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Nétanyahou
Résolu à assurer son maintien au pouvoir, le Premier ministre s’efforce désormais de limoger les responsables institutionnels qui le gênent. Dans la société israélienne, la contestation s’intensifie. [...] Fou de jalousie. Observant son copain d’avant, avec qui il faisait des virées mémorables dans les bars de New York dans les années 80, lui jeune ambassadeur, l’autre déjà promoteur immobilier prometteur, Benyamin Nétanyahou n’en revient pas. Pourquoi devrait-il accepter les limites que lui impose la démocratie alors que son pote Donald Trump est libre comme l’air, poussant le luxe jusqu’à poursuivre ses ennemis sans aucune contrainte judiciaire ?
Donald Trump a fait une annonce extraordinaire mardi, disant vouloir prendre "le contrôle" de la bande de Gaza dévastée par la guerre, une proposition qui pourrait "changer l'Histoire" selon le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu.
Quand la morale ne compte plus… Trump, Musk, Netanyahou, Poutine & co, le retour de la puissance sans complexe.
La Cour pénale internationale (CPI) a émis, jeudi 21 novembre, des mandats d’arrêt à l’encontre du Premier ministre israélien, Benyamin Nétanyahou, de son ex-ministre de la Défense Yoav Gallant et du chef militaire du Hamas, Mohammed Deif. Cette décision, la première contre des dirigeants israéliens dans l’histoire de la Cour, a été qualifiée d’un nouveau “procès Dreyfus” par Nétanyahou.
Le Premier ministre israélien, Benjamin Netanyahu, a appelé dimanche le secrétaire général de l'ONU, Antonio Guterres, à mettre les Casques bleus de la Force intérimaire des Nations unies au Liban (Finul) "à l'abri immédiatement".
Professoral, une baguette à la main, Benjamin Netanyahou pointe un fin trait bleu sur une carte géante de la bande de Gaza. Un fin trait d’une importance capitale, défend le Premier ministre israélien. "La réalisation des objectifs de la guerre passe par le couloir de Philadelphi", assène-t-il, lors d’une conférence de presse donnée ce lundi 2 septembre. "Nous ne quitterons pas Philadelphi".
L’armée israélienne a annoncé dimanche 16 juin l’instauration d’une pause humanitaire de onze heures chaque jour pour permettre l’acheminement d’aide dans le sud de la bande de Gaza. Aucun membre du gouvernement n’en avait, semble-t-il, été informé.
Le procureur de la CPI a réclamé ce mardi des mandats d’arrêt contre deux dirigeants de l’Etat israélien, parmi lesquels le Premier ministre, et du Hamas.
Lundi 20 mai, Kharim Khan, le procureur de la Cour pénale internationale, a demandé que soient émis des mandats d’arrêt contre le Premier ministre israélien, son ministre de la Défense, le chef du Hamas à Gaza et deux autres responsables du mouvement palestinien. Un coup dur pour les dirigeants de l’État hébreu qui redoutaient cette décision et qui avaient tenté de s’y opposer, commente la presse internationale.
Le premier ministre israélien a déclaré que son pays « ne [pouvait] accepter » la demande du mouvement palestinien que l’accord prévoit la fin définitive des hostilités dans la bande de Gaza.
Le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahou a validé le plan d’invasion de Rafah. Son cabinet annonce vendredi que les préparatifs pour évacuer les civils peuvent débuter.
Passage en revue des actualités autour de la guerre au Proche-Orient ce samedi 20 janvier. Pour retrouver le résumé de la journée de vendredi, c’est ici. Une frappe attribuée à Israël élimine un chef des Gardiens de la révolution iraniens à Damas.
Dans une tribune publiée dans le « Wall Street Journal » le lundi 25 décembre, le Premier ministre israélien explique, qu’à ses yeux, une paix ne pourra intervenir que si le Hamas est «détruit», et Gaza «démilitarisée».
Le gouvernement israélien a donné son feu vert mercredi à un accord visant à obtenir la libération de 50 otages aux mains du Hamas en échange de prisonniers palestiniens et d'une trêve de quatre jours dans la bande de Gaza, premier signe tangible de répit après des semaines de guerre.
Le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu a déclaré mardi à son gouvernement que l'accord en cours de négociation avec le Hamas palestinien sur les otages retenus à Gaza depuis le 7 octobre était "la bonne décision" à prendre.
Le Premier ministre israélien a par ailleurs dit, lors d’une interview télévisée lundi, refuser un “cessez-le-feu général”, mais être ouvert à de “petites pauses” dans les combats.
Tsahal n’a pas encore lancé son offensive terrestre dans la bande de Gaza, mais en coulisse le dialogue entre les militaires et le gouvernement Nétanyahou semble se dégrader. Le quotidien de centre-droit “Yediot Aharonot” décrit des généraux exaspérés par l’incompétence des ministres et par les tentatives du chef du gouvernement de les décrédibiliser.
Laissez l’ancestrale “loi du talion”, de la vengeance aveugle et de la haine séculaire, aux barbares et autres tortionnaires du Hamas, et prônez plutôt celle de l’humanité et de la civilisation.
En échouant à protéger les Israéliens, le Premier ministre a failli à sa mission la plus essentielle. Son refus de reconnaître la moindre responsabilité signe sa faillite morale.
Au lendemain de l’offensive sans précédent qui a vu le Hamas envahir Israël par air, mer et terre, la presse israélienne est folle furieuse contre le gouvernement de droite et d’extrême droite présidé par le Premier ministre Benyamin Nétanyahou.