Page de l’Observatoire de l’Anthropocène dédiée au groupe FaceBook
Ci-dessous, le flux des références de l’Observatoire.
Pour voir les références d’un(e) auteur(e), cliquez sur son nom. Pour revenir à la page, utilisez le bouton refresh ci-dessous.
Cela fonctionne également avec les mot-clés de chaque référence.
Résultats pour:
Marx
23 novembre 2024
Au Japon, le plus occidental Etat d’Extrême-Orient, acquis aux règles économiques du marché à l’européenne, l’économiste et philosophe Kohei Saito vient jouer l’empêcheur de penser en rond. Diplômé de l’université Humboldt de Berlin et professeur d’économie politique à l’université d’Osaka au Japon, Kohei Saito nous enjoint à tourner le dos à la croissance infinie et indéfinie et de construire, sur la base de coopératives, une sobriété partagée. Ce qu’il appelle le «communisme de décroissance», seul à même, selon lui, de dépasser le capitalisme productiviste, nocif à la planète.
26 octobre 2024
La traduction française de Hitoshinsei no Shihonron (Le capital dans l’anthropocène), best-seller du philosophe japonais Kohei Saito, spécialiste de Marx, vient de paraître sous le titre "Moins ! La décroissance est une philosophie" (Seuil, 368 p. 23 euros).
18 octobre 2024
Marx attaque. Le projet de ce jeune penseur : dépoussiérer la pensée de Karl Marx pour l’adapter à l’urgence écologique. Son dernier livre, Moins ! La décroissance est une philosophie (Seuil, 2024), vient d’être traduit en français. Portrait.
27 juin 2024
À propos de : John Bellamy Foster, Marx écologiste, éditions Amsterdam. John Bellamy Foster présente une approche marxiste de la crise écologique fondée sur le matérialisme écologique, l’hypothèse de la « rupture métabolique » et la dialectique de la nature.
15 avril 2024
Paul Guillibert est philosophe au CNRS et spécialiste de l'application du marxisme aux questions socio-écologiques. Dans cette conférence, il parle des différentes manières dont le capitalisme met les humains, le vivant et la nature au travail — et des pistes pour se réapproprier l'appareil productif.
17 janvier 2024
Le philosophe Kohei Saïto, né à Tokyo en 1987, est une star du marxisme au Japon. Dans son pays, son livre Hitoshinsei no Shihonron (Le capital dans l’anthropocène), publié dans sa version originale en 2020 et non traduit en français, s’est vendu à plus d’un demi-million d’exemplaires. Ses ouvrages synthétisent ses recherches, qui articulent marxisme et écologie. « Aux Etats-Unis, le terme “communisme” revêt des connotations négatives. Au Japon, c’est pratiquement pareil », explique Saïto depuis son bureau à l’université de Tokyo, où il est professeur associé et « le seul » expert sur le marxisme. Il a également publié La nature contre le capital : l’écologie de Marx dans sa critique inachevée du capital.
09 janvier 2024
Il est indéniable que Marx s’est intéressé aux problèmes de l’environnement à son époque, et a critiqué les dégâts provoqués par le mode capitaliste de production. Mais il faut reconnaitre que les thèmes écologiques ne prennent pas une place centrale dans le dispositif théorique marxien et que les écrits de Marx sur le rapport entre les sociétés humaines et la nature sont loin d’être univoques et peuvent donc être l’objet d’interprétations différentes.
12 novembre 2023
En 2017, Kohei Saito, auteur japonais formé à l’œuvre de Marx au Japon et en Allemagne, a publié l’ouvrage Capital, Nature et la critique inachevée de l’économie politique – L’Ecosocialisme de Karl Marx (non traduit). Cet ouvrage est central pour comprendre les récents développements sur l’écologie de Marx et la nécessité de conserver les apports du marxisme, en les amendant au besoin, pour mieux penser et lutter face à la crise écologique du capitalisme.
21 avril 2023
L’activiste et théoricien suédois s’attache à concilier marxisme et environnementalisme, et invite le mouvement climat à dépasser le pacifisme pour lutter contre le « capitalisme fossile ».
