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Alors que les mesures coercitives doivent être rétablies ce samedi soir, le régime s’insurge et affirme qu’il ne cédera «jamais à la pression».
En affirmant à la tribune de l’ONU que la capitale du Royaume-Uni entend «passer à la charia», le milliardaire Trump reprend des théories conspirationnistes diffusées en ligne par l’extrême droite, et tacle le maire musulman Sadiq Khan, une de ses cibles préférées depuis des années.
Des importations européennes de gaz et de pétrole russes à l’énergie éolienne chinoise, en passant par le réchauffement climatique, le discours de Donald Trump devant l’Assemblée générale des Nations Unies ce 23 septembre a été émaillé de fausses affirmations et de simplifications. Voici une analyse de cinq des plus marquantes.
Londres et Washington vont signer un accord pour accélérer les délais d'autorisation et de validation des projets nucléaires entre les deux pays pendant la visite de Donald Trump cette semaine au Royaume-Uni, a annoncé lundi le gouvernement britannique. Cet accord "permettra aux entreprises de construire plus vite de nouvelles centrales nucléaires, par exemple en réduisant la durée moyenne d'obtention d'une licence de trois ou quatre ans à environ deux", est-il expliqué dans le communiqué.
Les attaques menées par l’armée israélienne ont causé la mort de 50 personnes dans l’enclave palestinienne ce vendredi 12 septembre, dont 35 dans la seule ville de Gaza.
Le gouvernement britannique a défendu mardi l'approche "juste et proportionnée" de sa taxe sur les services numériques (DST), après les menaces de Donald Trump d'imposer des droits de douane aux pays qui, selon lui, ciblent les entreprises technologiques
L’amiral Bernard Rogel, ancien chef de l’état-major particulier du président de la République, analyse la déclaration commune de Londres et Paris du 10 juillet, premier pas vers une nouvelle architecture de défense européenne sans les Etats-Unis.
Réagissant à l'alerte lancée par l'ONU et les ONG qui dénoncent un risque de famine imminente et généralisée dans la bande de Gaza, la France, la Grande-Bretagne et l'Allemagne ont appelé le gouvernement israélien à mettre fin à "la catastrophe humanitaire" dans le territoire palestinien et à "lever immédiatement les restrictions sur l'acheminement de l'aide".
Le gouvernement britannique a annoncé mardi sa "décision finale d'investissement" dans la future centrale nucléaire britannique de Sizewell C, dans l'est de l'Angleterre, qui coûtera environ 38 milliards de livres (presque 45 milliards d'euros) aux côtés d'investisseurs privés dont l'énergéticien public français EDF. Cette future centrale est un projet clé pour la sécurité énergétique britannique et le gouvernement britannique "fait les investissements nécessaires pour ouvrir un nouvel âge d'or au nucléaire", a assuré le ministre de l'Energie Ed Miliband dans un communiqué.
L'Elysée y a consacré sa première annonce lors de la visite d'Etat d'Emmanuel Macron au Royaume-Uni: l'énergéticien public français EDF détiendra 12,5% de la future centrale nucléaire britannique de Sizewell C, que Paris érige en symbole de sa collaboration avec Londres sur la relance de la filière. Cette annonce conjointe avec EDF marque "une nouvelle étape" dans ce projet à la mise en oeuvre laborieuse, dans laquelle l'entreprise publique française investira "environ 1,1 milliard de livres" (1,3 milliard d'euros), a indiqué l'Elysée dans un communiqué.
Centrale de Sizewell C, petits réacteurs et recherche sur la fusion: le gouvernement britannique a promis mardi des milliards de livres pour relancer l'énergie nucléaire dans le pays, jugée indispensable pour sa sécurité énergétique et ses ambitions climatiques.
Le Royaume-Uni a dévoilé ce lundi 9 juin un plan pour lutter contre cette pratique controversée consistant à racler les fonds marins avec un gigantesque filet de pêche. L’objectif est notamment de protéger les habitats marins.
Les ministres des Affaires étrangères de plusieurs pays européens majeurs se réunissent ce lundi pour des discussions jugées "capitales" sur l'Ukraine, deux jours après l'ultimatum lancé par les alliés de Kiev à Moscou concernant un cessez-le-feu.
Les six pays du groupe Weimar +, qui comprend aussi la Commission européenne, se sont retrouvés à Londres lundi 12 mai pour de nouvelles discussions concernant les efforts de paix en Ukraine et la sécurité en Europe.Ils ont beau savoir - d’expérience ! - qu’un post de Donald Trump sur les réseaux sociaux peut tout envoyer valser, les leaders européens veulent apparaître fermes. En fin de matinée du lundi 12 mai, le gouvernement allemand a ressorti la montre, menaçant la Russie de nouvelles sanctions si elle n’acceptait pas l’offre américaine d’un cessez-le-feu avant lundi soir.
Le Royaume-Uni, la France et les pays du nord de l’Europe ont annoncé vendredi soutenir la proposition d’un cessez-le-feu inconditionnel de 30 jours en Ukraine avancée par le président américain Donald Trump.
L’accord sur les droits de douane annoncé par Donald Trump avec le Royaume-Uni réjouit le Premier ministre britannique, mais la guerre commerciale déclarée par Washington au reste du monde n’est pas éteinte pour autant.
Kiev et ses alliés européens et américains se réunissent, mercredi, au Royaume-Uni, dans l’espoir d’obtenir « une réponse claire » de la Russie en faveur d’un « cessez-le-feu sans conditions ». Des discussions qui s’annoncent difficiles.
Les ministres français et britannique des Affaires étrangères ont affirmé vendredi que la Russie frappait toujours des infrastructures énergétiques en Ukraine, accusant Moscou de saper les efforts de paix américains.
La coalition de "pays volontaires" en ordre de marche ? Les chefs d'état-major d'une trentaine de pays prêts à contribuer à des garanties de sécurité pour l'Ukraine se retrouvent jeudi 20 mars à Londres pour discuter d'un plan de maintien de la paix en cas de cessez-le-feu avec la Russie. Le dossier ukrainien et celui de la défense européenne face à la menace russe figurent également au menu d'un sommet de l'UE à Bruxelles jeudi, le troisième sommet de chefs d'État en six semaines.
Après un sommet virtuel des pays prêts à aider au maintien de la paix en Ukraine en cas de cessez-le-feu avec la Russie, les contacts se multiplient entre Moscou et Washington.
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