« L’océan mondial, qui abrite la majorité des espèces vivantes sur Terre (50 à 80 % selon les estimations), génère plus de 60 % des services écosystémiques qui nous permettent de vivre, à commencer par la production de la majeure partie de l’oxygène que nous respirons. Il absorbe environ 30 % des émissions de CO2 générées par l’humanité, ce qui provoque son acidification.
L’océan mondial régule à plus de 80 % le climat de la Terre. Il joue un rôle majeur dans la température terrestre. »
Source : Wikipedia
Coalition citoyenne pour la protection de l’Océan
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Clément Quintard
Les calamités volent en escadrille. Nous avions déjà la hausse des températures, l’acidification des océans, la pollution de l’air, l’intensification des catastrophes météorologiques, la multiplication des feux de forêt et l’érosion de la biodiversité, mais il manquait l’assaisonnement indispensable pour lier entre elles toutes les saveurs du chaos : la menace d’un nouveau conflit planétaire.
Des défections de cadres, il n’y en a certes pas légion. Trop peu pour constituer le début d’un phénomène de masse, mais suffisamment pour qu’on ait envie de les scruter d’un peu plus près. Que recherchent ces privilégiés qui, malgré le fait d’être les principaux bénéficiaires de l’ordre social et économique, entrent en rébellion contre lui ?