Les Soulèvements de la Terre

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Températures
Les Galeries Lafayette et des bâtiments de l’Assemblée nationale ont notamment été victimes de ces pannes. Un mouvement social au sein des agents parisiens d’Enedis a perturbé le rétablissement du courant.
En pleine vague de chaleur, l’extrême droite a proposé un «grand plan climatisation». Un exemple typique de mal-adaptation au changement climatique, qui a pourtant reçu toute l’attention des médias et du champ politique.
Plusieurs incendies continuent de frapper samedi des pays d’Europe, comme la Grèce et la Turquie, où ils ont fait une troisième victime, ou encore la France, dont le sud est en proie à plusieurs feux après une canicule.
Derrière la chaleur se cache une urgence sociale et sanitaire. Le député du Puy-de-Dôme, Nicolas Bonnet et le délégué général de la Fondation pour le logement des défavorisés, Christophe Robert ainsi que Cécile Duflot, Thomas Piketty et Jean Jouzel demandent un plan sérieux avec un budget et un cadre juridique dédiés.
La chaleur accablante de l’été 2025 n’épargne personne, pas même ceux qu’on pensait invincibles : les jeunes. […] Traditionnellement, la chaleur extrême était l’ennemi juré des seniors et des nourrissons. Pourtant, les chiffres de cet été marquent un tournant. Les urgences voient arriver une nouvelle vague de patients : des adolescents, des jeunes adultes, parfois même des étudiants sportifs pourtant bien entraînés. […] Selon les données les plus récentes, l’été 2025 a enregistré une forte augmentation des passages aux urgences chez les jeunes pour des symptômes liés à la canicule. Vomissements, pertes de connaissance, déshydratation aiguë… la liste des complications s’allonge et s’intensifie d’année en année.
Si le record de 2019 n’a pas été battu, ce mois de juin, avec une température moyenne supérieure de 3,3 °C aux normales de saison, se rapproche du plafond de 2003.
En proie aux fortes chaleurs, l'Europe souffre des effets directs du réchauffement climatique, et se voit aussi exposée à ses effets indirects comme la dengue, le chikungunya et le virus du Nil occidental. D'ordinaire associées aux zones tropicales et arides, ces maladies infectieuses étendent leur territoire vers le nord.
Mais si les vagues de chaleur posent problème à chacun et chacune d’entre nous, la solution consistant à se reposer sur son climatiseur (au domicile comme au travail) est en effet coupable, au moins sous nos latitudes.
Quelque 6 000 clients d'Enedis étaient privés d'électricité à 12h30 mercredi en raison des "fortes chaleurs" qui affectent les infrastructures souterraines et ont privé jusqu'à 13 000 personnes de courant au plus fort de la journée, selon le dernier bilan du gestionnaire du réseau de distribution électrique transmis à l'AFP.
Chaque été, le débat revient : faut-il interdire la climatisation ? Trop polluante, trop énergivore, trop égoïste… En France, elle cristallise toutes les critiques, en particulier dans le milieu écologique. Mais au milieu des idées reçues et des discours moralisateurs, on oublie une chose essentielle : dans un monde de plus en plus chaud, la clim sauve des vies. Voici pourquoi il est urgent de revoir notre perception de cet outil devenu indispensable.
Ces derniers jours ont été éprouvants pour une grande partie de la France. L’épisode caniculaire qui s’est abattu durant près de deux semaines sur l’Hexagone, avec un pic mardi 1er juillet, a entraîné une série de records, traduisant l’ampleur de ce phénomène appelé à se multiplier sous l’effet de la crise climatique.
Lors des épisodes caniculaires, les messages de prévention reviennent régulièrement dans les médias afin de limiter l’impact sanitaire des épisodes de chaleur extrême : "bien" s’hydrater, éviter le soleil et les lieux chauds, ne pas faire de travail intense, éviter de faire du sport en extérieur aux heures les plus chaudes de la journée…
Une grande partie de la France s'apprête à vivre mercredi une dernière journée de canicule après avoir suffoqué mardi sous des températures allant jusqu'à 41,4 °C. Deux personnes sont mortes "à la suite de malaises liés à la chaleur", a confirmé la ministre de la Transition écologique, Agnès Pannier-Runacher. Cette vague de chaleur précoce a également concerné des millions d'Européens.
La vague de chaleur qui touche la quasi-totalité de la France hexagonale depuis le 19 juin n’est pas sans effet sur les exploitations agricoles. Un nouveau coup dur pour le monde paysan, chamboulé depuis plusieurs années par le dérèglement climatique.
La France vient de connaître son second mois de juin le plus chaud, a annoncé le 2 juillet le gouvernement. Depuis le début des mesures, en 1900, seul le mois de juin 2003 a été plus chaud. L’anomalie de température a atteint +3,3 °C contre +3,6 °C en juin 2003, a précisé à l’AFP le ministère de la Transition écologique. L’Hexagone avait déjà connu lundi 30 juin sa nuit puis sa journée les plus chaudes jamais enregistrées pour un mois de juin, avec une moyenne de 20,2 °C durant la nuit et de 28 °C durant la journée. Mardi 1er juillet, Météo-France a relevé 41,3 °C à Nîmes, 39,3 °C à Toulouse et 38,1 °C à Paris.
Le 30 juin 2025 a été la journée la plus chaude jamais enregistrée pour un mois de juin. En ces premiers jours de juillet, le pays continue de suffoquer. La vague de chaleur s’est avérée intense sur tout le territoire.
Deux personnes sont mortes en France "à la suite de malaises liés à la chaleur", a indiqué mercredi la ministre de la Transition écologique Agnès Pannier-Runacher. L'Espagne a pour sa part annoncé la mort de trois personnes ce mardi.
Les fortes chaleurs et le manque de pluie ont significativement accru le risque de propagation des feux de forêt en France. Ce mercredi 2 juillet, la région parisienne, le Centre et les Pays-de-la-Loire sont aussi inflammables que les départements de l’Arc méditerranéen.
Tout le pays suffoque comme rarement sous l’effet de la crise climatique, mais certains nous rassurent à coups de sophismes et d’absurdités. Or, il y a pire que le déni : l’inaction de la part de celles et ceux qui nous gouvernent dans l’adaptation du pays aux risques qui vont crescendo. Le résultat est le même : le danger grandit et nous ne sommes pas prêt·es.
La canicule qui frappe l'Europe cet été n'épargne ni la Belgique ni la France.


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