Transition énergétique ?

OA - Liste

Pour voir les références d’un(e) auteur(e), cliquez sur son nom. Pour revenir à la page, utilisez le bouton refresh ci-dessous.

espace50x10

Résultats pour:
Connaissance des Énergies

2024

La France pourrait mieux exploiter ses "mines urbaines" de métaux, c'est-à-dire le recyclage de ses déchets métalliques, en particulier le cuivre issu du démantèlement de réseaux électriques, de démolition de bâtiments ou d'épaves de voitures, selon un rapport publié mercredi.
A deux jours de la fin de la COP29 à Bakou, les pays riches se voient réclamer entre 440 et 900 milliards de dollars par an d'aide climatique pour le monde en développement, ont rapporté mercredi les ministres chargés de débloquer les négociations.Les pays développés sont pour leur part toujours silencieux sur le montant qu'ils sont prêts à contribuer, au-delà de leur promesse précédente de 100 milliards annuels, pour le "Nouvel objectif collectif quantifié" (NCQG selon son sigle anglais) de finance climatique que doit établir la conférence de l'ONU.
Des émissaires des pays développés sont réunis cette semaine à l'OCDE pour discuter de l'arrêt d'un soutien financier public aux industries fossiles, espérant une évolution de la position américaine avant l'arrivée du climatosceptique Donald Trump à la Maison Blanche en janvier.Ces discussions qui ont démarré lundi se poursuivent jusqu'à jeudi auprès de l'Organisation de coopération et de développement économiques, basée à Paris, "mais il est possible qu'elles se poursuivent après", a indiqué à l'AFP une source proche des négociations.
Vingt-cinq pays, riches pour la plupart, se sont engagés mercredi à la COP29 à ne plus ouvrir de centrale au charbon, dans l'espoir d'emmener d'autres pays vers la fin du charbon.Le Royaume-Uni, qui vient de fermer sa dernière centrale au charbon, le Canada, la France, l'Allemagne et l'Australie, très gros producteur de charbon, ont signé cet appel volontaire pendant la conférence sur le climat de l'ONU en Azerbaïdjan. La Chine, l'Inde et les Etats-Unis n'y sont pas.
Le chef de l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA), Rafael Grossi, a salué mercredi un engagement "concret" de l'Iran, après la mise en place par Téhéran de mesures pour stopper l'expansion de son stock d'uranium hautement enrichi. «»"Je pense que c'est un pas concret dans la bonne direction", et ce "pour la première fois", a-t-il déclaré devant la presse, au premier jour du Conseil des gouverneurs de l'instance onusienne, à Vienne.
Depuis Bakou, les délégués et ONG présents à la conférence sur le climat de l'ONU (COP29) ont relevé des avancées sur la finance climatique dans la déclaration finale des dirigeants du G20 réunis à Rio dans la nuit de lundi à mardi, sans y voir d'impulsion décisive.Mais ils ont en revanche souligné clairement leur déception face à l'absence d'engagement à accélérer la transition vers l'abandon des énergies fossiles, une formulation qui était un acquis de la COP28 de Dubaï l'an dernier et n'a pas été repris à Rio.
Les participants de la conférence sur le climat de l'ONU (COP29) notent mardi les avancées générales sur la finance climatique pour les pays en développement contenues dans la déclaration du G20 à Rio, mais préviennent que le plus dur reste à accomplir à Bakou. D'autant que, le communiqué de Rio s'accompagne d'un silence des 20 puissances sur la sortie des énergies fossiles, une formulation arrachée à la COP28 de Dubaï mais qui n'a pas été reprise, ce qui sème la consternation parmi les ONG.- "Ordre de marche"-
La sortie des énergies fossiles "reste toujours d'actualité" et il faut "maintenir la pression" pour que cet objectif soit réaffirmé au niveau international, a estimé mardi la ministre française de la Transition écologique et de l'Energie dans un entretien aux Echos.Cette question d'une réduction progressive du recours au pétrole, charbon et au gaz pour tenter d'enrayer le réchauffement climatique faisait partie de l'accord obtenu l'an dernier à la COP28 de Dubaï. Mais depuis, elle semble progressivement reléguée au second plan voire remise en cause par certains.
Le président-élu des États-Unis Donald Trump a annoncé samedi la nomination au poste de secrétaire à l'Energie de Chris Wright, magnat de la fracturation hydraulique, PDG de l'entreprise Liberty Energy, qui devra "réduire les formalités administratives", pour stimuler les investissements dans les combustibles fossiles. "En tant que secrétaire à l'Energie, Chris sera un leader clé, stimulant l'innovation, réduisant les formalités administratives et inaugurant un nouvel +âge d'or de la prospérité américaine et de la paix mondiale+", a déclaré Donald Trump dans un communiqué.
Dans le cadre de la transition énergétique, les tensions d'approvisionnement autour des matières premières stratégiques pourraient être « significativement réduites » par le développement des politiques de recyclage, souligne l'Agence internationale de l'énergie (AIE) dans un premier rapport consacré à ce sujet publié ce 18 novembre(1).



Listing généré avec