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Jeudi, le gouvernement a lancé une plateforme baptisée «Choose France for Science», présentée comme «une première étape pour préparer l’accueil des chercheurs internationaux». Depuis le retour de Donald Trump à la Maison Blanche en janvier, chercheurs et universités sont dans le collimateur de son gouvernement et ont peur pour leur avenir, entre libertés académiques et de recherche minées, financements sabrés. De plus en plus de chercheurs ou d’aspirants chercheurs réfléchissent donc à quitter le pays, considéré jusqu’ici comme le paradis de la recherche dans nombre de domaines.
Créé par George W. Bush et étendu par Barack Obama, le sanctuaire abrite des récifs coralliens vierges et des espèces en danger.
Alors que l’extraction de ressources y était jusqu’ici interdite depuis 25 ans, le président américain a signé un décret jeudi 17 avril pour permettre à nouveau la pêche commerciale dans un écosystème au milieu du Pacifique, qui est l’un des plus vulnérables au monde.
Sous l’impulsion du duo Donald Trump-Elon Musk, l’exécutif américain a annoncé de nombreux licenciements dans l’administration. Difficiles à suivre et à compter, ces coupes dans les effectifs révèlent les cibles prioritaires de la Maison Blanche.
Donald Trump a prévenu vendredi que les Etats-Unis étaient prêts à passer à autre chose "très bientôt", si un accord n'était pas trouvé entre Moscou et Kiev pour mettre fin à la guerre en Ukraine.
Joe Biden, 82 ans, a accusé l’administration Trump de s’en prendre à l’agence fédérale notamment chargée de distribuer les retraites publiques ou les pensions d’invalidité à 68 millions de bénéficiaires. [...]«Ils attaquent la Sécurité sociale à coups de hache, licenciant 7 000 fonctionnaires, y compris les plus chevronnés. Ils s’apprêtent à en pousser des milliers d’autres vers la porte», a dénoncé l’ancien chef d’Etat.«Pourquoi veulent-ils la dévaliser ? C’est pour offrir d’énormes baisses d’impôts aux milliardaires», a martelé l’ancien président démocrate «La Sécurité sociale mérite d’être protégée pour le bien de la nation tout entière, a-t-il ajouté. Il ne s’agit pas seulement de pensions de retraite. Il s’agit d’honorer un lien de confiance fondamental entre l’Etat et le peuple.»
Lors d’une conférence à Chicago, l’ancien président démocrate est sorti de sa retraite pour critiquer l’actuelle administration, l’accusant de solder la « Sécurité sociale » pour « offrir d’énormes baisses d’impôts aux milliardaires ».
C’est l’histoire d’un homme dont vous n’avez sans doute jamais entendu parler… mais qui pourrait pourtant décider de notre avenir. Un homme de l’ombre, la plus noire qui soit. Un homme pour qui seuls les élites mériteraient de vivre. Les autres, juste de survivre, en se soumettant. Un homme qui, depuis son ermitage californien, tisse depuis vingt ans une toile idéologique où la démocratie est une maladie infantile, la presse un virus et la liberté pour tous une plaisanterie de mauvais goût. Cet homme, c’est Curtis Yarvin.
Le commerce mondial légèrement ralenti par la guerre commerciale de Donald Trump. Une politique qui pourrait «avoir de sévères conséquences négatives», en particulier pour les économies les plus vulnérables, a averti ce mercredi 16 avril la directrice générale de l’OMC, Ngozi Okonjo-Iweala. La suspension temporaire des droits de douane punitifs américains atténue la contraction des échanges mais le recul du commerce mondial de marchandises pourrait atteindre jusqu’à 1,5 % en volume en 2025, en fonction de la politique douanière de Donald Trump, selon les prévisions annuelles de l’Organisation mondiale du commerce.
La Californie a contesté mercredi en justice les droits de douane imposés par Donald Trump, car l'Etat dirigé par les démocrates estime que le président américain ne pouvait pas les instituer sans l'accord du Congrès.
