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Croissance
Dans cette conférence sur la chaîne France Nature Environnement Haute Savoie l’astrophysicien et philosophe Aurélien Barrau professeur à l’Université Grenoble Alpes directeur du Centre de Physique Théorique Grenoble Alpes et chercheur au LPSC CNRS explore la transformation nécessaire de notre modèle agricole et économique pour le rendre vivable pour les praticiens et soutenable pour la Terre il insiste sur la responsabilité collective la justice sociale la réduction du temps de travail la sobriété matérielle et l’importance d’une vision systémique au delà des réponses individuelles il évoque les enjeux de la formation des élites la critique de la croissance matérielle la place du vivant la solidarité locale et la recherche de sens mots clés écologie agriculture transition écologique décroissance modèle agricole CO2 emploi collectif politique public sobriété résilience effondrement formation élites université Grenoble sciences philosophie poésie
In a selective history of the evolution of the degrowth movement, his chapter in the Routledge Handbook of Degrowth (2025) offers a collective and subjective reflection revealing tensions between academics, practitioners and activists. Its four co-authors have lived in and with these tensions, analysing practical experiences in the degrowth cooperative Cargonomia (Budapest, Hungary) and the low-tech ecosystem Can Decreix (Cerbère, France). The chapter aims to launch a formal, respectful and significant dialogue between degrowth academics and practitioners. How did an initial public perception of degrowth as activists who experiment-by-doing based in a radical epistemological critique of traditional academia evolve more and more into an academia-dominated movement? We reflect on the movement’s organisation to suggest how deeper collaborative relationships between researchers, activism and practitioners might strengthen degrowth as an academic field, enhance the credibility and robustness of grounded prefigurat
Selon les dernières prévisions du FMI, la croissance mondiale devrait s’élever à 3,2 % en 2025, contre 3,3 % en 2024, et de 3,1 % en 2026.
Le 25 mai 1970, un mois à peine après le premier Jour de la Terre qui vit des millions d’Américains manifester pour la défense de l’environnement, le New York Times évoquait déjà l’hypothèse d’un ecological backlash, d’un retour de bâton contre l’écologie. La menace n’était pas prise au sérieux. La vague environnementaliste semblait portée par la démocratie américaine elle‑même.
Les capacités additionnelles de production d’électricité renouvelable devraient dépasser les 740 gigawatts en 2025, un nouveau record, selon le rapport publié par l’institution mardi 7 octobre. Une croissance essentiellement tirée par la Chine.
C’est sans doute l’une des études les plus importantes de l’année. Après « A good life for all within planetary boundaries » (2018), la première tentative de quantification du donut de Kate Raworth, et sa mise à jour en 2022 dans « The social shortfall and ecological overshoot of nations », deux chercheurs viennent de publier la suite. Intitulée « Doughnut of social and planetary boundaries monitors a world out of balance » (2025), l’étude est sortie le mercredi 2 octobre dans la prestigieux revue Nature.
Alors que l’IA dope les échanges mondiaux, l’OMC s’inquiète d’un avenir incertain face aux droits de douane et appelle à repenser la mondialisation.
En mars dernier, je constatais une évolution des discours écologiques : enfin, en 2025, le pouvoir d'achat intégrait le débat (voir ce post : https://lnkd.in/dP3C7NzF). […] ❓ J’interpelais alors certains acteurs sur la difficulté à énoncer que la contrainte environnementale (l'impossible développement infini dans un monde fini) allait nécessairement impacter la production de richesse
La consommation électrique des data centers mondiaux pourrait tripler d’ici à 2030, prévient le think tank, dans un rapport, prônant la mise en place d’une « trajectoire plafond » pour respecter les engagements climatiques.
