Nucléaire militaire

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Une arme nucléaire est une arme non conventionnelle qui utilise l’énergie dégagée par la fission de noyaux atomiques lourds (uranium, plutonium dans le cas de la bombe A), ou par une combinaison de ce phénomène avec celui de la fusion de noyaux légers (hydrogène dans le cas des bombes H). L’énergie libérée par l’explosion s’exprime par son équivalent en TNT. Source : wikipedia

Bombardements atomiques d’Hiroshima et de Nagasakiwikipedia

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2025

Le développement de la bombe et de l’énergie atomiques, souvent associé à la Seconde Guerre mondiale et au projet Manhattan, n’aurait jamais pu advenir sans les travaux réalisés en Europe avant le début du conflit –  notamment ceux portés en France par Irène et Frédéric Joliot-Curie.
L’accord de défense mutuelle stratégique signé le 17 septembre entre Riyad et Islamabad, qui détient l’arme nucléaire, répond à la préoccupation des Saoudiens quant à la fiabilité des garanties de sécurité américaines face à l’émergence d’Israël comme puissance hégémonique régionale.
La télévision d’État iranienne a diffusé le 24 septembre un documentaire prétendant révéler des documents confidentiels liés au programme nucléaire israélien. Cependant, une partie des informations présentées comme inédites dans le documentaire peuvent être trouvées sur internet.
Toutes les résolutions de l'ONU relatives aux sanctions contre Téhéran pour empêcher la prolifération nucléaire en Iran ont été rétablies samedi soir. Faute d'un accord avec Téhéran, le mécanisme de rétablissement des sanctions, dit "snapback", activé le 28 août par le groupe E3 (Allemagne, France, Royaume-Uni), s'est enclenché à minuit GMT dans la nuit de samedi à dimanche.
Toutes les résolutions de l'ONU relatives aux sanctions contre Téhéran pour empêcher la prolifération nucléaire en Iran, seront rétablies samedi soir, sauf coup de théâtre de dernière minute. Faute d'un accord avec Téhéran, le mécanisme de rétablissement des sanctions, dit "snapback", activé le 28 août par le groupe E3 (Allemagne, France, Royaume-Uni), s'enclenchera à minuit GMT dans la nuit de samedi à dimanche. Cela réactivera les dispositions antérieures qui avaient été suspendues avec l'accord de 2015, connu sous l'acronyme JCPOA.
Alors que les mesures coercitives doivent être rétablies ce samedi soir, le régime s’insurge et affirme qu’il ne cédera «jamais à la pression».
Le mécanisme inédit visant à obliger le Conseil de sécurité de l'ONU à rétablir les sanctions internationales contre l'Iran pour non-respect de ses engagements nucléaires doit intervenir samedi soir. Explications.
Pékin vient de lever le voile sur une arme qui pourrait redessiner l’équilibre des puissances nucléaires mondiales. Lors d’un défilé militaire impressionnant, la Chine a présenté le Dongfeng-5C (DF-5C), un missile intercontinental capable, selon les experts, d’atteindre n’importe quel point du globe. Une annonce qui soulève autant d’interrogations que d’inquiétudes.
L’Iran « ne cédera jamais à la pression » sur son programme nucléaire, a déclaré, vendredi, son ministre des affaires étrangères, Abbas Araghtchi. Il a annoncé que des inspecteurs de l’AIEA se trouvaient actuellement dans le pays.
Les deux pays ont signé récemment un accord inattendu de défense mutuelle, quelques jours après une frappe israélienne contre des dirigeants du Hamas au Qatar voisin, qui a provoqué une onde de choc dans les monarchies du Golfe.
Depuis le 16 juillet 1945 dans le désert du Nouveau-Mexique, notre planète a tremblé sous l’impact d’au moins 2056 explosions nucléaires. Un chiffre glaçant qui révèle l’ampleur d’une contamination planétaire orchestrée pendant des décennies par les grandes puissances mondiales. Entre course aux armements et expérimentations secrètes, ces tests ont libéré dans notre environnement des quantités monumentales de radiations, dont les conséquences se font encore sentir aujourd’hui. Derrière ces statistiques se cache une réalité troublante : l’humanité a délibérément transformé sa propre planète en laboratoire nucléaire géant.
