Nucléaire militaire

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Une arme nucléaire est une arme non conventionnelle qui utilise l’énergie dégagée par la fission de noyaux atomiques lourds (uranium, plutonium dans le cas de la bombe A), ou par une combinaison de ce phénomène avec celui de la fusion de noyaux légers (hydrogène dans le cas des bombes H). L’énergie libérée par l’explosion s’exprime par son équivalent en TNT. Source : wikipedia

Bombardements atomiques d’Hiroshima et de Nagasakiwikipedia

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2025

L'Iran a encore accéléré son rythme de production d'uranium hautement enrichi, selon un rapport confidentiel de l'AIEA, jugé "politique" par l'Iran au moment où il dit avoir reçu des "éléments" d'une proposition américaine pour un nouvel accord. L'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA) a noté une nette hausse de l'uranium enrichi à 60%, seuil proche des 90% nécessaires pour fabriquer une arme nucléaire, d'après un bilan d'étape consulté par l'AFP.
Le 27 mai 2025, dans le port militaire de Cherbourg, un géant silencieux a été mis à l’eau. Son nom : De Grasse. Ce n’est pas seulement un sous-marin nucléaire d’attaque de plus — c’est le dernier-né d’un programme de 10 milliards d’euros qui redéfinit la puissance navale française pour les décennies à venir. Ce lancement marque une étape majeure dans la modernisation de la flotte française, mais aussi dans l’équilibre stratégique des forces sous-marines au sein de l’OTAN.
La question ultrasensible du « zéro enrichissement » d’uranium, qui pèse sur les pourparlers sur le programme nucléaire iranien avec les Etats-Unis, reste une ligne rouge pour le régime iranien.
Le guide suprême iranien, l'ayatollah Ali Khamenei, a fait part mardi de son scepticisme quant à l'issue des pourparlers en cours sur le nucléaire entre l'Iran et les États-Unis. "Nous ne pensons pas que [les pourparlers actuels] aboutiront à quelque résultat que ce soit", a déclaré lors d'un discours à Téhéran l'ayatollah Ali Khamenei, ajoutant que nier le droit de l'Iran à enrichir de l'uranium était "une grosse erreur".
Le traité inclut une clause de défense mutuelle, qui ouvre la possibilité d’une coopération en matière de dissuasion nucléaire. Emmanuel Macron a souligné, vendredi, que les « intérêts vitaux » de la France intégraient aussi ceux de ses « principaux partenaires », dont la Pologne.
La surprise est restée en travers de la gorge des diplomates. Début avril, Donald Trump a pris tout le monde de court en annonçant la reprise de négociations entre Téhéran et Washington en vue d’un nouvel accord sur le nucléaire iranien, sept ans après avoir dénoncé le compromis précédent, lors de son premier mandat. Sur ce dossier, une quatrième rencontre était prévue à Rome, samedi 3 mai - avant d’être reportée mercredi - mais personne ne comprend, dans les capitales européennes comme à Téhéran, où veulent en venir les Etats-Unis. Ni quelle est vraiment l’équipe qui doit mener les pourparlers, en dehors de l’incontournable envoyé spécial du président américain, Steve Witkoff, un novice en diplomatie.
Ces négociations indirectes sont conduites, samedi, par le ministre des affaires étrangères iranien, Abbas Araghtchi, et par l’émissaire de Donald Trump pour le Moyen-Orient, Steve Witkoff.
Il s’agit toujours de s’assurer que l’Iran, en violation de ses engagements, ne se dote pas de l’arme nucléaire. Courant mars, Trump a écrit à Ali Khamenei, le chef de la République islamique, qui lui a répondu. On ignore les formules de politesse utilisées : cher Guide, cher président ? Des négociations ont repris en avril. Américains et Iraniens ont déjà tenu deux séances de pourparlers, à Oman puis à Rome, pilotés par l’envoyé spécial de la Maison Blanche, le polyvalent Steve Witkoff, et le ministre des affaires étrangères iranien, Abbas Araghchi.
Que contient exactement cet arsenal nucléaire ? Où se trouvent ces armes ? Et comment sont-elles déployées ?
L'Iran n'est "pas loin" de disposer de la bombe atomique, a averti le directeur général de l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA), avant son arrivée mercredi après-midi à Téhéran pour des discussions sur le nucléaire.
Selon le chef de l'Alliance atlantique, le développement de ces armes antisatellites est très préoccupant. La destruction de satellites provoquerait en effet le chaos sur Terre, de nombreux systèmes dépendant d'eux pour leur fonctionnement. Cela affecterait non seulement le domaine commercial, mais aussi la défense et donc la sécurité de manière générale, a précisé Mark Rutte.
Dans un monde où les menaces liées aux missiles balistiques, hypersoniques et nucléaires sont de plus en plus pressantes, les États-Unis envisagent un projet audacieux qui semble tout droit sorti d’un film de science-fiction : un système de défense spatial capable d’intercepter et de neutraliser ces armes avant qu’elles ne franchissent les frontières de la Terre.
Le président américain Donald Trump, qui s'était retiré avec fracas en 2018 de l'accord sur le nucléaire iranien, veut désormais relancer les discussions avec Téhéran. Entretemps, l'Iran a considérablement fait monter en puissance son programme. Les pays occidentaux, Etats-Unis en tête, soupçonnent depuis très longtemps le pays de vouloir se doter de l'arme nucléaire. Des allégations rejetées par la République islamique qui défend un droit au nucléaire à des fins civiles, notamment pour l'énergie.
Les États-Unis viennent de franchir une nouvelle étape dans la modernisation de leur arsenal nucléaire. La bombe à gravité B61-13, une arme de dernière génération, est entrée en production complète sept mois plus tôt que prévu. Développée pour s’adapter aux défis stratégiques du 21e siècle, cette bombe possède une puissance dévastatrice et des technologies avancées.
L'Iran ne cherche pas à se doter de l'arme nucléaire mais "n'aura d'autre choix que de le faire" en cas d'attaque contre le pays, a mis en garde lundi soir Téhéran, après des menaces du président américain Donald Trump.
Les armes nucléaires ont marqué un tournant dans l’histoire militaire, mais leur fabrication reste un défi. Voici pourquoi.
Si le “grand frère” américain retire sa protection, l’Union européenne peut-elle compter sur la France, son seul membre doté de l’arme atomique ? Non, estime Bart De Wever, qui veut faire de l’UE une puissance nucléaire. La presse flamande s’inquiète.
Désarmement: UBS critiquée pour son financement d'armes nucléaires
La hausse du nombre d’armes nucléaires chinoises suscite des inquiétudes croissantes sur la scène internationale. Selon un rapport du Nuclear Notebook publié par la Fédération des scientifiques américains, la Chine posséderait environ 600 ogives et poursuivrait une expansion rapide qui fait d’elle la puissance nucléaire à la croissance la plus rapide parmi les neuf États dotés de l’arme atomique.
L'Iran, la Chine et la Russie ont entamé vendredi à Pékin des discussions à haut niveau sur le nucléaire iranien, sur fond d'intense activité diplomatique des grandes puissances afin d'espérer raviver l'accord international de 2015.Ces échanges interviennent au moment où le président américain Donald Trump, qui avait retiré avec fracas les Etats-Unis de l'accord en 2018 durant son premier mandat, s'est dit ouvert au dialogue avec Téhéran depuis son retour au pouvoir en janvier.