Chapter 5 in the Routledge Handbook of Degrowth (2025) sketches the French origins of, and approaches to, décroissance. In France, décroissance emerged early – as part of the long history of debates on the industrialisation of the world and its impacts, and of a shorter history of political ecology over the last half-century. Although inspired by a long genealogy questioning the Western industrial trajectory, the word décroissance really came to the fore in the French protest and intellectual scene in 2002, with a convergence between anti-development and anti-advertising movements. Even if degrowth as a slogan and as a movement only emerged recently, its origins, influences, pioneers, pillars and debates were already very strong in the 1970s. After a long hiatus in the 1980s and 1990s, the term décroissance spread spectacularly, entering the political and activist arena at the beginning of the 21st century, designating a sub-group of political ecologists committed to criticising economic development as the do
Ce matin, l'excellente chronique de Camille Crosnier sur France Inter (lien en com') me rappelle que je n'ai pas rêvé en voyant le professeur François Gemenne à Dubaï et Abu Dabi vanter les mérites de la croissance verte, de l'air climatisé sans CO2 et autres délires cornucopiens... Le tout comme c'est indiqué en dessous dans une vidéo sponsorisée par Saint Gobain. Tant qu'à faire, le groupe du CAC s'est payé un scientifique pour 6 épisodes, car François va aussi aux États-Unis, en Chine... Cette série de posts sponsorisés, c'est un peu le cauchemar absolu d'Amélie Deloche.
ça urge désespérément car les politiques et les actes de Trump et de ses amis climatonégationnistes changent profondément les données du problème nous rapprochant beaucoup plus à la catastrophe irréversible, rendant aujourd’hui dépassées et inopérantes même les plus radicales des « solutions » proposées hier. Ce qui rend encore plus crédible et terriblement réaliste la thèse du texte qui suit, selon laquelle « Toute véritable alternative à cette dynamique perverse et destructrice doit être radicale, c’est-à-dire s’attaquer aux racines du problème : le système capitaliste, sa dynamique d’exploitation et d’extractivisme, et sa recherche aveugle et obsessionnelle de la croissance ».
Une méta-analyse portant sur 62 études révèle que les microplastiques peuvent altérer la santé osseuse de diverses manières. Ils peuvent, par exemple, s’incruster profondément dans les tissus osseux, tels que la moelle, et en perturber des processus essentiels comme le renouvellement cellulaire et la croissance des os. Les chercheurs suggèrent que cela pourrait contribuer à expliquer la hausse de la prévalence de l’ostéoporose observée ces dernières décennies.
Le concepteur de puces, devenu l’entreprise la plus riche du monde, va investir 100 milliards de dollars dans OpenAI, le créateur de ChatGPT. Une illustration éclatante de l’impact de l’intelligence artificielle, qui est devenue le dopant numéro un de la croissance aux États-Unis.
Trois jeunes Belges, de retour de la 18e conférence de la Société internationale d'Économie écologique à Oslo, racontent leur expérience.
Le journaliste Nicolas Chevassus-au-Louis invite à une vaste réforme de la recherche, notamment pour réduire son empreinte carbone.
Si l’accélération des modes de vie a commencé par rimer avec modernité, elle a pris des accents sulfureux avec le temps. Pour certains penseurs aujourd’hui, il s’agirait d’aller encore plus vite dans le développement industriel afin d’anéantir les institutions démocratiques déliquescentes du vieux monde libéral.
En s’alignant sur les objectifs de croissance, la recherche scientifique participe au chaos environnemental, estime l’historien et journaliste Nicolas Chevassus-au-Louis. Il appelle à un mouvement de « décroiscience ».
Le petit pays d’Amérique du Sud, aux formidables réserves d’or noir, choisira lundi 1er septembre entre le président sortant de droite et son rival de gauche, représentants d’un bipartisme à base ethnique. Mais un nouveau venu populiste pourrait jouer les trouble-fêtes.
La production d'énergie issue du charbon en Chine a enregistré une forte croissance au premier semestre, simultanément à un niveau record des renouvelables, selon un rapport publié lundi. Charbon : 21 GW mis en service au 1er semestre 2025 Le charbon est une source d'énergie essentielle en Chine depuis des décennies, mais la forte croissance des installations éoliennes et solaires ces dernières années a fait naître l'espoir que le pays puisse se passer de ce combustible fossile polluant. Le charbon représente environ la moitié de la production d'électricité en Chine, contre les trois quarts en 2016. Le pays a mis en service 21 gigawatts (GW) de centrales à charbon au cours des six premiers mois de cette année, soit le total le plus élevé pour un premier semestre depuis 2016, selon le rapport du Centre de recherche sur l'énergie et l'air pur (CREA) et du Global Energy Monitor (GEM). La Chine a également démarré ou redémarré la construction de projets de centrales à charbon totalisant 46 GW, soit l'équiv
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