C’est un refus qui passe très mal auprès de Donald Trump. Celui de la prestigieuse université Harvard contre les exigences du président américain, voulant remettre en cause son fonctionnement, ses politiques d’admission des étudiants et de recrutement du personnel ainsi que ses programmes académiques. "L’université ne renoncera pas à son indépendance ni à ses droits constitutionnels", a assuré lundi son président, Alan Garber, dans une lettre retentissante adressée aux étudiants et aux enseignants.
Le président américain demanderait de choisir entre les États-Unis ou la Chine.- […] Nos confrères du Irish Times, nous apprennent l'existence d'un document qui met en évidence les attentes des États-Unis quant aux accords commerciaux avec la Chine. Washington voudrait couper les ponts avec Pékin.- […] Ce même document préciserait que tous les pays qui désireraient conclure un accord commercial avec Donald Trump, devront renoncer à la Chine. Cette information aurait été transmise à Dublin auprès de Simon Harris, vice-Premier ministre irlandais et à Howard Lutnick, secrétaire américain au Commerce dans le courant de la semaine dernière.
Pour arriver à ses fins, le Président américain envisagerait de donner un chèque annuel de 10 000 dollars à chaque habitant du Groenland. Le vice-président JD Vance avait en effet affirmé que l'usage de la force ne serait pas nécessaire pour rallier le territoire.
Alors que, fidèle à sa tactique, Vladimir Poutine fait volontairement traîner les négociations avec le président américain sur un cessez-le-feu, les Européens, exclus du processus, auraient tort de baisser la garde.
Depuis son investiture le 20 janvier dernier, Donald Trump ébranle la démocratie américaine en gouvernant à coups de décrets présidentiels. Coupes drastiques dans les budgets, retrait d’accords internationaux, licenciements massifs d’employés fédéraux… Il va si vite que les tribunaux sont saturés par les procès en contestation, dont les décisions pourraient prendre des années à être rendues. L’objectif affiché de l'administration Trump est de tailler dans les dépenses publiques, mais il existe aussi une volonté sous-jacente de remodeler les institutions selon une idéologie de droite identitaire et religieuse. Reportage de notre correspondante aux Etats-Unis, Fanny Allard.
Mercredi, Donald Trump a signé un décret pour lever les restrictions sur le débit des pommeaux de douche. Sans ça, impossible de laver ses «beaux cheveux».
Rien ne laissait présager le revirement du président américain au sujet des surtaxes douanières avec les partenaires commerciaux des États-Unis.
Donald Trump a-t-il commis un délit d’initié ? Plusieurs élus démocrates ont émis des soupçons, estimant que le président américain avait peut-être, en encourageant à acheter des actions juste avant son revirement spectaculaire sur les droits de douane, illégalement manipulé les marchés. "Les proches de Donald Trump profitent-ils illégalement de ces énormes fluctuations du marché boursier par le biais de délits d’initiés ?", a interrogé le sénateur démocrate de Californie Adam Schiff sur son compte X mercredi. "Le Congrès doit savoir", a-t-il ajouté, appelant à une enquête parlementaire.
L’opposition démocrate accuse le président américain de délit d’initié en prévenant en amont ses alliés pour qu’ils puissent anticiper la réaction des Bourses du monde entier, qui fluctuent au gré de ses déclarations intempestives.Donald Trump a-t-il profité du chaos en Bourse pour enrichir ses proches et ses alliés ? Plusieurs élus démocrates soupçonnent le président américain de délit d’initié, estimant qu’il avait, en encourageant à acheter des actions juste avant son revirement spectaculaire sur les droits de douane, manipulé les marchés.
Les démocrates s’opposaient en bloc à ce texte qui, selon eux, augure d’un dépeçage en règle de la Sécurité sociale – qui, aux États-Unis, verse des retraites et certaines aides publiques – et de Medicaid, l’assurance santé de nombreux Américains aux revenus modestes. De nombreux experts budgétaires avertissent effectivement que, pour parvenir à une réduction de 1 500 milliards de dollars dans les dépenses de l’Etat fédéral, il faudra passer par des coupes majeures dans ces programmes fédéraux.