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transition climat
Le réchauffement climatique n’est aujourd’hui plus un possible avenir que l’on peut éviter : il est une réalité. Le nombre d’éléments faisant partie intégrante de notre quotidien, qui va être amené à être transformé, voire limité, serait trop long à dresser. Pourtant, nous avons tous les éléments nécessaires permettant de renverser la situation actuelle. Reste à enclencher le mouvement, vers ce nouveau modèle énergétique dont nous avons les clés. Tout en présentant les différents bienfaits pour la société, tant d’un point de vue collectif qu’individuel, ce livre nous présente les solutions concrètes vers un changement nécessaire, en le justifiant et en rappelant l’urgence l’actuelle. Car il ne s’agit plus seulement de penser ce nouveau modèle sociétal, mais bien de faire.
En résonance avec la récente mobilisation citoyenne contre la loi Duplomb, la campagne de financement participatif « Décarbonons la France » révèle une autre forme d’engagement, tournée vers l’élaboration de solutions et la mise en œuvre d’un projet collectif. Elle témoigne des mutations à l’œuvre dans les modalités de participation citoyenne et du rôle croissant des plateformes numériques. Décryptage du succès record de cette campagne.
L’Agence internationale de l’énergie a transformé un exercice de prospective en une feuille de route impérative. Le souhaitable est devenu le faisable. Dans ce type d’exercice de prospective, on part de l’objectif à atteindre et on remonte toutes les étapes nécessaires pour y arriver. Peu importe qu'il s’agisse d’un scénario impossible à réaliser pour des raisons à la fois techniques, économiques, sociales et politiques. En fait, il conduit à détruire l’ancienne économie avant même d’avoir construit la nouvelle. Par Dominique Finon, directeur de recherche émérite au CNRS, chercheur associé à la chaire European Electricity Markets (université Paris-Dauphine) et au CIRED (Pont ParisTech & CNRS). Ancien président de l’Association des économistes de l’énergie (FAEE). Article paru dans le numéro 23 du magazine Transitions & Energies.
Pas vraiment le genre de livre qu’on lit au bord d’une piscine… et pourtant. Je viens de terminer l’ouvrage de Pierre-Etienne Franc, Sauver le monde pour le changer (et pas l’inverse). Un texte lucide qui ne parvient pas vraiment à rendre le lecteur optimiste sur l’issue de la transition énergétique... Le ton m’a rappelé mes échanges avec Dominique Bourg lors de l’écriture de notre livre « La finance et les limites planétaires ». On voit le chaos approcher, on tente d’être proactifs et volontaires, mais la vérité est que les solutions restent lointaines.
Des propos sans langue de bois, une pleine confiance en la recherche scientifique et un discours orienté solution. Serge Zaka, sous ses allures de cow-boy du Midwest, s’aventure sur les plateaux télé pour alerter sur les impacts du changement climatique, tout en proposant différentes manières d’opérer la transition écologique. Cet agro-climatologue, quand il ne chasse pas les orages, œuvre pour une agriculture durable et résiliente. Une manière de s’adapter aux contraintes que nous impose déjà la hausse moyenne des températures dans nos régions. À quoi ressemblera le paysage européen dans le futur ? Petit aperçu dans Tendances Première.
Le président des Engagés, Yvan Verougstraete, a dénoncé les propos du ministre fédéral de l’Economie, David Clarinval (MR), sur la transition climatique. Dans la presse, celui-ci appelait à mettre sur pause certaines mesures climatiques et environnementales.
Jean-Baptiste FRESSOZ est un historien des sciences, des techniques et de l'environnement. Après avoir été maître de conférence à l'Imperial College de Londres, il est maintenant chercheur au CNRS, enseignant à l'EHESS et à l'Ecole des ponts et chaussées. Il a déjà publié au Seuil L'Apocalypse joyeuse, L'Evénement anthropocène (avec Christophe Bonneuil) et plus récemment, Sans transition: Une nouvelle histoire de l'énergie.
Sous couvert de décarbonation, un projet de réindustrialisation de la zone industrialo-portuaire de Fos-sur-Mer, qui héberge des industries lourdes depuis le XIXe siècle, pourrait voir le jour. Il impliquerait notamment la création d’un « hub » d’hydrogène vert. Mais il n’est pas aussi vertueux au plan environnemental qu’il n’y paraît : il entretient la confusion entre décarbonation et dépollution. Surtout, il n’implique pas assez les populations locales dans la prise de décision.
Stagnation de la transition climatique, reculs environnementaux, retards dans les publications des textes clés de la transition écologique et sociale... Le Haut conseil pour le climat tire la sonnette d'alarme, après des mois de renoncements en matière environnementale dans le pays.