A moins que Téhéran n’accepte les conditions posées par Paris, Londres et Berlin, notamment le retour des inspecteurs de l’AIEA, l’embargo sur les exportations iraniennes de pétrole sera rétabli le 28 septembre.
Les Israéliens ont récemment livré aux autorités françaises leur propre bilan des frappes qui ont visé, en juin, l’arsenal nucléaire de Téhéran. Ces échanges sont précieux pour Paris car, selon les informations du « Monde », les services de renseignement américains ont cessé toute coopération avec leurs partenaires européens sur le dossier nucléaire iranien.
L'Iran a annoncé mardi avoir convenu d'un nouveau cadre de coopération avec l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA), après avoir suspendu sa collaboration avec le gendarme onusien du nucléaire dans le sillage de la guerre contre Israël en juin. Le directeur de l'AIEA, Rafael Grossi, a salué "une étape importante dans la bonne direction". Il a indiqué sur X s'être entendu lors d'une réunion au Caire avec le chef de la diplomatie iranienne Abbas Araghchi "sur des modalités pratiques pour reprendre les inspections en Iran" des activités nucléaires. La rencontre au Caire, à laquelle a participé le ministre égyptien des Affaires étrangères Badr Abdelatty, était la première entre MM. Araghchi et Grossi depuis la guerre de 12 jours déclenchée par une attaque israélienne sur l'Iran en juin. Le dossier du nucléaire iranien empoisonne de longue date les relations de l'Iran avec les Occidentaux.
L'Iran a accéléré le rythme de production de ses réserves d'uranium enrichi à 60%, seuil proche des 90% nécessaires pour fabriquer une arme nucléaire, selon un rapport confidentiel de l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA) consulté par l'AFP mercredi. Cette hausse a été calculée au 13 juin, soit le début de la guerre de 12 jours déclenchée par une attaque d'Israël contre l'Iran. A cette date, l'AIEA a constaté que le total d'uranium enrichi à 60% de l'Iran s'élevait à 440,9 kg, soit une hausse de 32,3 kg par rapport au 17 mai (à comparer à une hausse de 133,8 kilos sur la période précédente). Depuis, l'agence onusienne qui siège à Vienne n'a pas été en mesure de mener ses activités sur le terrain pour collecter les informations nécessaires.
La Russie a mis en garde vendredi contre des "conséquences irréparables" en cas de nouvelles sanctions internationales contre l'Iran, après l'annonce par Paris, Londres et Berlin du lancement d'une procédure à l'ONU pour rétablir de telles sanctions contre Téhéran dans trente jours. "Nous les appelons avec insistance à retrouver la raison et à réviser leurs décisions erronées avant que celles-ci n'aboutissent à des conséquences irréparables et une nouvelle tragédie", a déclaré dans un communiqué le ministère russe des Affaires étrangères.
La France, l’Allemagne et le Royaume-Uni, signataires de l’accord de 2015 encadrant le programme nucléaire de l’Iran, ont notifié leur décision au Conseil de sécurité des Nations unies, en raison des violations de ses engagements par la République islamique.
Leur retour ne marque pas une reprise complète de la coopération en matière de nucléaire avec Téhéran, a affirmé le chef de la diplomatie iranienne.
Le positionnement de sous-marins nucléaires Ohio par Trump vise à rappeler aux Russes la capacité de ces lanceurs de missiles les plus furtifs au monde.
L’héritage toxique de la guerre froide continue de faire surface de manière inattendue. En Caroline du Sud, des ouvriers viennent de faire une découverte pour le moins troublante sur l’ancien site de production d’armes nucléaires de Savannah River : un nid de guêpes présentant un niveau de radioactivité dix fois supérieur aux seuils autorisés par la réglementation fédérale américaine. Cette trouvaille soulève des questions inquiétantes sur la persistance de la contamination radioactive dans des écosystèmes que l’on croyait sous contrôle, et illustre de manière saisissante comment la nature s’adapte aux environnements les plus hostiles créés par l’homme.