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biodiversité marine

2025

Ces nouvelles zones doivent permettra au pays d’atteindre l’objectif de protéger 30 % de ses eaux territoriales d’ici à 2030. La pratique décriée du chalutage de fond y sera interdite.
Selon une récente étude menée en Australie, une espèce d’oiseaux marins est particulièrement touchée par la pollution plastique. Les auteurs affirment que ces animaux subissent des dommages cérébraux comparables à ceux de la maladie d’Alzheimer. Il s’agit ici d’une nouvelle preuve des conséquences alarmantes de la pollution plastique sur la faune marine.
The Kenyan marine ecologist David Obura is chair of a panel of the Intergovernmental Science-Policy Platform on Biodiversity and Ecosystem Services (IPBES), the world’s leading natural scientists. For many decades, his speciality has been corals, but he has warned that the next generation may not see their glory because so many reefs are now “flickering out across the world”.
Même si on protégeait 30 % des océans, ce ne serait pas suffisant.
Pour la première fois, des scientifiques ont filmé les dommages causés par les ancres de bateaux sur la flore et la faune des fonds marins de l’Antarctique, révèlent-ils dans une étude publiée ce lundi 9 juin, alors que de nouvelles routes maritimes s’ouvrent dans cette région de plus en plus prisée des croisiéristes.
La France veut accélérer la protection de ses océans en restreignant certaines pratiques de pêche avant l’échéance européenne de 2030.
Canicules marines, espèces en danger, pollution de l’eau… Une cinquantaine de chefs d’Etat vont tenter à partir de lundi d’élaborer un «plan d’actions» non contraignant juridiquement pour répondre aux différentes menaces qui pèsent sur le Grand Bleu.
Les gigantesques feux de forêt qui ont ravagé l’Australie à la fin 2019 ont eu des répercussions jusqu’à l’autre bout de l’océan Austral, à des milliers de kilomètres plus à l’est. C’est la conclusion d’une étude inédite dirigée par l’université américaine Duke et publiée le 15 septembre dans la revue Nature.
Le président américain voit dans les fonds marins une opportunité de devancer son adversaire chinois ainsi qu’une mine d’or financière. Un coup de force juridique aux conséquences extrêmement graves pour la biodiversité marine.
Selon Greenpeace et des chercheurs du CNRS qui publient un rapport ce mercredi 9 avril, atteindre 10 % d’aires marines réellement protégées en France métropolitaine ne devrait pas constituer un coût insurmontable pour la pêche. Au contraire, les professionnels pourraient en bénéficier à long terme.



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