Veille documentaire
Les champs auteur(e)s & mots-clés sont cliquables. Pour revenir à la page, utilisez le bouton refresh ci-dessous.
filtre:
Lara
L’ONU a officiellement déclaré une famine à Gaza vendredi, un "mensonge éhonté" selon le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu. Les experts des Nations Unies ont cependant attendu plus que la plupart des ONG sur place pour décréter l’état de famine dans le nord de l’enclave, leur cadre d’analyse étant contraignant.
Si les réactions diplomatiques ont été peu nombreuses, la reconnaissance de la famine peut venir alimenter les procédures ouvertes devant la justice internationale pour « crime contre l’humanité » contre Benyamin Nétanyahou et Yoav Gallant, et pour « génocide » contre l’Etat d’Israël.
Rendu public vendredi, un rapport confirme une crise alimentaire majeure avec plus de 500 000 Gazaouis déjà confrontés à la famine. Cette situation découle de longues périodes de blocus. Le gouvernement israélien conteste ces accusations, que Benyamin Nétanyahou renvoie à des préjugés antisémites.
Parce qu’ils ont tous signé les conventions de Genève de 1949, ils ont l’obligation de faire respecter le droit international humanitaire, soulignent, dans une tribune au « Monde », les juristes Julia Grignon et Alexandre Miliani.
Pour récupérer quelques poignées de riz, des Palestiniens hagards, armés de casseroles et de seaux en plastique, se ruent vers une soupe populaire de la ville de Gaza, ravagée par la guerre et frappée officiellement par la famine selon l'ONU.
« Nous ne pouvons pas laisser cette situation perdurer en toute impunité », a alerté le secrétaire général de l’ONU, alors que selon l’organisation intergouvernementale, plus d’un demi-million de Gazaouis sont confrontés à des conditions de vie « catastrophiques ».
Les Nations unies ont confirmé qu’une famine était en cours dans le gouvernorat de Gaza et qu’elle devrait s’étendre à ceux de Deir Al-Balah et de Khan Younès d’ici à la fin du mois de septembre.
Le Cadre intégré de classification de la sécurité alimentaire (IPC) a déclaré ce vendredi 22 août la ville de Gaza, ainsi que des parties du sud et du centre de l’enclave, en état de famine. Les données sont insuffisantes pour le nord, où la situation est également terrible.
Le Cadre intégré de classification de la sécurité alimentaire (IPC) est un organisme indépendant développé par l’ONU et des ONG et le principal outil de surveillance de la faim dans le monde.
L’ONU a officiellement déclaré vendredi la famine à Gaza, la première à toucher le Moyen-Orient, après que ses experts ont averti que 500.000 personnes se trouvaient dans un état "catastrophique".
Le groupe d’experts mandaté par l’ONU a décrété vendredi 22 août dans un rapport officiel que certaines zones de l’enclave palestinienne étaient entrées dans un état de famine. Il est grand temps que la communauté internationale réagisse.
Deux spécialistes de la nutrition décrivent, sur le plan physiologique, les différentes étapes de dégradation du corps humain lorsqu’il est soumis à des famines comme celles qui sévissent à Gaza et au Soudan. Contraint de puiser dans ses réserves, l’organisme est alors de plus en plus vulnérable aux infections telles que la pneumonie ou d’autres complications.
Près de 300 employés actifs et anciens de la NASA ont fait front commun contre l’administration Trump, en adressant une lettre véhémente à Sean Duffy, l’administrateur par intérim de l’agence récemment entré en fonction. Baptisée « Voyager Declaration », la lettre dénonce les ingérences politiques et les coupes budgétaires drastiques susceptibles de mettre en péril des décennies d’avancées scientifiques et de compromettre la sécurité des missions spatiales.
Le président américain Donald Trump a évoqué jeudi "une déclaration importante" qu'il pourrait faire lundi sur la Russie, se disant "déçu" de la volonté du président Vladimir Poutine de poursuivre la guerre contre l'Ukraine.
Le président américain Donald Trump a prononcé une courte allocution solennelle samedi soir à 22H00 heure locale, 04H en Belgique dimanche) après les frappes qu'il a ordonnées contre des sites nucléaires iraniens.
PFAS : un rapport inédit de l'ONG Générations Futures révèle l'ampleur de la contamination alimentaire aux "polluants éternels".
Les data centers consomment des centaines de milliard de litre d'eau : un désastre écologique encore trop peu renseigné. Les data centers ont consommé environ 560 milliards de litres d’eau à l’échelle mondiale en 2023. Un chiffre qui selon eux pourrait plus que doubler d’ici à 2030, pour atteindre près de 1 200 milliards de litres par an.
La quête pour maîtriser la fusion nucléaire, cette source d’énergie propre, quasi illimitée et sans déchets radioactifs à long terme, vient de franchir une étape majeure. Le stellarator Wendelstein 7-X, un réacteur expérimental installé en Allemagne, a pulvérisé plusieurs records mondiaux en démontrant sa capacité à maintenir un plasma ultra-chaud et stable plus longtemps que jamais auparavant. Ce succès marque un progrès crucial vers l’objectif de produire une énergie de fusion viable à l’échelle industrielle, capable un jour de remplacer nos sources d’énergie fossile polluantes.
L’attaque a été menée à l’aide de plusieurs dizaines de petits drones lancés à partir de conteneurs installés clandestinement à proximité des aérodromes.
Pendant des décennies, une multinationale américaine a rejeté des «polluants éternels» près d’Anvers. Aujourd’hui, la terre souillée est nettoyée. Les travaux pharaoniques sont en partie payés par l’industriel en vertu du principe du pollueur-payeur.