. Et ce, aussi bien à l’échelle globale que régionale. Les résultats ont été publiés ce 12 février dans la revue scientifique Nature communications.
Une étude publiée dans la revue scientifique The Cryosphere a dressé un bilan alarmant : ces trois dernières décennies, la fonte des glaces s'est accélérée de 65%. L'évolution des calottes glaciaires suit désormais les pires scénarios du Groupe d'experts intergouvernemental sur l'évolution du climat (GIEC). Avec des effets directs et indirects qui nous plongent au cœur d'un cercle vicieux.
Des chercheurs de l'université de Stanford mettent en garde contre les conséquences du réchauffement climatique sur la flore alpine. Ces plantes vivant à la limite des neiges éternelles pourraient s'éteindre, des espèces plus compétitives colonisant leur habitat.
abs_empty
Une étude parue dans la revue Geophysical Research Letters appelle à une meilleure prise en compte de l’activité biologique au niveau des rivières d’eau de fonte au Groenland. En effet, des mesures de terrain suggèrent qu’une plus grande activité bactérienne s’associe à une fonte accrue en saison chaude.
Une nouvelle étude dirigée par des chercheurs du Laboratoire de Climatologie de l’ULiège prévoit une fonte de la calotte du Groenland 60% plus importante que ce qui était prévu initialement. Le modèle MAR, développé également par l’ULiège avait été le premier à démontrer que la calotte du Groenland allait fondre davantage avec un réchauffement de l’Arctique en été.
abs_empty
abs_empty
abs_empty
Groenland : la calotte glacière a connu une fonte sans précédent depuis 12.000 ans - selon une étude
- BelgaLa fonte de la calotte glaciaire du Groenland va causer une augmentation du niveau des mers plus importante au XXIe siècle que lors d'aucun autre siècle depuis 12.000 ans, même si le réchauffement de la planète est contenu, selon une étude publiée mercredi. Cette étude parue dans la revue Nature, basée sur des échantillons de glace et des modèles, reconstruit pour la première fois l'histoire de la fonte des glaces de cette calotte pendant tout l'Holocène, époque géologique commencée il y a 11.700 ans.
abs_empty
- AFP
abs_empty
abs_empty
En juin dernier, l'expédition Unu Mondo prenait le large vers le Groenland. A son bord, deux skippeurs, deux caméramans, un photographe et, surtout, Michaël Fonder, un chercheur de l'ULiège chargé d'une mission autant ambitieuse qu'exceptionnelle: réceptionner et installer trois stations météo sur le territoire glacé.
Parue cet été, une nouvelle étude confirme l’accélération de la fonte de la calotte glaciaire de l’île-continent de l'Arctique, sous l’effet de la hausse globale des températures terrestres. Une tendance qui pourrait s'avérer irréversible?
Des températures qui dépassent rarement les O°, des vents violents quasi permanents qui balaient des massifs rocheux à peine recouverts de glace. Bienvenue au sud-est du Groenland. C’est dans cette contrée inhospitalière qu’une équipe de chercheurs de l’ULiège a, pourtant, imaginé construire un hub énergétique à l’avenir, c’est-à-dire une zone de production d’énergie à partir de dizaines de milliers d’éoliennes.
Une masse de glace de 113km2 vient de se détacher de la plus grande plate-forme de glace de l’Arctique, située au Groenland. La conséquence directe, estiment les chercheurs, des températures anormalement chaudes essuyées dans la région au cours de ces dernières semaines.
Une masse de glace de 113 km2, soit près de deux fois la surface de Manhattan, vient de se détacher du plus grand glacier existant encore dans l’Arctique, le glacier 79 N.
abs_empty
abs_empty
abs_empty
abs_empty
Des échantillons de glace antarctique ont récemment été analysés avec une précision sans précédent, permettant de mieux comprendre la variabilité naturelle du CO2 à l’échelle séculaire. En particulier, en période interglaciaire. Ces mesures permettent entre autres de mieux contextualiser l’ampleur de la perturbation climatique en cours. Les résultats ont été publiés le 21 août dernier dans la revue Science.
Le réchauffement climatique a provoqué la fonte de quelque 28 billions (soit 28.000 milliards) de tonnes de glace entre 1994 et 2017, selon une étude britannique relayée par le journal The Guardian. L'analyse des images satellites révèlent une baisse significative de la quantité de glace dans les pôles Nord et Sud, les glaciers et les hautes montagnes, expliquent les scientifiques, qui se disent "inquiets".
Puisque nous sommes amenés à entendre de plus en plus parler du sujet, je propose ici une synthèse de ce qui se dit, et de ce que l’on sait, sur la problématique du dérèglement climatique. Je trouve en effet que la confusion est grande dans les discours médiatiques et politiques actuels, ce qui empêche le débat d’avancer correctement.
En Arctique, la banquise fond plus vite que les modélisations actuelles le prédisent, ont averti mardi des chercheurs de l'Université de Copenhague. "Nos analyses des conditions dans l'océan Arctique montrent que nous avons clairement sous-estimé le taux d'augmentation de la température dans l'atmosphère au plus proche du niveau de la mer, laquelle a finalement fait fondre la banquise plus rapidement que nous l'avions prévu",...
