No collapswashing

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Le collapswashing, succédant au greenwashing, désigne non seulement la dissimulation des destructions environnementales mais dénonce également ceux qui font croire qu’ils préviennent les risques de déclin ou d’effondrement, alors qu’ils ne font que dissimuler ce qui décline ou s’effondre. Source : Vincent Mignerot

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MIT

27 juin 2025

La Cour suprême américaine à majorité conservatrice a accordé vendredi 27 juin une importante victoire à l'administration de Donald Trump en limitant le pouvoir des juges à suspendre à l'échelle nationale des décisions de l'exécutif qu'ils considèrent comme illégales. La plus haute juridiction des Etats-Unis considère que les suspensions de portée nationale émises par des juges fédéraux "excèdent probablement les pouvoirs conférés par le Congrès aux tribunaux fédéraux". Elle ne statue en revanche pas sur la constitutionnalité du décret présidentiel de Donald Trump revenant sur le droit du sol, à l'origine de ce contentieux.
La plus haute juridiction américaine considère que les suspensions de portée nationale émises par des juges fédéraux « outrepassent probablement les pouvoirs conférés par le Congrès aux tribunaux fédéraux ».

23 juin 2025

Identifying the socio-economic drivers behind greenhouse gas emissions is crucial to design mitigation policies. Existing studies predominantly analyze short-term CO2 emissions from fossil fuels, neglecting long-term trends and other GHGs. We examine the drivers of all greenhouse gas emissions between 1820–2050 globally and regionally. The Industrial Revolution triggered sustained emission growth worldwide—initially through fossil fuel use in industrialized economies but also as a result of agricultural expansion and deforestation. Globally, technological innovation and energy mix changes prevented 31 (17–42) Gt CO2e emissions over two centuries. Yet these gains were dwarfed by 81 (64–97) Gt CO2e resulting from economic expansion, with regional drivers diverging sharply: population growth dominated in Latin America and Sub-Saharan Africa, while rising affluence was the main driver of emissions elsewhere. Meeting climate targets now requires the carbon intensity of GDP to decline 3 times faster than the global

21 juin 2025

Comment des vieux smartphones pourraient sauver nos villes… et nos océans

20 juin 2025

Dans la capitale, les niveaux de ces particules de la taille d’un virus, sont deux à trois fois plus élevés sur les grandes artères que dans les quartiers préservés des voitures, alerte un nouveau rapport d’AirParif ce vendredi 20 juin.
Une étude révèle que les écosystèmes ont survécu à deux grands bouleversements. 60 millions d’années de stabilité… jusqu’à maintenant.

19 juin 2025

Ce n’était qu’une question de temps. Une nouvelle étude montre que limiter le réchauffement planétaire à +1.5°C est désormais inatteignable. Cette annonce aura de très lourdes conséquences politiques, économiques et sociales. Nous savions depuis la sortie du rapport du GIEC en août 2021 que tous les scénarios SSP repris par le GIEC anticipaient un dépassement de ce seuil. Pierre Friedlingstein, auteur du groupe 1 du GIEC, disait en fin d’année 2023 qu’il “semble désormais inévitable que nous dépassions l’objectif de 1,5°C de l’Accord de Paris“.
Selon un collectif de scientifiques, l’objectif fixé par l’accord de Paris en 2015 ne pourra pas être atteint en raison de l’incapacité des pays à diminuer les émissions de gaz à effet de serre.
Mais chassez le naturel... et nous y revoici. La nouvelle que vient de publier Le Monde est hélas en ligne avec l'actualité. En effet, l'objectif le plus ambitieux de l'Accord de Paris, à savoir limiter le réchauffement à 1,5 °C, est désormais hors de portée : https://lnkd.in/dskHdKRB La raison ? Le CO2 est un oxyde. Sur terre, les oxydes sont des molécules très stables. L'eau, par exemple, est un oxyde (d'hydrogène), et cela fait 4 milliards d'années qu'elle est présente sous forme d'eau.

18 juin 2025

A study measured methane flow from more than 450 nonproducing wells across Canada, but thousands more remain unevaluated.