17 mars 2023
Lorsqu’en 1867 Marx publie à Hambourg le livre I du Capital, cinq longues années sont nécessaires pour écouler le tirage de 1 000 exemplaires. Cent-cinquante ans plus tard, un universitaire japonais publie « Le Capital dans l’anthropocène » qui se vend à 500 000 exemplaires… Kōhei Saitō y propose une relecture écologiste du philosophe allemand, alliant décroissance et communisme. Le « redoutable missile » que Marx croyait avoir « lancé à la tête de la bourgeoisie » vient-il d’être à nouveau mis en orbite depuis le Japon ? Éléments de réponse dans cet entretien avec l’auteur.
19 décembre 2022
Professeur de sociologie à l’Université de l’Oregon et rédacteur en chef de la prestigieuse revue théorique américaine Monthly Review, John Bellamy Foster a révolutionné l’écosocialisme, il y a vingt ans, grâce à un livre fondamental, Marx’s Ecology[2]. Ce livre a lancé une deuxième série de recherches écosocialistes qui a réfuté toutes sortes de préjugés sur l’œuvre de Karl Marx, et il est en passe de fournir de solides fondements théoriques à un socialisme écologique pour notre époque.
12 décembre 2022
Le marxisme est-il l’avenir de l’écologie politique ? Si cette question surprendra ceux qui découvrent le courant écosocialiste, les autres y reconnaîtront l’orientation fondamentale du travail de John Bellamy Foster : voir dans le mode de production capitaliste la cause principale de la destruction de la nature aussi bien que des vies humaines, et ramener à Marx les luttes écologistes de la gauche contemporaine. Avec Brett Clark, lui aussi professeur de sociologie aux États-Unis, ils proposent ainsi dans Le pillage de la nature un parcours qui va des études consacrées par Marx aux effets du capitalisme sur les terres agricoles,...
16 septembre 2022
Au fil de ses ouvrages et de ses interventions, Andreas Malm s'est imposé comme une figure majeure de la pensée éco-marxiste. Cependant, comment comprendre certaines équivocités ? Qui sont les oublié·es de ses analyses ? Son léninisme politique est-il pertinent pour notre époque ? Qu'en est-il de sa confiance en certaines technologies réputées salvatrices ? Ce long article mène l’enquête en revenant sur l’œuvre du penseur suédois.
22 avril 2022
Réchauffement climatique, déforestation, disparition des espèces, chacun s’alarme des catastrophes écologiques présentes ou à venir mais peu remettent en cause le système qui les a provoquées : le capitalisme. John Bellamy Foster et Brett Clark explorent les œuvres de Marx et Engels afin d’élaborer une écologie politique matérialiste et dialectique. Cette approche originale alliant l’histoire, l’économie, la science et la politique déploie la question environnementale dans toute sa variété allant de l’agriculture à la maltraitance animale, en passant par l’alimentation et l’éco-impérialisme. Leur critique à la fois féroce et méticuleuse vise non seulement le néolibéralisme mais aussi l’écologie réformiste qui s’accommode également de l’ordre capitaliste bourgeois. Dévoilant le lien entre dégradation écologique et domination sociale ils posent les bases d’une lutte révolutionnaire où l’émancipation implique la fin d’une doub
20 mars 2022
Il y a quelques mois, paraissait aux éditions Amsterdam l’essai Terre et capital. Son auteur, le docteur et enseignant en philosophie Paul Guillibert, y mène une critique écologique du capitalisme depuis une histoire environnementale de la pensée marxiste. Guillibert invite ainsi, avec d’autres, à « abandonner les vieilles oppositions mal construites » : plus rien ne justifie d’opposer la défense du monde du travail à celle de l’environnement et des non-humains.
17 mai 2021
Antoine Chopot et Léna Balaud nous parlent de leur livre « Nous ne sommes pas seuls », dans lequel il est question de luttes, de balbuzards, de plantes envahissantes, de forestières et de forestiers attentifs, de micro-organismes redoutables, de gilets jaunes, d’amarantes et des multiples façons de faire alliance entre vivants pour résister aux forces mortifères du capitalisme.
01 juin 2020
abs_empty
21 juin 2019
- Ballast
Les nombreux effets du dérèglement climatique sont sous nos yeux. La non linéarité de ce processus rend les projections futures incertaines, mais il ne fait aucun doute que le modèle économique dominant en est l’une des principales causes.
06 mars 2018