Les champs auteur(e)s & mots-clés sont cliquables. Pour revenir à la page, utilisez le bouton refresh ci-dessous.
filtre:
flotte fantôme
2025
Ces pétroliers font partie d'une "flotte responsable du transport illicite de marchandises d'une valeur de 24 milliards de dollars depuis le début de l'année 2024", indique le ministère britannique des Affaires étrangères dans un communiqué. Deux sociétés sont également visées : Intershipping Services LLC, accusée d'avoir "enregistré des navires de la flotte fantôme sous pavillon gabonais", et Litasco Middle East DMCC, liée à la compagnie pétrolière russe Lukoil, "pour son rôle dans le transport d'importants volumes de pétrole russe sur des navires de la flotte fantôme".
L’Union européenne a adopté un nouveau paquet de sanctions censées pénaliser davantage la « flotte fantôme » russe, qui contourne les restrictions occidentales. Cependant, les failles et le manque de contrôle nuisent grandement à leur efficacité.
Le gouvernement suédois a annoncé samedi instaurer à partir du 1er juillet de nouvelles règles renforçant le contrôle de navires étrangers, une mesure qui cible la "flotte fantôme" de la Russie en mer Baltique.
Un navire de la "flotte fantôme" russe a effectué "des manœuvres suspectes à proximité d'un câble énergétique reliant la Pologne à la Suède", a affirmé mercredi le Premier ministre polonais. Des experts estiment que la Russie exploite une vaste "flotte fantôme" composée de centaines de navires, afin d'échapper aux sanctions imposées par les pays occidentaux sur ses exportations de pétrole en raison de la guerre en Ukraine. Plusieurs câbles sous-marins de la Baltique ont été endommagés l'année dernière, et de nombreux analystes estiment que cela fait partie d'une "guerre hybride" menée par la Russie contre les pays occidentaux.
Le gouvernement britannique a annoncé vendredi de nouvelles sanctions contre la "flotte fantôme" utilisée par la Russie pour exporter son pétrole et son gaz, en amont d’une réunion de défense des pays du nord de l’Europe à Oslo.
Les océans pourraient bientôt être sillonnés par des navires sans équipage, capables de patrouiller pendant des semaines, de transporter des tonnes de matériel stratégique, et de répondre à des menaces sans qu’aucun marin ne soit à bord. Non, ce n’est pas le synopsis d’un nouveau blockbuster hollywoodien. C’est le pari audacieux que viennent de prendre les États-Unis avec le lancement du Marauder, un navire de surface autonome conçu par Saronic Technologies, une startup basée au Texas. Et derrière cette technologie futuriste se joue un enjeu bien plus grand : reconquérir la domination maritime face à la Chine.
Les Vingt-Sept mettent au point un nouveau train de sanctions contre Moscou. Elles toucheraient deux fois plus de navires qui transportent le brut russe vers les raffineries indiennes et chinoises ou des armes vers la Russie.
De la Finlande à la Lituanie en passant par l’Estonie, un reporter de l’hebdomadaire tchèque “Respekt” s’est rendu sur les navires de l’Otan qui protègent les câbles, au fond de la mer Baltique, de la guerre hybride menée par la Russie.
A la une de la presse ce vendredi : l'inquiétude en mer Baltique face à la flotte fantôme russe, l'opération israélienne en Cisjordanie occupée, et un géant superstar.
L'Allemagne s'efforce samedi de sécuriser un pétrolier en difficulté et d'éviter une marée noire en mer Baltique, un navire accusé de faire partie de la "flotte fantôme russe", souvent vétuste, par laquelle Moscou exporte son pétrole malgré les sanctions. Le pétrolier Eventin, avec 99.000 tonnes de pétrole à bord, se trouve en situation de "détresse" et est en panne de moteurs après une coupure de courant, selon le centre de commandement allemand pour les urgences maritimes.