Musk & Trump

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Parmi les risques systémiques d’effondrement, la folie des hommes. Les politiques initiées par Donald Trump et Elon Musk déstabilisent la géopolitique mondiale, sapent la démocratie américaine et mondiale, accroissent les risques climatiques, fragilisent les équilibres des régions sensibles et engagent le Monde dans une période chaotique et périlleuse. Voici une sélection de références abordant une partie de leurs prises de positions et actions :

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Piotr Smolar

2025

Des figures de la base trumpiste s’opposent à toute implication des Etats-Unis dans l’affrontement, allant jusqu’à évoquer un « schisme », alors que des membres de l’entourage présidentiel encouragent un changement de régime à Téhéran.
Des millions de personnes se sont rassemblées à travers le pays pour dénoncer les dérives autoritaires du président américain. Pendant ce temps-là, à Washington, le républicain assistait au défilé militaire qu’il avait organisé.
Le communiqué publié par le secrétaire d’Etat, Marco Rubio, ne manifeste aucune forme de solidarité avec l’Etat hébreu. Cette réaction peut traduire une forme d’irritation à l’égard de Benyamin Nétanyahou, qui, en ordonnant les frappes, torpille les négociations avec Téhéran, relancées par Donald Trump en mars.
Vigies de la Constitution, les juges fédéraux tentent de faire respecter l’équilibre des pouvoirs, alors que, des droits de douane à l’immigration, le milliardaire ne cesse d’enfreindre le périmètre qui revient normalement au président américain.
Deux heures d’entretien et aucun résultat concret. Pourtant, à Washington et à Moscou, la nouvelle conversation téléphonique entre Donald Trump et Vladimir Poutine, lundi 19 mai, a été présentée sous un jour favorable, servant un récit différent. Aucun des deux dirigeants ne veut acter une rupture et un échec dans leur rapprochement, alors que le président américain cherche en vain à obtenir un cessez-le-feu prolongé en Ukraine, voire un règlement du conflit.
Dans un entretien au « Monde », le professeur de philosophie américain explique pourquoi il a décidé de s’exiler au Canada. Il justifie ce départ par les assauts de l’administration Trump contre les campus américains, même si son université a été jusqu’ici relativement épargnée. Jason Stanley est professeur de philosophie, spécialisé dans les pratiques et le langage des régimes autoritaires. Il a décidé de quitter Yale et de rejoindre la Munk School of Global Affairs and Public Policy de l’université de Toronto, au Canada.
Le président américain a tenu un meeting, mardi, près de Detroit dans le Michigan. Dans la salle, ses partisans les plus farouches le soutiennent malgré les incertitudes économiques : « Ça s’appelle la foi. »
Les droits de douane historiques et massifs, décidés par l’administration Trump contre la Chine – 104 % ajoutés depuis le début de mandat en janvier – sont bien entrés en vigueur, de même que ceux annoncés le 2 avril contre une soixantaine de pays. Au même moment, une surtaxe allant de 11% à 50% s’est appliquée à 60 partenaires commerciaux des États-Unis - la plus monumentale vague de droits de douane à se jour.
Avec « hands off » (bas les pattes) pour cri de ralliement, des dizaines de milliers de personnes se sont rassemblées dans tous les Etats du pays, samedi, pour protester contre les abus de pouvoir de la Maison Blanche, quelques jours après l’annonce de taxes douanières massives par Donald Trump.
Cette trentenaire connue pour ses propos racistes et xénophobes a demandé personnellement à Donald Trump le limogeage du général Haugh, nommé sous Biden à la tête de l’agence américaine de renseignement, et de plusieurs autres hauts responsables. Leur faute ? Une supposée déloyauté envers le président américain.