Nucléaire militaire

OA - Liste

Une arme nucléaire est une arme non conventionnelle qui utilise l’énergie dégagée par la fission de noyaux atomiques lourds (uranium, plutonium dans le cas de la bombe A), ou par une combinaison de ce phénomène avec celui de la fusion de noyaux légers (hydrogène dans le cas des bombes H). L’énergie libérée par l’explosion s’exprime par son équivalent en TNT. Source : wikipedia

Bombardements atomiques d’Hiroshima et de Nagasakiwikipedia

Vers Nucléaire civil

espace50x10

filtre:
nucléaire militaire

2025

Le leader de la junte a revendiqué « le droit légitime du Niger de disposer de ses richesses naturelles ». La Somaïr, une filiale d’Orano, a été nationalisée en juin, privant le groupe français de son permis d’exploitation.
Une rencontre clé doit avoir lieu dans quelques jours. Les experts espèrent convaincre le président de ne pas procéder à de nouveaux essais nucléaires.
La dissuasion nucléaire française dispose de missiles modernisés tant pour les sous-marins que pour les avions Rafale, de l’armée de l’air et de la marine.
Le président Vladimir Poutine a affirmé mercredi qu'il envisageait de reprendre les essais nucléaires russes si les États-Unis faisaient de même. Cette déclaration intervient après des propos de son homologue américain Donald Trump qui a ordonné au Pentagone de "commencer à tester" les armes nucléaires américaines.
Le président russe envisage de reprendre les essais nucléaires.
Dans un contexte mondial marqué par des tensions militaires croissantes, la Russie vient de lancer un nouveau sous-marin nucléaire baptisé Khabarovsk. Conçu pour embarquer des armes sous-marines révolutionnaires, ce navire illustre l’évolution rapide de la technologie militaire et soulève de nombreuses questions sur la sécurité maritime et la puissance nucléaire. Ce lancement intervient alors que la guerre en Ukraine continue de polariser l’attention internationale, ajoutant une dimension stratégique supplémentaire à cette démonstration de force.
Le président russe Vladimir Poutine, vêtu d’un uniforme militaire, a annoncé le 26 octobre 2025 que la Russie avait testé avec succès un missile à propulsion nucléaire. Si cette information est avérée, une telle arme pourrait conférer à la Russie une capacité militaire unique, aux répercussions politiques plus larges.
L’annonce surprise jeudi du président américain, qui veut reprendre les essais d’armes nucléaires, continue vendredi de susciter inquiétude et protestations dans le monde entier, sans que soit éclairci le sens de ses déclarations.
Le président américain Donald Trump a déclaré jeudi, juste avant sa rencontre avec son homologue chinois Xi Jinping, avoir demandé au département de la Défense de reprendre immédiatement les essais des armes nucléaires américaines sur un pied d'égalité avec les autres puissances nucléaires mondiales.
Vladimir Poutine a déclaré mercredi que la Russie avait testé un drone sous-marin à capacité nucléaire, le Poséidon, quelques jours après avoir annoncé un essai final réussi du missile russe de croisière à propulsion nucléaire Bourevestnik. "Hier, nous avons effectué encore un essai, d'un autre système prometteur - un drone sous-marin Poséidon", a indiqué M. Poutine. "Il n'existe aucun moyen de l'intercepter", a affirmé le président russe.
La Russie a annoncé dimanche 26 octobre avoir informé les Etats-Unis d’un essai final réussi de son missile. Mais quelles sont les caractéristiques de cette bombe ?
Vladimir Poutine a officiellement mis fin à l'accord russo-américain sur le plutonium, signé en 2000 pour limiter les stocks de matières fissiles.
Selon le chef de l’Etat-major russe, le missile «Bourevestnik» («oiseau de tempête» en russe) aurait déjà réussi un vol de 14 000 km.
En cause : deux sous-marins nucléaires russes qui ont coulé il y a déjà longtemps mais qui alarment aujourd'hui les experts.
« L’avenir n’est pas un destin écrit, c’est une décision collective. » L’humanité a franchi toutes les frontières visibles. Du feu à la roue, de la poudre à canon à la bombe atomique, de la voile au saut vers la Lune. Nous avons ouvert la croûte terrestre pour en extraire des minéraux, construit des villes qui brillent comme des étoiles artificielles, connecté la planète entière en quelques secondes, et pourtant nous sommes toujours prisonniers des mêmes guerres tribales d’il y a 3 900 ans, aujourd’hui maquillées de drones, d’algorithmes et d’ogives nucléaires.
Téhéran a affirmé samedi ne plus être tenu par les "restrictions" liées à son programme nucléaire, tout en réitérant son "engagement" pour la diplomatie, le jour de l'expiration d'un accord international conclu il y a dix ans. Un accord qui était déjà devenu caduc à la suite du retrait unilatéral des États-Unis en 2018.
L'accord historique destiné à encadrer le programme nucléaire iranien a expiré officiellement samedi. Mais il avait déjà été enterré dès la fin septembre par le rétablissement des sanctions contre l'Iran décidé à l'ONU. Signé à Vienne en 2015 par la France, le Royaume-Uni et l'Allemagne, ainsi que par les États-Unis, la Russie et la Chine, le pacte avait ensuite été entériné par l'ONU via la résolution 2231. Connu sous l'acronyme JCPOA (Joint comprehensive plan of action), il avait pour objectif de contrôler les activités nucléaires de Téhéran, soupçonné de développer militairement l'arme atomique, sous couvert de programme civil. En échange, la communauté internationale devait lever les sanctions qui asphyxiaient son économie.
Le développement de la bombe et de l’énergie atomiques, souvent associé à la Seconde Guerre mondiale et au projet Manhattan, n’aurait jamais pu advenir sans les travaux réalisés en Europe avant le début du conflit –  notamment ceux portés en France par Irène et Frédéric Joliot-Curie.
L’accord de défense mutuelle stratégique signé le 17 septembre entre Riyad et Islamabad, qui détient l’arme nucléaire, répond à la préoccupation des Saoudiens quant à la fiabilité des garanties de sécurité américaines face à l’émergence d’Israël comme puissance hégémonique régionale.
La télévision d’État iranienne a diffusé le 24 septembre un documentaire prétendant révéler des documents confidentiels liés au programme nucléaire israélien. Cependant, une partie des informations présentées comme inédites dans le documentaire peuvent être trouvées sur internet.