17 juin 2025

Nouveau "TALK" sur LIMIT avec Maxime Fournes. Dans ce podcast, cet expert en intelligence artificielle, nous partage son expérience et ses réflexions sur les dangers associés à l'IA, particulièrement à travers l'usage des réseaux de neurones profonds. Après une décennie de recherche en machine learning, il nous raconte son parcours et ses inquiétudes sur l'accélération des progrès technologiques depuis 2020. Il nous invite à réfléchir sur les risques liés à la création de superintelligences autonomes et sur le manque de contrôle sur ces systèmes, de plus en plus puissants et incompréhensibles. Maxime nous présente également son engagement avec l'association Pause AI, qui milite pour un moratoire international sur les IA dangereuses et explore la problématique des algorithmes de recommandation qui façonnent nos comportements et nos sociétés. La discussion se poursuit avec des questions éthiques sur l'utilisation de l'IA dans des domaines comme les jeux vidéo et les applications de rencontre, et la ques
Même si on protégeait 30 % des océans, ce ne serait pas suffisant.
À cause de la destruction des espaces de vie, de la (sur)pêche et des pesticides, 73% des vertébrés sauvages ont été exterminés en 54 ans et 67% des arthropodes (dont les insectes) en 10 ans. Quant au climat, le seuil des 1,5°C a été franchi en 2024 – augurant un emballement brutal et irréversible. Cette limite planétaire est en conséquence largement dépassée, à l’instar de 5 autres (parmi les 9 qui ont été identifiées) : artificialisation des sols, pollution, perturbation des cycles biogéochimiques de l’azote et du phosphore, altération du cycle de l’eau douce et effondrement de la » biodiversité ». Pour quelle raison, alors que nous mettons en œuvre des actions écologiques depuis 50 ans, notre situation (celle du vivant en général) ne cesse d’empirer ?
À cause de la destruction des espaces de vie, de la (sur)pêche et des pesticides, 73% des vertébrés sauvages ont été exterminés en 54 ans2 et 67% des arthropodes (dont les insectes) en 10 ans3. Quant au climat, le seuil des 1,5°C a été franchi en 20244 – augurant un emballement brutal et irréversible. Cette limite planétaire est en conséquence largement dépassée, à l'instar de 5 autres (parmi les 9 qui ont été identifiées5) : artificialisation des sols, pollution, perturbation des cycles biogéochimiques de l'azote et du phosphore, altération du cycle de l'eau douce et effondrement de la « biodiversité ».
Selon une nouvelle étude, une septième limite planétaire pourrait avoir été franchie, celle de l’acidification des océans.

16 juin 2025

En analysant des données océaniques à haute résolution, des chercheurs ont découvert que certaines parties des océans de la planète avaient déjà dépassé la limite planétaire d’acidification il y a au moins cinq ans. Les niveaux de saturation en aragonite — un minéral dont dépend la survie de nombreux êtres vivants — atteindraient par endroits un taux alarmant de 17 % par rapport à la moyenne préindustrielle, alors que le seuil limite est fixé à 20 %. Si les émissions de CO₂ continuent d’augmenter, cela pourrait entraîner les écosystèmes marins vers un point de basculement.

15 juin 2025

A Los Angeles, New York ou Atlanta, des milliers de manifestations étaient organisées ce samedi 14 juin pour protester contre «la militarisation de la démocratie» par Donald Trump. Des défilés massifs et essentiellement pacifiques, malgré de rares incidents.

12 juin 2025

En dérégulant le secteur électrique américain, pourtant très polluant, les Etats-Unis de Trump sacrifient le climat, l’environnement et la santé publique sur l’autel de la «domination énergétique».
Un pattern mondial et des conséquences locales Une étude publiée le 4 juin 2025 dans Nature Ecology & Evolution, menée par des chercheurs de l’Université d’Umeå en collaboration avec l’Université de Reading, révèle un principe presque universel : Dans chaque région du globe, la biodiversité s’organise autour de "points chauds", des zones minuscules mais vitales, où la majorité des espèces apparaissent et se concentrent, avant de se raréfier en s’éloignant.

11 juin 2025

Recent simulations using the Community Earth System Model (CESM) indicate that a tipping event of the Atlantic Meridional Overturning Circulation (AMOC) would cause Europe to cool by several degrees. This AMOC tipping event was found under constant pre-industrial greenhouse gas forcing, while global warming likely limits this AMOC-induced cooling response. Here, we quantify the European temperature responses under different AMOC regimes and climate change scenarios. A strongly reduced AMOC state and intermediate global warming (C, Representative Concentration Pathway 4.5) has a profound cooling effect on Northwestern Europe with more intense cold extremes. The largest temperature responses are found during the winter months and these responses are strongly influenced by the North Atlantic sea-ice extent. Enhanced North Atlantic storm track activity under an AMOC collapse results in substantially larger day-to-day temperature fluctuations. We conclude that the (far) future European temperatures are dependent o