Les Soulèvements de la Terre

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L'Observatoire européen austral (ESO) a averti lundi que le projet de centrale électrique prévu à proximité de ses télescopes dans le désert d'Atacama, dans le nord du Chili, pourrait avoir un impact "dévastateur" sur l'observation du ciel. La pollution lumineuse générée par le projet pourrait, selon l'organisme dédié à la recherche astronomique, perturber l'observation d'un des ciels les plus purs et étoilés du monde.
Trois ans après le début de l’invasion russe, l’armée ukrainienne fait face à une explosion du nombre de désertions. En 2024, au moins 30 000 soldats auraient quitté les rangs. Pour arrêter l’hémorragie, le gouvernement ukrainien a mis en place plusieurs techniques de recrutement.
Dans le sud du pays, les terres agricoles ont été desséchées par le drainage intensif et le changement climatique. La commune de Ruzsa tente de sauver les siennes grâce au recyclage des eaux grises et à un bassin de rétention, raconte le portail “Valasz Online”.
L'Observatoire européen austral (ESO) a alerté jeudi sur les risques de pollution lumineuse liés à un mégaprojet de production d'hydrogène et d'ammoniac vert dans le nord du Chili, une région particulièrement propice à l'observation du ciel. "Ce complexe menace le ciel pur de l'Observatoire de Paranal de l'ESO dans le désert d'Atacama", avertit l'organisation intergouvernementale dans un communiqué. Fin décembre, AES Andes, une filiale de la compagnie d'électricité américaine AES Corporation, avait annoncé soumettre le projet à une étude d'impact sur l'environnement.
La COP16 Désertification s'est achevée sans parvenir à un accord sur la mise en place d'un protocole contraignant sur la sécheresse.
Durant deux semaines, les risques pesant sur l’alimentation ont été au cœur des débats de la Convention des Nations unies sur la désertification, qui n’a pas réussi à concrétiser le protocole sur la sécheresse appelé de ses vœux par l’Afrique.
Les négociations à la conférence de l'ONU contre la désertification, COP16, ont pris fin samedi à Ryad sans parvenir à un accord contraignant sur la lutte contre la sécheresse, ont indiqué des participants.
À Riyad, en Arabie saoudite, les négociateurs de la conférence de l'ONU sur la désertification n'ont pas réussi à se mettre d'accord pour faire face à la sécheresse, malgré une nuit supplémentaire de discussions.
Sols maîtres à bord. La 16ème Conférence mondiale sur la désertification s’achève vendredi 13 décembre. L’occasion de revenir sur le projet de la Grande muraille verte, une ceinture végétale contre l’appauvrissement des sols au Sahel. Quels sont ses résultats ? Vert fait le point.
La succession des COP biodiversité, climat et désertification n’a pas permis d’aboutir à des accords ambitieux. Mais les liens entre ces trois enjeux sont désormais mieux établis, au sein des négociations internationales.
Les trois quarts de la planète ont connu un climat plus sec ces trente dernières années, affectant déjà plus de 2 milliards de personnes.
Le climat de la planète s’assèche sur plus des trois quarts des terres émergées, selon un rapport de la convention de l’ONU sur la désertification publié lundi.
Un rapport onusien fait le point sur la désertification en expansion, un phénomène mondial, étroitement lié à l’émission des gaz à effet de serre d’origine humaine. Sa publication a été programmée à l’occasion de la COP16 désertification.
Entre 1990 et 2020, 4,3 millions de kilomètres carrés de terres humides se sont transformés en terres arides, entraînant des conséquences graves pour les écosystèmes et la sécurité alimentaire.
A la COP16 Désertification, la France s'est déclarée "affectée" par la dégradation des terres et la sécheresse, une première.
Les sécheresses coûtent près de 300 milliards d’euros par an, au niveau mondial, alerte l’ONU ce mardi 3 décembre, au deuxième jour de la COP16 sur la désertification, dans un rapport appelant à des investissements urgents dans des solutions fondées sur la nature, comme la reforestation.
Les sécheresses coûtent près de 300 milliards d'euros par an, au niveau mondial, alerte l'ONU mardi, au deuxième jour de la COP16 sur la désertification, dans un rapport appelant à des investissements urgents dans des solutions fondées sur la nature, comme la reforestation.
Leur coût s’élève à près de 300 milliards d’euros par an, au niveau mondial, annonce un rapport publié ce mardi 3 décembre. Présenté au deuxième jour de la COP16 sur la désertification, il appelle à des investissements urgents.
La France s’est officiellement déclarée affectée par la désertification, mardi, à l’occasion de la COP16. En visite en Arabie saoudite, Emmanuel Macron a lancé le One Water Summit, point d’étape vers une future gouvernance mondiale de l’eau, dont les Nations unies restent dépourvues.
La dégradation des terres, qui s'étend à un rythme alarmant d'un million de km² par an, constitue une menace majeure pour l'équilibre mondial


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