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Les États membres de l'UE (Conseil) ont approuvé lundi à Bruxelles une nouvelle tranche d'aide de 3,5 milliards d'euros à l'Ukraine pour sa stabilité macro-financière et son redressement.
Le président Emmanuel Macron reçoit mardi à Paris des responsables militaires de 30 pays appartenant à l'UE et/ou à l'Otan pour tenter de définir les garanties de sécurité à fournir à l'Ukraine en cas de cessez-le-feu et réfléchir à l'architecture de défense de l'Europe.
Les Vingt-Sept se réunissent ce jeudi à Bruxelles pour pallier l’arrêt de l’aide américaine à Kyiv. Ce qui signe peut-être, enfin, une meilleure politique de défense commune.
Les États membres de l'Union européenne et Volodymyr Zelensky se retrouvent jeudi pour un sommet extraordinaire sur l'Ukraine. Cette réunion est destinée à rassurer le pays, suite à son invasion par la Russie il y a plus de trois ans, et à muscler la défense européenne après l'altercation spectaculaire entre Donald Trump et le président ukrainien.
Les chefs d’État et de gouvernement de l’Union européenne ont donné un premier feu vert, jeudi à Bruxelles, au grand plan "Réarmer l’Europe" à 800 milliards d’euros. La Commission européenne est appelée à le développer en urgence, alors que les États-Unis ont amorcé un désengagement en Ukraine. Mais ils ne sont que 26 à avoir approuvé un texte ad hoc sur la stratégie de soutien à l’Ukraine, que le dirigeant hongrois Viktor Orban rejette.
Le chef de l’Etat a tenté de mettre des mots sur la bascule géopolitique en cours depuis que Donald Trump a renoué le dialogue avec Vladimir Poutine, dans une allocution télévisée d’une quinzaine de minutes.
A la veille du sommet de l’Union européenne sur l’Ukraine, le président de la République s’est adressé aux Français dans une allocution diffusée à 20 heures, ce mercredi 5 mars. Il est revenu sur les menaces qui planent sur l’Europe.
C’est l’une des annonces lourde de conséquences de Donald Trump pour mettre la pression sur Volodymyr Zelensky : la...
Donald Trump a mis sa menace à exécution et ordonné lundi une "pause" dans l'aide militaire des États-Unis à l'Ukraine en guerre contre la Russie, trois jours après l'altercation à la Maison Blanche avec le président ukrainien Volodymyr Zelensky.
Donald Trump a mis sa menace à exécution. Il a ordonné dans la nuit de lundi à mardi une "pause" dans l'aide militaire des États-Unis à l'Ukraine en guerre contre la Russie, trois jours après l'altercation à la Maison Blanche avec le président ukrainien Volodymyr Zelensky.
Le président finlandais Alexander Stubb a proposé que l'Ukraine devienne automatiquement membre de l'Otan si la Russie venait à rompre un cessez-le-feu, se faisant l'écho d'une suggestion émise par un sénateur américain proche de Donald Trump.
La fin de la guerre en Ukraine permettrait à la Russie de déployer ses activités hostiles ailleurs en Europe, préviennent mardi les services de renseignement finlandais (Supo).
Alors que les États-Unis lâchent peu à peu l’Ukraine, la Commission européenne propose un plan colossal pour “réarmer l’Europe”, et les Vingt-Sept doivent se réunir pour préparer leur défense commune. Le continent vit un tournant historique, constate ce journal néerlandais, qui en dresse l’inventaire des forces et des faiblesses.
Au lendemain de l'annonce de Donald Trump sur la suspension de l'aide américaine à l'Ukraine, la présidente de la Commission européenne, Ursula von der Leyen, a présenté mardi un plan visant à mobiliser 800 milliards d'euros en faveur d'une défense européenne et d'une aide "immédiate" à l'Ukraine.
Un gel prolongé de l'aide militaire américaine à l'Ukraine impacterait lourdement des domaines où les Européens compensent mal le manque, mais la situation est moins tendue dans d'autres, comme les obus, selon plusieurs experts interrogés par l'AFP.
Le plan «Réarmer l’Europe» annoncé par Ursula von der Leyen mardi 4 mars vise à renforcer la défense des Vingt-Sept face à un «danger clair et immédiat». L’enveloppe prévoit également une aide pour l’Ukraine.
Le Premier ministre britannique a annoncé dimanche que plusieurs pays européens étaient prêts à soumettre un plan de paix aux États-Unis, avec l’espoir d’obtenir un soutien américain à des garanties de sécurité pour Kiev face à la Russie. Cette semaine pourrait “marquer un tournant”, note la presse européenne.
Les alliés européens se sont réunis dimanche au Royaume-Uni afin de montrer leur soutien à Kiev et d'afficher leur engagement à se réarmer face à la Russie. Paris et Londres ont proposé une trêve partielle d'un mois en Ukraine.
Tandis que des dizaines de milliers de personnes ont rejoint des groupes sur Facebook en Suède ou au Danemark, appelant à ne plus acheter américain, la société norvégienne Haltbakk Bunkers a annoncé qu’elle ne livrerait plus les navires militaires américains en fuel.
A l’ouverture des échanges sur le continent ce lundi 3 mars au matin, les actions de Dassault Aviation et Thalès flambaient de près de 15%. Idem pour le Britannique BAE Systems, l’Allemand Thyssenkrupp ou encore le Suédois Saab.