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Alexandre Horn
Plus de 6 bâtiments sur 10 de l’enclave ont été détruits, ou possiblement endommagés. Plus de 60% du réseau de distribution électrique de l’enclave et 68% des routes sont endommagés.
L’armée israélienne a ordonné dimanche 6 octobre aux habitants du nord de Gaza «d’évacuer». Si rien ne le prouve, certains commentateurs redoutent que cela marque le début du plan «Eiland», qui viserait à assiéger cette partie de l’enclave.
Le ministère des armées et le porte-parole du Kremlin ont tenté de rejeter la responsabilité du tir qui a détruit l’hôpital Okhmatdyt de Kyiv sur la défense aérienne ukrainienne. Une version contredite par les images du bombardement.
Le projet, bien réel, proposait une révision de frontières maritimes jugées obsolètes. Il a depuis été supprimé du site du gouvernement russe.
Plus de deux mois après le massacre, des discours de réfutation, ou de minimisation, des crimes prospèrent. Ce déni ne résiste pas aux nombreuses prises de vue qui témoignent du massacre, et sur lesquelles «CheckNews» a décidé de revenir.
Depuis un mois et demi, l’ONG britannique travaille méthodiquement à l’identification des victimes civiles des frappes sur Gaza. Sur 60 «incidents» documentés pour l’heure, plus de 45 % des victimes sont des mineurs.
Sept civils ont été exécutés, au première heures de l’attaque du Hamas, samedi 7 octobre. A partir d’une vidéo des exactions, «CheckNews» a pu géolocaliser le lieu de la tuerie.
Différents bilans humains de la catastrophe, émanant de sources diverses, ont coexisté dans les médias français depuis les premières communications des autorités. Aucun chiffre définitif n’est pour l’instant disponible.
Dans une vidéo diffusée sur YouTube, Emmanuel Macron est revenu sur sa déclaration polémique sur le changement climatique qui n’aurait pas été prévisible. Il plaide l’erreur de compréhension, mais toujours avec des arguments erronés.
Plusieurs drones navals, vraisemblablement ukrainiens, ont attaqué le port russe de Sébastopol en Crimée samedi. Des navires de guerre auraient été touchés, mais l’ampleur des dégâts reste floue.
Depuis des mois, la plus grande centrale nucléaire d’Europe est le théâtre d’affrontements entre les forces russes et ukrainiennes. Les deux camps s’accusent mutuellement de bombarder le site, faisant peser le risque d’une catastrophe nucléaire.
Une infographie diffusée par la télévision d’Etat russe affirme que la capitale française pourrait être touchée en 200 secondes par une tête nucléaire de dernière génération. Ce chiffre est faux, et le Satan 2 est encore en phase de test.