Un pattern mondial et des conséquences locales Une étude publiée le 4 juin 2025 dans Nature Ecology & Evolution, menée par des chercheurs de l’Université d’Umeå en collaboration avec l’Université de Reading, révèle un principe presque universel : Dans chaque région du globe, la biodiversité s’organise autour de "points chauds", des zones minuscules mais vitales, où la majorité des espèces apparaissent et se concentrent, avant de se raréfier en s’éloignant.
Le travail est au cœur de nos vies… et peut-être aussi au cœur de nos impasses. Pourquoi travaillons-nous autant ? À quoi ce temps et cette énergie servent-ils vraiment ? Et surtout, comment repenser le travail dans un monde où la crise écologique nous oblige à produire et consommer moins, alors même que la dette publique, la compétition économique mondiale et la pression sociale nous poussent à accélérer toujours davantage ? Dans cet épisode, Dominique Méda, philosophe et sociologue, professeure à l’Université Paris Dauphine, nous aide à penser cette tension structurante de notre époque. Spécialiste des politiques publiques du travail, de la protection sociale et de la transition écologique, elle interroge les fondements de notre modèle économique et les mythes qui l’accompagnent : croissance, compétitivité, plein emploi, progrès technologique… tout est passé au crible de l’analyse historique, sociale et politique.
La baisse des émissions de CO₂ ferait office de verdict en faveur de la transition énergétique si et seulement si l'économie ne s'effondrait pas en parallèle.
En Chine, l'essor des renouvelables a permis une baisse des émissions de CO2 au premier trimestre 2025, malgré une demande d'électricité en forte progression, une étape notable dans sa transition énergétique, selon une étude publiée jeudi. Le géant asiatique, plus grand émetteur mondial de gaz à effet de serre comme le dioxyde de carbone (CO2) qui contribuent au dérèglement climatique, prévoit d'atteindre son pic d'émissions d'ici 2030 et la neutralité carbone en 2060.
L'administration Trump prévoit d'imposer 3.521% de droits de douane -- soit des taxes correspondant à plus de 35 fois le prix -- à des entreprises chinoises basées au Cambodge, et jusqu'à 375% pour un concurrent installé en Thaïlande. Les panneaux solaires et cellules provenant de Malaisie se verraient imposer un taux d'environ 40%. Mais selon un expert, cette offensive pourrait faire bouger les lignes en Asie du Sud-Est. "Les droits de douane et la guerre commerciale devraient accélérer la transition énergétique en Asie du Sud-Est", explique Ben McCarron, directeur du cabinet de conseil Asie Research & Engagement, basé à Singapour. La Chine "redoublera d'efforts" sur les marchés régionaux, en faveur de politiques qui puissent "permettre l'adoption rapide d'énergies vertes dans la région", sous l'impulsion de ses exportateurs, poursuit-il. Les analystes préviennent de longue date que les pays de la région n'avancent qu'à petits pas sur le sujet, restant attachés aux énergies fossiles, à l'heu
En cent jours, l’administration du milliardaire républicain a particulièrement ciblé les scientifiques et agences travaillant sur le climat. Une attaque contre la production de connaissances, mais aussi contre la sortie des énergies fossiles.
Jusqu'ici considérées comme les mieux-disantes sur la transition climatique, plusieurs compagnies pétro-gazières européennes ont depuis fait machine arrière pour doper leur rentabilité, dont BP qui a annoncé mercredi se recentrer sur le pétrole et le gaz.L'avenir du pétrole incertain
Jusqu'ici considérées comme les mieux-disantes sur la transition climatique, plusieurs compagnies pétro-gazières européennes ont depuis fait machine arrière sur leurs objectifs d'énergies renouvelables, pour doper leur rentabilité. L'avenir du pétrole incertain
Jusqu'ici considérées comme les mieux-disantes sur la transition climatique, plusieurs compagnies pétro-gazières européennes ont depuis fait machine arrière sur leurs objectifs d'énergies renouvelables, pour doper leur rentabilité.. L'avenir du pétrole incertain
Réussir la transition énergétique : Les chemins possibles pour la France
Une transition consiste à passer d’un point A à un point B, soit d’un contexte socio-économique initial à un autre contexte, qu’il soit désiré ou imposé. Les énergies fossiles deviennent de plus en plus rares, et leur exploitation cause des dommages graves à la biosphère, menaçant même sa pérennité. Il devient donc impératif de s’en passer. Ainsi, les sociétés humaines sont amenées à évoluer vers un nouveau contexte socio-économique qu’il est pertinent d’anticiper et d’explorer dès maintenant.