Une étude parue dans la revue « Nature » constate que la fonte des glaciers groenlandais s’accélère. Les chutes de neige ne parviennent plus à contrebalancer les pertes de glace de l’immense territoire arctique.
En ces temps de canicule, c'est une information qui pourrait donner... froid dans le dos : la fonte de la calotte glaciaire du Groenland aurait atteint un point de non-retour. C'est une étude publiée sur le site Nature Communications Earth and Environnement qui tire la sonnette d'alarme : tous les efforts entrepris n'empêcheraient pas la fonte des glaciers et leur disparition totale. Nous avons essayé d'y voir plus clair.
Des données satellitaires montrent que les glaciers du Groenland ont atteint le point de non-retour. Concrètement, ces derniers ont tellement rétréci que même si le réchauffement climatique devait s’arrêter aujourd’hui, ils continueraient de rétrécir.
En ce mois d'août, une petite expédition française du nom d'Unu Mondo – qui se donne pour but d'étudier les effets du réchauffement climatique et la fonte de la banquise – se trouve au sud du Groenland. Elle va en remonter la côte ouest pour se diriger ensuite vers le Canada, empruntant le fameux passage du Nord-Ouest.
Fonte des glaciers : 'On est en train de perdre la bataille' prévient le climatologue Hervé Le Treut
- LCI,Hervé Le TreutUn énorme bloc de 500.000 m³ menace de se détacher d'un glacier du Mont-Blanc. Des routes ont été bloquées et plus de 70 personnes ont été évacuées. L'accélération de la fonte des glaciers, à l'image de celui-ci des Grandes Jorasses près de Courmayeur, inquiète les scientifiques, à l'instar du climatologue Hervé Le Treut.
De nouvelles images satellites de la NASA montrent que les calottes glaciaires de la baie Saint-Patrick, située au Canada, ont complètement disparu.. Mark Serreze, directeur du Centre national des données sur la neige et la glace, est très pessimiste pour l'avenir des calottes glaciaires. En 2017, il alertait déjà la société du phénomène de fonte des glaces en prédisant que celles-ci allaient disparaître "d'ici 5 ans".
abs_empty
abs_empty
abs_empty
abs_empty
abs_empty
Au bout du monde, au-delà du cercle polaire, deux scientifiques russes, Serguei Zimov et son fils Nikita, mènent une expérience unique : le Pleistocene Park. Ici, les Zimov restaurent l’ancien écosystème des steppes de Sibérie pour sauver la planète d’une catastrophe annoncée : la fonte du permafrost. Ce glacier souterrain contient des milliards de tonnes de carbone. En se libérant, ce dernier accélère le réchauffement climatique. Selon l’hypothèse révolutionnaire des Zimov une réintroduction des grands herbivores en Sibérie pourrait ralentir la dégradation du permafrost.
abs_empty
- AFP
abs_empty
abs_empty
abs_empty
À cette période de l’année, la température autour de Khatanga, en Sibérie, tourne habituellement autour de 0 °C en journée. L’année 2020 a battu tous les records. Le 22 mai, il a fait jusqu’à 25 °C dans ce village du nord de la Sibérie, soit 13 °C de plus que lors du précédent record. D’autres villes russes situées dans le cercle polaire arctique sont dans une situation similaire. Le 9 juin 2020, la température a ainsi atteint 30 °C à Nizhnyaya Pesha. « Je suis né en Sibérie et j’y ai vécu pendant soixante ans, a déclaré le journaliste Serguei Zubchuk au Siberian Times. Je ne me rappelle d’aucun printemps semblable à celui-là. »
abs_empty
Vague de chaleur en Sibérie et au Groenland : 'les effets sont inquiétants - mais pas irréversibles'
- Myriam BaeleCet hiver a été doux et ce printemps est chaud dans les régions arctiques. L’impact de ces températures se lit sur les paysages du Grand Nord : les glaces fondent. Au Groenland, la fonte saisonnière des glaces a commencé de façon précoce, cette année. Et en Sibérie, la fonte des terres gelées depuis des millénaires, le permafrost, s’accélère.
La vague de chaleur en Sibérie conjuguée à une fonte précoce des glaces au Groenland ravive les préoccupations de la communauté scientifique à l’approche de l’été dans la région arctique.
abs_empty
Au cours de l’été 2019 exceptionnellement, le Groenland a perdu 600 milliards de tonnes de glace. De quoi élever le niveau de la mer de 2,2 millimètres en deux mois.
abs_empty
abs_empty
abs_empty
Les glaciers pyrénéens et leur écosystème singulier sont entrés dans une inéluctable agonie sous l'effet du réchauffement climatique, avec pour horizon une disparition redoutée d'ici une trentaine d'années, selon les glaciologues qui en documentent le recul.
abs_empty
La calotte glaciaire du Groenland, deuxième plus importante après celle de l’Antarctique, fond sept fois plus vite que prévu, révèle une étude publiée mardi dans la revue scientifique Nature.
La prospérité des algues rouges ont des conséquences néfastes sur la glace polaire : elles la font fondre plus rapidement.