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2025
Nouvelle mauvaise surprise climatique: janvier 2025 a été le mois de janvier le plus chaud, devant janvier 2024 qui était pourtant soumis à un effet « réchauffant » El Nino…
2023
Prévision scientifique: le réchauffement planétaire atteindra 1,5°C en moyenne annuelle mondiale dans les prochaines années. Volonté dans les COP: « keeping 1.5 alive »… Maintenir « en vie » l’objectif de l’Accord de Paris le plus longtemps possible. Sur le papier. Jusqu’à quand ? Décryptage.
2021
SI les scénarios mêlant climat, énergie et économie se montrent très complexes, les perspectives qu’ils offrent dépendent en partie de données dites « exogènes », c’est-à-dire de données que les scientifiques introduisent dans leurs machines avant que leurs modèles ne moulinent. C’est notamment le cas du progrès technologique et de la croissance économique qui à long terme est toujours envisagée comme inéluctable. Pourtant, pic pétrolier oblige, cela n’est en rien démontré, bien au contraire.
Comme tous les ans depuis plus de 60 ans, la concentration de CO2 dans l’atmosphère bat en 2021 un nouveau record en franchissant certaines journées la barre de 420 parties par million (ppm). Selon l’agence américaine NOAA, il faut remonter à il y a 3,6 millions d’années pour trouver une concentration comparable. La température moyenne du globe était alors de 2 degrés plus chaude, le niveau de la mer était plus haut de 24 m, des forêts recouvraient l’Arctique,
Comme tous les ans depuis plus de 60 ans, la concentration de CO2 dans l’atmosphère bat en 2021 un nouveau record en franchissant certaines journées la barre de 420 parties par million (ppm). Selon l’agence américaine NOAA, il faut remonter à il y a 3,6 millions d’années pour trouver une concentration comparable.
Températures moyennes, records de chaleur, émissions et concentrations de CO2 et de méthane, dégel du pergélisol, fonte des banquises et des calottes glaciaires, hausse du niveau de la mer, tempêtes, acidification des océans, courants marins, forêts, sols, biodiversité, incendies, sécheresses, inondations, déplacements de populations… Tour d’horizon d’une Terre en surchauffe.
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2020
Une nouvelle étude confirme que la Terre réagit bien plus vite à sa fièvre que ce que les scientifiques n’osaient encore imaginer. Celle-ci concerne le réchauffement des océans, pouvant de plus en plus perturber la circulation des courants propices à la vie, favoriser les tempêtes les plus violentes, et accélérer « naturellement » le dérèglement climatique, y compris de manière brutale.
Réchauffement de l’air et de l’eau, fonte des glaces de mer et du Groenland, dégel du pergélisol, émissions de méthane, changements des paysages, incendies, couche d’ozone fragilisée, anticyclones persistants, rétroactions… Tous les signaux actuels venant de l’Arctique, point sensible du climat, glissent tranquillement vers l’emballement tandis que les prévisions globales continuent également de s’aggraver…
Lissée sur les cinq dernières années, la température mensuelle moyenne à la surface des continents de l’hémisphère nord, dépasse de +1,5 °C la moyenne du XXe siècle, soit environ +2°C depuis la fin du XIXe siècle. Et 2020 rivalise toujours avec 2016 pour le titre de l’année la plus chaude.